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Après Dealer du Tout-Paris, Gérard Fauré poursuit le récit explosif de sa vie et continue à dévoiler ses anciens clients. Il nous plonge dans l’intimité des élites parisiennes qui ont fait de la cocaïne une drogue mondaine et populaire : acteurs, politiques, journalistes, animateurs télé, artistes, intellectuels, businessmen, avocats… Il évoque des épisodes inédits de sa carrière comme son séjour à Londres, où il a fourni de grandes figures du rock. Il dénonce un réseau pédophile qui a alimenté en toute impunité dans les années 1980 diverses personnalités du monde des affaires et du spectacle. Il dévoile aussi des épisodes plus récents de sa vie, comme sa collaboration avec la DEA (Drug Enforcement Administration) américaine ou encore sa liaison avec un top-modèle qui voulait l’employer comme tueur à gages.
Gérard Fauré ne s’excuse pas pour son passé de voyou, il a purgé sa peine. En revanche, il veut mettre les points sur les i, dénoncer l’hypocrisie des élites et mettre en garde contre l’usage de la cocaïne.
Avec le mouvement #metoo, la parole des femmes s’est libérée. Celle des enfants reste interdite. Ce livre, témoignages à l’appui, révèle les causes, les mécanismes et les conséquences dramatiques de ce silence. Un à deux enfants sur trente sont victimes d’agressions sexuelles et de viols, principalement dans le cadre familial, mais le sujet reste partout tabou. Ou, pire, quand les faits sont révélés, ils restent impunis. Pourquoi ?
« Certes, la nostalgie du harem, qui peuple les fantasmes de Sade et de Fourier – ces sociétés, ces phalanstères où les objets les plus désirables de l’un et l’autre sexe sont à la portée de la main, et où il suffit de désirer pour obtenir – me traverse parfois, mais ma nature donjuanesque aime trop la conquête, la drague, la séduction pour s’y attarder, et mes amis pédophiles peuvent témoigner que ce n’est qu’exceptionnellement que j’utilise les réseaux de notre secte, où l’on se refile les gosses, et où l’unique séduction est celle du portefeuille (qui joue, de façon ou d’autre, un rôle d’importance dans les relations sexuelles entre adultes et enfants, où la frontière qui sépare l’amour de la vénalité n’est jamais clairement tracée). »
Au milieu des années 80, élevée par une mère divorcée, V. comble par la lecture le vide laissé par un père aux abonnés absents. À treize ans, dans un dîner, elle rencontre G., un écrivain dont elle ignore la réputation sulfureuse. Dès le premier regard, elle est happée par le charisme de cet homme de cinquante ans aux faux airs de bonze, par ses œillades énamourées et l’attention qu’il lui porte. Plus tard, elle reçoit une lettre où il lui déclare son besoin « impérieux » de la revoir. Omniprésent, passionné, G. parvient à la rassurer : il l’aime et ne lui fera aucun mal. Alors qu’elle vient d’avoir quatorze ans, V. s’offre à lui corps et âme. Les menaces de la brigade des mineurs renforcent cette idylle dangereusement romanesque. Mais la désillusion est terrible quand V. comprend que G. collectionne depuis toujours les amours avec des adolescentes, et pratique le tourisme sexuel dans des pays où les mineurs sont vulnérables. Derrière les apparences flatteuses de l’homme de lettres, se cache un prédateur, couvert par une partie du milieu littéraire. V. tente de s’arracher à l’emprise qu’il exerce sur elle, tandis qu’il s’apprête à raconter leur histoire dans un roman. Après leur rupture, le calvaire continue, car l’écrivain ne cesse de réactiver la souffrance de V. à coup de publications et de harcèlement.=&0=&Suite ...
« La pédocriminalité en France n’est pas un petit sujet », affirme jeudi 2 janvier sur franceinfo Caroline De Haas, fondatrice d’Osez le féminisme qui cite les chiffres d’une enquête de l’association l’Enfant Bleu révélant que 16% de la population française a subi des maltraitances sexuelles dans l’enfance. « En matière de pédocriminalité, il y a encore une chape de plomb très forte, qui pèse sur notre pays », dénonce la féministe, alors que sort en librairies le livre Le Consentementde Vanessa Springora. Caroline De Haas estime que la pédocriminalité est « un sujet encore plus tabou que les violences faites aux femmes », et pointe du doigt des « dysfonctionnements ».
Le dysfonctionnement judiciaire n’est pas une fatalité. Il résulte d’une technique érigée en science exacte, régie par des lois écrites et non écrites auxquelles sont initiés des acteurs, les uns opérant en col blanc dans le domaine économique et financier, les autres, officiant en robe noire dans le domaine judiciaire. Tous défendent une même communauté d’intérêts, appartiennent à des corporations différentes mais à une même caste « d’intouchables » et tous sont issus de sanctuaires élitistes qui les » dressent » à l’art subtil de la spoliation crapuleuse assurée d’impunité par la perversion des décisions judiciaires. Ce livre recense et analyse les méthodes, les techniques, les pratiques, les procédés, les stratégies et les tactiques dont résulte le dysfonctionnement judiciaire. Il dévoile les manoeuvres souterraines et les tractations en coulisses, révèle les influences apparentes et occultes, dégage la méthodologie et ses principales typologies, démystifie toutes les formes de perversions des textes (juridistique) et des procédures (judiciaristique) pour aboutir à la finalité recherchée. Nourri de quarante années d’expérience, étayé de nombreux exemples, ce livre démontre que la corruption économique et financière ne prospère qu’à la faveur de la corruption morale des institutions. Il autopsie le système, l’explore dans tous ses univers, livre un éclairage avisé pour ne plus être dupes de la Supercherie Judiciaire. Sur ce diagnostic accablant il dégage les trois lois qui régissent le système et formule une série de propositions d’une redoutable efficacité pour une vraie réforme des institutions. Tous ceux qui se trouvent en amont, en cours ou en aval d’un procès le liront avec profit.
Sur le plateau d’Apostrophes, à plusieurs reprises, Bernard Pivot a invité le pédophile notoire Gabriel Matzneff . Pourquoi ce présentateur a t-il ouvert de telles tribunes à ce pédocriminel récidiviste ? Dans un bouquin pro pédo « fous d’enfance, qui a peur des pédophiles », celui-ci se vantait, par exemple, de sodomiser un jeune garçon de 12 ans. Tout un poème…
À quelques jours de la sortie d’un livre explosif sur Gabriel Matzneff, la romancière Denise Bombardier revient sur le jour où elle l’a affronté, il y a 30 ans, sur ses relations avec les ados : «Il n’y a rien de plus sacré que de respecter le corps des enfants». http://rc.ca/RM21xs
Je poste de nouveau cette vidéo strikée par l’INA (Institut National Audiovisuel) officiellement pour atteinte aux droits d’auteur, officieusement pour censurer son contenu hautement subversif: En 1977, sous la plume de Victoria Thérame et la direction du professeur Choron, Charlie hebdo a défendu des pédophiles. Philippe Val, à la tête de ce journal entre 1992 et 2009, a quant à lui participé, de 1970 à 1996, au duo « Font et Val » qui a explosé lorsque Patrick Font a été condamné à 6 ans de prison ferme pour pédophilie. En 1982, ce duo comique avait signé une pétition demandant la libération de Claude Sigala, principal suspect dans l’affaire du « lieu de vie » Coral. Cette sombre histoire de pédophilie a éclaboussé des personnalités comme Jack Lang, Gabriel Matzneff (pédophile déclaré et militant) ou Léonide Kameneff (condamné 30 ans plus tard pour viol d’enfants). Le fait qu’elles aient été innocentées a fait dire à certains que le Coral appartenait à un vaste réseau pédophile protégé par des hautes sphères de l’état. Plus tard, en 2013, Charlie Hebdo a récidivé dans l’apologie de la pédophilie, sous la plume de Valérie Manteau (prix Renaudot 2018) et la direction de Charb.