Le scandale du sexe et de la pornographie dans les livres scolaires obligatoires s’étend dans le silence des parents d’élèves, des associations de parents et des autorités religieuses. Il touche tant les écoles publiques que l’enseignement catholique.
Outrepassant totalement son champ de compétences, le Parlement européen va examiner une proposition de résolution sur l’émancipation des jeunes filles par l’éducation dans l’Union européenne, qui préconise que les Etats membres promeuvent « l’égalité des genres » à l’école. Cette promotion devrait se traduire par « l’éducation de genre » dans les programmes, par la formation des professeurs, qui seraient invités à « réfléchir sur leur propre identité », la formation des parents eux-mêmes, par du « matériel pédagogique sur l’égalité des sexes », par la lutte contre le sexisme (entendez les différences hommes-femmes) présent dans la littérature, le cinéma, la musique, les jeux, (autrement dit la mise à la poubelle de toute notre culture fondée sur la différence sexuelle), etc.
4 mai 2013
[Article de Laurent Glauzy en exclusivité pour Contre-info]
En Croatie, l’introduction dans les programmes scolaires d’un module sur la sexualité a été imposée en janvier 2013 par le gouvernement de Centre-gauche, en exercice depuis le 23 décembre 2011. La république dalmate qui, de manière superficielle, évoque la méthode Kinsey, cache à sa population que ces manuels sont rédigés par des pédophiles.
Judith Reisman, scientifique de 78 ans d’origine juive, ancienne conseillère du FBI, du parlement et de plusieurs ministères américains, qui s’est rendue en Croatie le 29 janvier sur l’invitation de parlementaires de droite, a dénoncé les liens de cette initiative avec la richissime Soros Foundation, arguant que l’« éducation sexuelle et les droits des homosexuels cachent un programme de destruction de la famille et de défense de la pédophilie ».