Archives de catégorie : Thaïlande

France Tv Info Thaïlande : des parents ont-ils vraiment abandonné leur bébé trisomique à sa mère porteuse ?

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Le couple australien assure qu’il ignorait l’existence d’un frère jumeau de leur fille, tout en jetant des soupçons sur l’agence spécialisée qui a mis en place cette gestation pour autrui.

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20 Minutes Bébé trisomique en Thaïlande: L’affaire se double d’une histoire de pédophilie

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L’affaire se complique plus encore avec les dernières révélations de la presse australienne…

(Photo: La mère porteuse Pattaramon Chanbua lors d’une conférence de presse à l’hôpital Samitivej dans la province de Chonburi, en Thaïlande, le 5 août 2014 – Pornchai Kittiwongsakul AFP)

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Euronews Un couple australien abandonne un bébé trisomique à sa mère porteuse thaïlandaise

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Le petit Gammy est au cœur d’une histoire dramatique. Ce bébé souffre de trisomie 21 et d’un grave problème cardiaque. Contrairement à sa sœur jumelle bien portante, ses parents australiens ont décidé de l’abandonner à sa mère porteuse thaïlandaise qu’ils avaient engagée.

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Dondevamos Revue de presse du mois de Mai 2014

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Ce mois de mai a encore vu pas mal de pédophiles passer au tribunal et ramasser des peines incroyablement légères, pendant que des mères protectrices sont poursuivies avec l’ensemble de l’arsenal répressif disponible. Bergolio s’agite et dit que les pédos sont des satanistes, quel honneur pour ses copains pédos du vatican. il reste encore un procès dans l’affaire Dutroux: celui d’un journaliste, Frederic Lavachery, poursuivi pour diffamation (procès le 25 juin à Bruxelles). Et puis, il y a encore les excités de masculinistes, un député PS pro pédo, des prostituées de 12 ans prêtes pour les supporters de foot au Brésil, un réseau pédophile exposé à Hollywood, deux ou trois autres en cours de démantèlement en Allemagne et ailleurs… Bref, encore un mois de m…

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(Le Monde) « La Mauvaise Vie » de Frédéric Mitterrand : les passages qui dérangent

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Extrait du livre La Mauvaise Vie, de Frédéric Mitterrand (Edition Robert Laffont, 360 p., 2005), pages 293 à 307.

« Le garçon marche dans la nuit à quelques pas devant moi. Pantalon de teinte sombre ajusté sur les hanches, étroit le long des jambes ; tee-shirt blanc qui colle au contour des épaules et à la ligne du dos ; bras nus, une Swatch au poignet, cheveux noirs avec des reflets brillants, dégagés sur la nuque. Démarche souple, allure tranquille, tout est beau, net, irréprochable. Il ne se retourne pas, il sait que je le suis et il devine sans doute que cet instant où je le regarde en profil perdu, de près et sans le toucher, me procure un plaisir violent. Il a l’habitude. C’est le quatrième depuis hier soir, j’ai voulu passer par un club que je ne connaissais pas encore avant de rentrer à l’hôtel et je l’ai aussitôt remarqué. Il n’y a que pour ceux qui ne les désirent pas qu’ils se ressemblent tous. Il se tenait comme les autres sur la petite scène, les mains croisées en arrière pour bien marquer le corps dans la lumière, en boxer short immaculé, le côté saint Jean-Baptiste qu’ils retrouvent instinctivement et que les pédés adorent, mais le visage fermement dessiné, l’expression avec du caractère, regard sans mièvrerie et sourire sans retape, un charme immédiat qui le détachait du groupe des enjôleurs professionnels. J’imaginais Tony Leung à vingt ans. Il a ri comme s’il avait gagné à la loterie quand j’ai fait appeler son numéro et lorsqu’il est venu près de moi, j’ai deviné brièvement l’odeur de sa peau, eau de Cologne légère et savon bon marché ; pas de ces parfums de duty free dont ils raffolent en général. Il avait l’air vraiment content d’aller avec moi ; j’ai senti qu’il serait vif et fraternel. Les rats qui grouillent dans la ruelle détalent à notre passage, les néons disparaissent derrière nous dans la pénombre, les remugles des poubelles s’estompent dans la chaleur poisseuse, et le vacarme assourdissant de la techno qui dégorge par les portes ouvertes de tous les autres clubs accentue cette impression de privation sensorielle où je concentre toute mon attention uniquement sur lui et sur ce que j’en attends. Mauvaise musique grossièrement frelatée au synthé sur des standards que l’on ne reconnaît plus mais dont le rythme infernal bombarde tout le quartier, fait chanceler entre excitation et hébétude et saoule le désir qui tambourine contre les tempes. Ça baisse un peu dans le souterrain qui mène au parking de l’hôtel. Il élève ses quinze étages de médiocre confort international au-dessus du flot populeux et du magma des boîtes et des gargotes, abritant une clientèle pas trop friquée de tour operators qui sort le jour en groupes serrés et tâte furtivement du grand frisson et de la rigolade à souvenirs avant de se coucher tôt derrière les doubles vitrages climatisés. Mais il plonge ses racines dans un sol autrement plus fertile : la sorte de grotte où le gang des chauffeurs de taxi se livre à des parties de cartes vociférantes dans une atmosphère de tripot pour films de kung-fu commande l’accès à une série de chambres sans fenêtre qui se louent ordinairement à l’heure, et pour longtemps, voire à perpétuité si on veut en finir et y mettre le prix. Ce n’est certainement pas le pire endroit pour mourir, anonymat et discrétion assurés. De vilains jeunes gens qui n’auraient eu aucune chance sur la rampe à numéros prennent leur revanche en s’affairant devant les caves à plaisir : ils détiennent les clefs, assurent la circulation qui peut être dense, relèvent les compteurs, font le ménage entre les passes. Plutôt sympatiques au demeurant : ils prétendent connaître tous les garçons par leurs noms et traitent les habitués à pourboires en jouant la comédie d’un service de palace. Le réduit et la salle de bains sont très propres : serviettes sous cellophane, housse en papier sur le lit sans drap, moquette neuve, ventilateur chromé, des miroirs un peu partout et même au plafond pour qui ça intéresse. Le room valet, comme il se désigne élégamment lui-même, fait une tentative pour me montrer comment marche la télévision et, jaugeant mon air apparemment défait, me propose à tout hasard des cassettes sans doute destinées à me ranimer. On rit un peu sans bien se comprendre, je lui refile les billets pour deux heures avec de quoi s’offrir une autre dent en or et il sort en chantonnant. Nous sommes seuls. Mon garçon n’a pas dit un mot, il se tient devant moi, immobile, le regard toujours aussi droit et son demi-sourire aux lèvres. J’ai tellement envie de lui que j’en tremble.

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(L'Humanité) La France n’est pas épargnée

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  Et la France ? Alors que le monde découvrait avec horreur l’affaire Dutroux en Belgique, quatre opérations de police ont ciblé les pédophiles dans l’Hexagone. Premier coup de filet, en avril 1996. Nom de code : opération Toro Bravo. Quinze mois d’enquête à partir de la saisie d’une cassette chez un cadre parisien, pour débusquer un réseau impliquant soixante-douze personnes. À sa tête Caignet et Vuillaume.

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