» Les avocats des familles de victimes vont déposer plainte contre l’état pour faute lourde.
Les avocats dénoncent une suite de 20 ans de dysfonctionnement judiciaires.
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» Les avocats des familles de victimes vont déposer plainte contre l’état pour faute lourde.
Les avocats dénoncent une suite de 20 ans de dysfonctionnement judiciaires.
Faites entrer l’accusé
Saison n°4 – Épisode n°5
Diffusé les 7 mars 2004 et 26 février 2006
http://www.youtube.com/watch?v=ipYzNc3epfM
En 1994, Van Geloven a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour le viol et le meurtre de deux petites filles, Ingrid et Muriel, dans la région de Perpignan. Deux meurtres d’une violence ignoble et qui auraient pu être évités. En effet, l’homme a déjà été condamné à deux reprises. Sa première condamnation remonte à 1984, pour agression sexuelle. Van Geloven ne restera cependant pas longtemps en prison. Et en 1990, il récidive. Il est cette fois condamné pour outrage public à la pudeur, mais ressort libre du tribunal. Un an plus tard, cet homme, qui se qualifie lui-même de monstre, repasse à l’acte. Cette fois-ci, il ne se contente plus de violer, mais tue également ses victimes. La justice s’est ainsi révélée impuissante à protéger les membres de la société.
Dans de nombreux dossiers dans lesquels des enfants sont victimes de violences sexuelles, » la plupart des juges ne sont guère enclins à entendre les enfants » (point 85), et la France se voit rappeler l’article 12 de la convention des droits de l’enfant, qui assure à tout mineur » la possibilité d’être entendu dans toute procédure judiciaire ou administrative l’intéressant « . Le constat est tel que l’ONU préconise l’affectation » des ressources adéquates à l’appareil judiciaire aux fins de la formation relative aux droits de l’enfant « . De même, le Conseil de l’ordre des médecins est invité à revoir » de toute urgence ses procédures de façon à soutenir au lieu de condamner les médecins qui font part de leurs soupçons de sévices à enfant » (point 59). Il n’a pas échappé au rapporteur de l’ONU que ledit Conseil ordinal a poursuivi une centaine de médecins » coupables » d’avoir effectué un signalement assimilé à une » dénonciation calomnieuse « . La grande discrétion accordée à la publication de ce rapport en France en dit long sur les réticences à remettre en question le dogme qui prévaut dans la majorité des prétoires : l’enfant est, a priori, présumé menteur. Ce sont les catastrophes judiciaires et humaines qui en découlent qui avait motivé la visite du rapporteur spécial de l’ONU en France, fin 2002.
En marge de l’affaire Dutroux, un colloque sur la pédocriminalité s’est tenu dans l’enceinte du Parlement européen à Bruxelles, le 28 janvier 2004, à l’initiative du groupe des Gauches unitaire européenne-Gauche Verte nordique. Eurodéputée communiste et coorganisatrice, Sylviane Ainardi dénonce une véritable forme de négationnisme : » La pédocriminalité est niée par beaucoup de personnes honnêtes, parce c’est quelque chose qui dérange, qui dépasse l’entendement. Ça m’a renvoyé à mon histoire familiale. Mes parents ont été déportés, mais la réalité des camps de concentration a été niée jusqu’au retour des rescapés. Parce que cela touche à l’indicible. »
L’association International Children Welfare – Collectif des Mères, déclarée le 29 Mars 2001 puis est parue au J.O le 21 avril 2001, est née d’un constat grave : la défaillance criminelle de l’Etat français vis-à-vis des enfants victimes d’agressions sexuelles incestueuses et de leurs mères qui assument dignement leurs devoirs de représentantes légales.
2003
http://mk-polis2.eklablog.com/marylin-manson-quand-j-etais-gamin-mon-grand-pere-me-paraissait-monstr-a106163840
Extrait du Dossier « Agressions sexuelles incestueuses dans un contexte de séparation des parents : dénis de justice ? » @ Copyright Collectif Féministe Contre le Viol – VIOLS FEMMES INFORMATIONS, numéro vert : 0 800 05 95 95
(appel confidentiel et gratuit pour la France métropolitaine, du lundi au vendredi, de 10h à 19h) – Site Internet.
dossier | Libre expression
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Nous n´avons pas pour habitude de mélanger les genres. Nous avons suffisamment soutenu les magistrats et nous continuons d´ailleurs sans peine à le faire, comme nous le ferons, chaque fois que nous estimerons devoir le faire. Cela ne plait généralement pas à toute une faune associative pour laquelle « la justice est pourrie » , faune qui se garde bien cependant d´attaquer de front les faits et les décisions iniques de certains juges. |
LE SCENARIO EST IMMUABLE
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Une femme a de forts soupçons d´abus sexuel sur son enfant. |
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Un médecin constate, la conforte dans ce soupçon et alerte la justice. |
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Le procureur prend les mesures de protection de l´enfant. |
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Un ou une juge suit le procureur et protège l´enfant. |
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Un second médecin confirme le diagnostic du premier. |
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Un ou une autre juge balaye les certificats médicaux et confie l´enfant au père soupçonné qui entre temps a reçu le soutien d´une officine spécialisée. |
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Le ou la juge commet un expert psychiatre ou un psychologue qui rend un avis exactement contraire à celui des médecins spécialisés. |
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La maman n´en peut plus. |
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Elle déprime et se bat dans toutes les directions et on la dit « folle » |
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Les associations censées l´aider lui réclament le remboursement des frais d´avocat ou l´entraîne dans des aventures aussi rocambolesques que celle des « mères en fuite en Suisse ». |
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Il arrive que la maman s´enfuit avec l´enfant. |
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Là elle est vite retrouvée, les prédateurs lâchent rarement leurs victimes, et elle est condamnée à de la prison pour non présentation d´enfant. |
Affaire Alègre à Toulouse – AFFAIRE ALÈGRE – LE MAGISTRAT MIS EN CAUSE PAR LES EX-PROSTITUÉES ENTENDU, HIER, COMME TÉMOIN ASSISTÉ
Pour la première fois depuis que son nom est apparu dans le volet « mœurs » de l’affaire Alègre, Marc Bourragué, procureur adjoint de Montauban et ex-substitut du procureur de Toulouse, a été interrogé, hier matin, par l’un des juges d’instruction en charge de l’information judiciaire ouverte le 15 avril contre « Patrice Alègre et tous autres » pour « proxénétisme en bande organisée, viols, tortures et actes de barbarie et viols sur mineurs par personne dépositaire d’une autorité publique ».
Faites entrer l’accusé
Saison n°3 – Épisode n°2
Diffusé les 17 juillet 2003, 7 mai 2006 et 27 janvier 2009
http://www.youtube.com/watch?v=H8HmoRp8QlI
Faites entrer l’accusé
Saison n°3 – Épisode n°1
Diffusé les 10 juillet 2003, 22 janvier 2006 et 10 février 2009
http://www.youtube.com/watch?v=tC0Dk0JoFjk
Source: http://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=3508571
Trouvé sur: http://www.sott.net/article/244427-Toulouse-politicians-and-judges-named-in-cocaine-fuelled-child-sex-orgies