Voici le second numéro de la la série #BalanceTonOgre se rapportant à la pédocriminalité ; il concerne cette fois-ci un des responsables des éditions Gallimard, le pédocriminel Christian Giudicelli… Prochain sur la liste : Frédéric Mitterrand ! N’hésitez surtout pas à inonder les réseaux sociaux avec le hashtag #BalanceTonOgre afin de dénoncer ces criminels.
Alors que l’affaire Matzneff éclate au grand jour, Figaro Live revient sur l’histoire de ces courants pro-pédophiles portés par certains médias et intellectuels après « mai 68 ».
Gabriel Matzneff écrit ouvertement sur sa pédophilie depuis des décennies, protégé par des personnalités influentes des médias, de l’édition, du monde politique et du milieu des affaires. Désormais ostracisé, il attaque leur « lâcheté » dans un entretien rare.
Christophe Girard est actuellement adjoint à la maire de Paris chargé de la culture, et il est très actif pour la réélection d’Anne Hidalgo lors de la campagne des municipales.
Or M. Girard est un ami de longue date du pédo-criminel Gabriel Matzneff, qui revendique dans ses livres sa pédo-criminalité depuis les années 1970. Un article paru dans l’Express le 27/12/2019 révélait que M. Girard avait financé la chambre d’hôtel où M. Matzneff avait des rapports sexuels avec Vanessa Springora, et qu’en retour M. Matzneff l’avait remercié en lui dédicaçant son livre où il relatait ses exploits pédo-criminels :
« Certes, la nostalgie du harem, qui peuple les fantasmes de Sade et de Fourier – ces sociétés, ces phalanstères où les objets les plus désirables de l’un et l’autre sexe sont à la portée de la main, et où il suffit de désirer pour obtenir – me traverse parfois, mais ma nature donjuanesque aime trop la conquête, la drague, la séduction pour s’y attarder, et mes amis pédophiles peuvent témoigner que ce n’est qu’exceptionnellement que j’utilise les réseaux de notre secte, où l’on se refile les gosses, et où l’unique séduction est celle du portefeuille (qui joue, de façon ou d’autre, un rôle d’importance dans les relations sexuelles entre adultes et enfants, où la frontière qui sépare l’amour de la vénalité n’est jamais clairement tracée). »
Au milieu des années 80, élevée par une mère divorcée, V. comble par la lecture le vide laissé par un père aux abonnés absents. À treize ans, dans un dîner, elle rencontre G., un écrivain dont elle ignore la réputation sulfureuse. Dès le premier regard, elle est happée par le charisme de cet homme de cinquante ans aux faux airs de bonze, par ses œillades énamourées et l’attention qu’il lui porte. Plus tard, elle reçoit une lettre où il lui déclare son besoin « impérieux » de la revoir. Omniprésent, passionné, G. parvient à la rassurer : il l’aime et ne lui fera aucun mal. Alors qu’elle vient d’avoir quatorze ans, V. s’offre à lui corps et âme. Les menaces de la brigade des mineurs renforcent cette idylle dangereusement romanesque. Mais la désillusion est terrible quand V. comprend que G. collectionne depuis toujours les amours avec des adolescentes, et pratique le tourisme sexuel dans des pays où les mineurs sont vulnérables. Derrière les apparences flatteuses de l’homme de lettres, se cache un prédateur, couvert par une partie du milieu littéraire. V. tente de s’arracher à l’emprise qu’il exerce sur elle, tandis qu’il s’apprête à raconter leur histoire dans un roman. Après leur rupture, le calvaire continue, car l’écrivain ne cesse de réactiver la souffrance de V. à coup de publications et de harcèlement.=&0=&Suite ...
Sur le plateau d’Apostrophes, à plusieurs reprises, Bernard Pivot a invité le pédophile notoire Gabriel Matzneff . Pourquoi ce présentateur a t-il ouvert de telles tribunes à ce pédocriminel récidiviste ? Dans un bouquin pro pédo « fous d’enfance, qui a peur des pédophiles », celui-ci se vantait, par exemple, de sodomiser un jeune garçon de 12 ans. Tout un poème…
À quelques jours de la sortie d’un livre explosif sur Gabriel Matzneff, la romancière Denise Bombardier revient sur le jour où elle l’a affronté, il y a 30 ans, sur ses relations avec les ados : «Il n’y a rien de plus sacré que de respecter le corps des enfants». http://rc.ca/RM21xs