Pedopolis v2 référence les articles archivés selon 3 types de sources:
« Les sources Mainstream », organismes médiatiques relayant généralement comme son nom l’indique en anglais le « courant de pensée dominante », mais qui pourtant nous offrent parfois des perles de Vérité. Ces organismes appartiennent en général à d’autres organismes, qui eux même appartiennent à encore d’autres propriétaires, et ainsi de suite jusqu’aux pouvoirs dominants rééls.
« Les sources alternatives », indépendantes de tout pouvoir et libres de leur expression. Ces sources interviennent généralement sur le web sous la forme de sites et de blogs.
« Qui ose parler« (et/ ou agir !), catégorie transversale issue de la première version de Pedopolis, elle référence toutes ces personnes courageuses qui osent évoquer les sujets tabous qui animent notre site, en se mettant souvent en danger professionellement, socialement, fiscalement, physiquement, etc. Ces personnages bénéficient de notre respect pour leurs prises de positions assumées, et interviennent dans les 2 types de sources précédentes.
Vous pouvez par mail nous suggérer des sources qui ne sont pas répertoriées dans notre base de donnée.
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Le réseau pédophile d’élite en Angleterre n’est hélas pas un mythe. Dans les années 80, on a entendu parler d’un réseau pédophile installé par le MI6 au Kincora Boys Home, à Belfast. Peu après, ce sont les orphelinats du Pays de Galles qui ont fait parler d’eux. ¨Puis ceux de Londres, d‘Ecosse, et finalement c’est Jimmy Savile qui est tombé. Aujourd’hui, les grandes manœuvres continuent afin d’étouffer le plus gros du scandale : l’implication de la famille royale dans ce réseau pédophile. On va donc parler de satanisme, de pédocriminalité, et d’une sombre affaire de cérémonie qui a mal tourné dans le sud de la France.
Des détectives enquêtant sur le scandale Jimmy Savile planifient l’arrestation d’autres célébrités, impliquées dans des affaires de pédophilie, au cours des prochaines semaines.
« Pour parler d’autre chose, d’assez caché et d’assez inquiétant, et qui viens bouleverser toutes les certitudes de la ménagère de moins de cinquante ans, nous éditons, nous, je dirais courageusement, un bouquin dont personne n’a voulu, chez Kontre Kulture, d’un certain Jacques Thomet qui est journaliste licencié en Histoire, journaliste aujourd’hui à la retraite et qui a travaillé je crois plus de trente ans pour l’AFP, et qui s’appelle « Retour à Outreau: contre-enquête sur une manipulation pédocriminelle ».
Au pays dit des droits de l’homme, ces impératifs sont tombés cul par-dessus tête pour Sandrine et ses jumeaux : non seulement ces enfants violés ont été remis à leur présumé prédateur sexuel, mais leur mère est interdite de rencontre avec eux depuis juin 2012 ! Nous sommes ici en France.
Arguments à la disposition de ceux et celles qui veulent défendre le film de Serge Garde produit par Bernard de la Villardière.
Les critiques qu’on peut lire et entendre sur ce film constituent un cas d’école qui va nous permettre un intéressant décryptage de la manipulation de l’opinion via une désinformation savamment orchestrée. Cette manipulation de l’opinion procède d’éléments de langage en termes d’arguments fallacieux pour le fond (donnés par S. Durand-Soufflant et Karine Duchochois) et d’une invective répulsive sans arguments pour la forme (Le job habituel de Eric Dupond Moretti ). Il est intéressant de constater que des procédés identiques ont été utilisées à partir de 2004 associés à une synergie d’intérêts, sans ignorer la malchance du hasard, qui ont abouti à la plus grand mystification de l’histoire de notre Justice française.
Un directeur d’école a été mis en examen vendredi soir à Saint-Malo et placé en détention provisoire pour des agressions sexuelles commises sur trois de ses élèves âgés de 8 à 9 ans.
La sortie cette semaine du documentaire de Serge Garde « Outreau, l’autre vérité » relance le débat autour de l’affaire et de l’acquittement des accusés. Reportage à l’avant-première, à Boulogne, et avec Karine Duchauchois qui se dit écoeurée, tout comme les avocats des « innocents d’Outreau » qui se trouvent à nouveau victimes du doute.
Nous avons tous été sur-informés pendant l’affaire dite d’Outreau. Elle a traumatisé les consciences et déstabilisé l’institution judiciaire. Jamais une affaire retentissante n’avait aussi peu divisé l’opinion publique. Comme si l’esprit critique avait été anesthésié. Pourquoi ?
Dix ans après, il est temps de s’interroger, de façon dépassionnée, sur ce phénomène qui nous a submergés.
Outreau, un symbole de l’erreur judiciaire ? Que treize des dix-sept accusés aient été acquittés après un ou deux procès, n’est-ce pas le fonctionnement normal de la justice ? Le véritable problème n’est-il pas celui de la détention provisoire ? Outreau, un fiasco judiciaire ? Oui, mais ce n’est pas celui qui a été dit.
C’est à ce décryptage qu’« Outreau, l’autre vérité » vous invite. Un film qui ne laisse aucune place à la fiction. Un film qui repose exclusivement sur des documents et sur de nombreux témoignages, tous inédits.
Outreau ! On pourrait croire que tout a été dit, que tout a été écrit sur Outreau. L’affaire a été jugée, rejugée, et la Justice elle-même a fait l’objet de jugements aussi bien médiatiques qu’institutionnels. C’est entendu : Outreau est le Tchernobyl judiciaire qui par la faute d’un juge coupable a envoyé en prison des innocents. Outreau est ce cri qui accuse les enfants qui fabulent. Outreau est le Plus jamais ça ! de la Justice française.