« Karl vous nous proposez ce livre, « Disparues que sont-elles devenues », c’est un livre consacré à des enquêtes, des enquêtes qui n’ont pas abouti, sans succès, sur des disparitions d’enfants.
Où est passée la petite Maddie McCann, fillette anglaise de 4 ans disparue en Algarve ? Qui a kidnappé Estelle Mouzin ? Quel assassin a imaginé, autour de la dépouille d’Anaïs Marcelli, ce curieux mausolée ? Saura-t-on un jour qui a massacré ces jeunes filles qu’on appelle « les oubliées de l’A6 » ? Et les premières « disparues de Perpignan », le sont-elles pour toujours ?
Karl Zéro sonde ces mystères à la première personne dans des enquêtes à vif, inédites et exclusives, où il cherche à comprendre par qui et pourquoi tant de vies sont brisées. Le livre porte un éclairage nouveau sur cinq dossiers de disparitions non élucidées, toujours brûlants.
Karl Zéro a su imposer un ton novateur et très personnel au traitement des faits divers, une approche humaine, jamais voyeuriste, extrêmement fouillée.
Ils avaient entre 5 et 15 ans. Entre 1983 et 1996, ils ont disparu dans un rayon de 70 km entre Lyon et Grenoble, dans l’Isère. Certains ont été retrouvés assassinés. Pour d’autres, le mystère demeure.
Karl Zéro revient sur l’affaire de la petite Rose. Sa mère, française vivant en Israël, et son beau-père sont accusés du meurtre de la petite fille de 4 ans, dont le corps a été retrouvé dans une valise rouge, sur les bords d’une rivière.
Nous sommes en 1995, une jeune femme disparaît à Perpignan, tout près de la gare. Tatiana est brune, jeune, et jolie, comme Moktaria, Marie-Hélène et Fatima, assassinées dans les années qui suivent.
Près de dix ans après, l’ancien animateur de Canal+ est relaxé. Karl Zero avait lu en 2003, dans le Vrai journal, une lettre du tueur en série Patrice Alègre présentant l’ex-maire de Toulouse Dominique Baudis et un magistrat comme commanditaires de meurtres. L’animateur vient d’être relaxé.
PARIS (Sipa) — Le tribunal correctionnel de Paris a relaxé, vendredi, l’animateur de télévision Karl Zéro, de son vrai nom Marc Tellenne, poursuivi pour avoir lu à l’antenne en 2003 un courrier du tueur en série Patrice Alègre obtenu dans des conditions controversées.