Une affaire qui n’aura pas fait grand bruit : la sortie d’un film à la gloire d’un détraqué (le Dr Kinsey). Invités : Samir Zaki, François Plantey.
Archives de catégorie : SOURCES Alternatives
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La Dépêche Le désaveu de la cellule Homicide 31
Affaire Alègre. Les dossiers Galbardi et Martinez retirés aux gendarmes.
Exit la cellule Homicide 31. Ce groupe d’enquête constituée, en juin 2000, autour de l’ex-adjudant Michel Roussel pour exhumer les meurtres de Patrice Alègre a vécu. Les juges Serge Lemoine et Fabrice Rives qui instruisent conjointement tous les dossiers criminels attribués à au tueur toulousain viennent de retirer aux gendarmes trois des cinq dernières affaires dont ils étaient encore chargés. Et pas les moindres. Il s’agit des assassinats de Line Galbardi, une prostituée frappée à mort en janvier 1992, dans une chambre de l’hôtel de l’Europe, de celui du travesti Claude Martinez retrouvé mort dans son studio un mois plus tard, et du viol d’une autre prostituée toujours en 1992.
Reportage / Alex Jones Bohemian Club: L’Ordre de la Mort
Ce film est le deuxième volet du reportage d’Alex Jones « Dark Secrets Inside Bohemian Grove ».
« The Order of Death » résume tout ce qu’a appris Alex Jones depuis son infiltration au Bohemian Grove le 15 Juillet 2000, levant ainsi le voile sur les pratiques occultes de l’élite. Dans les semaines qui suivirent, Alex diffusa ses images sur son site et publia une vidéo. Les gens furent étonnés d’apprendre que de nombreuses personnalités se rendaient au Grove chaque année, et que cela durait depuis le début du siècle dernier. Ce 2ème film donne la parole aux membres de Bohemian Grove, la presse, et même les militants locaux qui protestent contre le Grove. Enfin, on apprend que le Grove est seulement une des multiples facettes de l’immense société secrète internationale décidée à établir un gouvernement mondial.
Au Troisième Oeil Après les « disparus de Mourmelon », ultime combat judiciaire pour la mémoire des « disparus de Valdahon »
» Plus de 25 ans après la disparition de deux jeunes militaires du camp de Valdahon (Doubs), où Pierre Chanal était instructeur, leurs familles placent dans une indemnisation de la justice leur seul et ultime espoir de réhabiliter la mémoire des deux garçons, considérés comme déserteurs. La commission d’indemnisation des victimes d’infraction (CIVI) de Besançon rendra le 3 février sa décision sur la demande d’indemnisation déposée par les familles de Michel Giannini et Aldo Tacchini. Pour statuer, elle devra se prononcer sur le caractère criminel, ou non, de la mystérieuse disparition des deux appelés du camp où ils effectuaient leur service militaire, en 1975 et 1977. Avocats et familles des jeunes gens venus jeudi à Besançon défendre le dossier devant la CIVI sont convaincus que les « disparus de Valdahon » ont été les premières victimes de l’adjudant Chanal. « On ne déserte pas pendant près de trente ans sans laisser de traces et sans donner de nouvelles », soutient Me Gérard Chemla, qui défend, avec Me Vincent Durtette, sept des huit familles de victimes présumées de Pierre Chanal à Mourmelon (Marne) et dans les départements limitrophes entre 1980 et Après le suicide de l’ancien adjudant-chef en octobre 2003 durant son procès devant la cour d’assises de la Marne pour trois de ces assassinats, la requête devant la CIVI constitue le seul recours possible des familles des « disparus de Valdahon ». « Nous voulons que l’armée et la justice reconnaissent leurs négligences et leurs fautes », explique Bruno Tacchini, frère d’Aldo, selon lequel « aucune enquête sérieuse n’a été faite pendant vingt-cinq ans alors que le rapprochement avec Chanal aurait dû être établi ». En 2001, une première enquête de la gendarmerie de Besançon apprenait aux familles qu’un lien avec Chanal était envisagé mais sans preuves. « Le montant de l’indemnisation est symbolique. Nous attendons avant tout la reconnaissance des familles en qualité de victimes et qu’il soit dit que les deux jeunes gens n’ont pas disparu dans des conditions naturelles », explique Me Chemla. Le représentant du ministère public devant la CIVI n’a pas soutenu la requête des familles qui demandent 40.000 euros en faveur des parents et 20.000 euros pour les frères des jeunes gens. Le Fonds de garantie des victimes, chargé de l’indemnisation, s’est également prononcé contre la requête. »
DH.be Evreux: Procès d’un instituteur accusé de 38 viols et abus sexuels
Le procès de Marcel Lechien, 51 ans, cet instituteur accusé de viols et agressions sexuelles sur 38 enfants à l’école primaire de Cormeilles (Eure), s’ouvre ce mardi devant la cour d’assises de l’Eure à Evreux. Le procès, prévu pour durer jusqu’au 19 novembre se dérouler à huis clos. Marcel Lechien, qui, de son côté et par la voie de son avocat, demande que son procès soit public, encourt une peine de vingt ans de réclusion criminelle. L’instituteur, écroué depuis février 2001, est renvoyé pour trois viols et de multiples agressions sexuelles à l’encontre de 38 victimes âgées de 6 à 10 ans, des actes pédophiles commis entre1989 et2001 en classe de CP à l’école primaire de Cormeilles (ouest de la France), 1.100 habitants.
Prison Planet Pédocriminalité et Bohemian Club – Interview de l’ancien sénateur John DeCamp
https://youtu.be/mNtKWfnExXE
L’ancien sénateur John DeCamp, l’investigateur principal du documentaire « Conspiracy of Silence », répond aux questions d’Alex Jones.
ICW - Collectif des Mères Infanticide et Matricide au «Pays des Droits de l’Homme»
ICW – Association à vocation sanitaire et sociale
Collectif des Mères
COMMUNIQUE DE PRESSE
Infanticide et Matricide au «Pays des Droits de l’Homme» En France en 2004, nos Enfants victimes d’agressions sexuelles incestueuses ont pour obligation de visiter, voire de résider avec leurs pères-abuseurs. Rassemblées au sein de l’association ICW-Collectif des Mères, de nombreuses mères sur le territoire français, multiplient les démarches nécessaires pour protéger et défendre l’intégrité physique et morale de leurs enfants victimes d’agressions sexuelles incestueuses.
Antiogre Qu’est-il arrivé à Marion Wagon?
Au Troisième Oeil Reportage sur les dysfonctionnements de l’affaire des Disparus de Mourmelon
» Les avocats des familles de victimes vont déposer plainte contre l’état pour faute lourde.
Les avocats dénoncent une suite de 20 ans de dysfonctionnement judiciaires.
L'Humanité Pédocriminalité: la France épinglée par l’ONU
Dans de nombreux dossiers dans lesquels des enfants sont victimes de violences sexuelles, » la plupart des juges ne sont guère enclins à entendre les enfants » (point 85), et la France se voit rappeler l’article 12 de la convention des droits de l’enfant, qui assure à tout mineur » la possibilité d’être entendu dans toute procédure judiciaire ou administrative l’intéressant « . Le constat est tel que l’ONU préconise l’affectation » des ressources adéquates à l’appareil judiciaire aux fins de la formation relative aux droits de l’enfant « . De même, le Conseil de l’ordre des médecins est invité à revoir » de toute urgence ses procédures de façon à soutenir au lieu de condamner les médecins qui font part de leurs soupçons de sévices à enfant » (point 59). Il n’a pas échappé au rapporteur de l’ONU que ledit Conseil ordinal a poursuivi une centaine de médecins » coupables » d’avoir effectué un signalement assimilé à une » dénonciation calomnieuse « . La grande discrétion accordée à la publication de ce rapport en France en dit long sur les réticences à remettre en question le dogme qui prévaut dans la majorité des prétoires : l’enfant est, a priori, présumé menteur. Ce sont les catastrophes judiciaires et humaines qui en découlent qui avait motivé la visite du rapporteur spécial de l’ONU en France, fin 2002.
L'Humanité La pédocriminalité via Internet
En marge de l’affaire Dutroux, un colloque sur la pédocriminalité s’est tenu dans l’enceinte du Parlement européen à Bruxelles, le 28 janvier 2004, à l’initiative du groupe des Gauches unitaire européenne-Gauche Verte nordique. Eurodéputée communiste et coorganisatrice, Sylviane Ainardi dénonce une véritable forme de négationnisme : » La pédocriminalité est niée par beaucoup de personnes honnêtes, parce c’est quelque chose qui dérange, qui dépasse l’entendement. Ça m’a renvoyé à mon histoire familiale. Mes parents ont été déportés, mais la réalité des camps de concentration a été niée jusqu’au retour des rescapés. Parce que cela touche à l’indicible. »
L'Humanité Pédophilie. La Marche blanche pour une vraie justice
Bref, ce n’était jamais une priorité. En Belgique, les parents de Julie et de Mélissa, puis la grande masse des citoyens en imposant leur parole dans la rue, signifiaient aux gouvernements européens qu’ils n’acceptaient plus la désinvolture de l’État face aux crimes commis sur les enfants. Dans ce mouvement, 1996 est aussi une date clé dans la révélation des incestes et des agressions sexuelles commis sur des mineurs au sein des familles. Personne ne soupçonnait l’ampleur du phénomène, dans tous les milieux sociaux. Coup sur coup, trois réseaux sont démantelés de façon hypermédiatisée, en France : Toro Bravo, Achille, Ado 71. Il s’agit de calmer l’opinion, en démontrant qu’en France une affaire Dutroux était impossible. Pourtant sept jeunes filles handicapées mentales avaient disparu dans l’Yonne dans les années soixante-dix, sans susciter de réaction de la Justice. Le réseau franco-colombien Toro Bravo était organisé par ceux que nous avions dénoncés dix ans auparavant, derrière la galerie de photo qui jouxtait le Sénat. Après 1998, le naturel judiciaire a repris le dessus. Les réseaux ? quels réseaux ? Des fantasmes de journalistes. Des tribunaux ont jugé des affaires impliquant des dizaines de personnes comme s’il s’agissait d’individus sans liens organisés. La mondialisation et l’Internet dopaient la pédocriminalité partout, sauf en France où l’on continue d’opposer les violences sexuelles intrafamiliale (90 % dit-on) aux réseaux. Un clivage qui ne correspond plus à la réalité. Dire cela, ce n’est pas minimiser l’importance de l’inceste. Mais dans de nombreuses affaires, on retrouve des noyaux familiaux et des échanges ou des ventes d’enfants, de matériels pédopornographiques, via le Web.