est une chaîne de télévision généraliste française de service public, qui succède à La Cinquième le 7 janvier 2002 et fait partie du groupe France Télévisions. Sa couleur d’identification au sein du groupe de télévision public est le vert et se retrouve sur tout son habillage d’antenne. Ses programmes sont axés sur l’éducation, le savoir et la connaissance. Elle est disponible sur la TNT, le câble, le satellite, la télévision par xDSL et Internet.
Les faits avaient choqué tout le pays et ébranlé l’an dernier l’Education nationale. Le directeur d’école de Villefontaine dans l’Isère, Romain F., 46 ans, avait été mis en examen et écroué pour des viols commis sur des élèves – la justice évoque plus de 60 victimes potentielles dans différents établissements scolaires où a officié l’enseignant. Incarcéré à la prison de Lyon-Corbas, il a été retrouvé mort ce mardi, pendu dans sa cellule.
Evincé à la Révolution française, l’Assemblée nationale réintroduit l’inceste dans le Code pénal, pour qualifier des violences sexuelles commises à l’encontre des mineurs par des membres de leurs familles. Une avancée symbolique qui ne va pas assez loin selon l’Association Internationale des Victimes de l’Inceste (AIVI).
En mars 2013 s’est tenu aux Assises de Paris un procès hors norme. Après 19 années de procédure, le scandale de l’École en bateau a enfin été jugé. De 1969 à 2001, cette association, fondée par Léonid Kameneff, ancien instituteur et psychologue, a accueilli plus de 400 enfants à bord de plusieurs bateaux, de longs mois durant, pour vivre une aventure extraordinaire loin de leur famille. Mais cette utopie a caché l’une des plus grandes affaires de pédophilie connues à ce jour en France. Émaille des témoignages de certaines victimes, ce film tente de comprendre comment le silence et la culpabilité ont empêché les enfants de dénoncer leurs agresseurs pendant si longtemps. Il dresse également le constat des ravages que causent les actes pédophiles dans les vies des victimes.
Négligences multiples, maltraitance, détournement d’argent public, absence totale de contrôle des établissements ou des familles d’accueil… C’est le terrible constat que font les auteures de ce documentaire, après deux ans d’enquête dans l’univers très opaque de la protection de l’enfance.
Lorsque l’on veut s’intéresser à l’aide sociale à l’enfance, on a l’impression de vivre une mauvaise farce. Ce qui a coûté plus de 7,5 milliards d’euros en 2011 aux contribuables ne nous empêche pas d’être scandalisé à chaque nouveau drame touchant des enfants. de nombreux faits divers étayent ce constat : un directeur d’association qui touche plus de 9000 € par mois de salaire en plus des milliers d’euros de frais personnels prix sur le budget de fonctionnement ; un pédophile, déjà condamné, engagé comme veilleur de nuit d’un foyer qui héberge des mineurs. et parfois des enfants qui meurent, victimes de mauvais traitements… Certes, il existe des travailleurs sociaux qui interviennent d’une manière admirable ; leur abnégation ne peut pas cacher les manques et l’inexis- tence de contrôles des établissements ou des familles chargés de cette protection de l’enfance. pendant deux ans, les réalisatrices ont enquêté pour mettre au jour ce que cache ce monde où l’opacité et la loi du silence sont des règles absolues. un constat révoltant : beaucoup d’argent a été dépensé pour un maigre résultat…
Extrait du reportage « Pédophilie, crime et maladie »
Hier, France 5 diffusait le documentaire « Pédophilie, crime et maladie ».
Dans l’une des scènes, on découvrait Paul, un pédophile de 23 ans qui a agressé sexuellement une fillette de trois ans.Pour tenter de comprendre les raison qui l’ont poussé à passer à l’acte, une psychiatre lui demande d’en raconter les moindres détails.La scène difficile d’un pédophile qui raconte l’une de ses agressions sur WAT.tv
Géraldine Laura a mené l’enquête pour découvrir s’il est possible de prévenir la pédophilie et a rencontré des équipes soignantes, ainsi que des patients.
« Karl vous nous proposez ce livre, « Disparues que sont-elles devenues », c’est un livre consacré à des enquêtes, des enquêtes qui n’ont pas abouti, sans succès, sur des disparitions d’enfants.
Au nom de la parité et par souci d’égalité homme-femme (ou femme-homme si vous préférez), Viggo Hansen, un député suédois membre du Parti de gauche de Sörmland, propose très sérieusement de contraindre les hommes à uriner assis.
C’est beau, l’égalité.