Archives de catégorie : Groupe Le Monde

AFP / Le Monde Affaire Outreau: Myriam Badaoui est sortie de prison

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Myriam Delay-Badaoui (à droite), principale accusée dans l’affaire de pédophilie d’Outreau et son mari, Thierry Delay, au palais de justice de Saint-Omer, le 08 Juin 2004 – AFP, Philippe Huguen

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Blog Le Monde, Jacques Cuvillier « Présumé coupable » : réalité ou fiction ?

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Par Jacques Cuvillier, Ex Maître de Conférences – 31.08.11

Présumé coupable En version papier ou sur Internet, vous êtes certainement tombé sur un article présentant ce film comme « l’événement de la rentrée ». L’information est partout, et les efforts déployés pour arriver à un tel niveau de couverture démontrent s’il en était besoin le militantisme sous-jacent.

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Blog Le Monde Jacques Cuvillier Outreau : plus que de poursuites, Chérif a besoin de soutien

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Blog Mediapart Marie-Christine Gryson Outreau : que nous disent leurs souffrances? Innocence et culpabilité

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Le Monde Outreau : la vie déglinguée des Lavier

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Quand Carla (tous les prénoms des enfants ont été modifiés), 11 ans, accompagnée de son frère Lilian, 10 ans, a toqué à la porte de son ancienne mère d’accueil, le 24 février dans la matinée, après avoir parcouru presque cinq kilomètres à pied, celle-ci ne l’a pas reconnue. Elle n’avait pas revu la fillette depuis décembre 2005, date de l’acquittement de ses parents, Franck et Sandrine Lavier, après le procès en appel d’Outreau (Pas-de-Calais).

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Blog Mediapart Marie-Christine Gryson Outreau: qui parle de révisionnisme ? par Jacques Cuvillier le MONDE .fr

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Le Monde Jacques Cuvillier – Qui a peur des enfants d’Outreau ?

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AFP / Le Monde La vie sexuelle de Gandhi dévoilée dans un livre

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Source: http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2010/05/01/la-vie-sexuelle-de-gandhi-devoilee-dans-un-livre_1345468_3216.html

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(Le Monde) « La Mauvaise Vie » de Frédéric Mitterrand : les passages qui dérangent

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Extrait du livre La Mauvaise Vie, de Frédéric Mitterrand (Edition Robert Laffont, 360 p., 2005), pages 293 à 307.

« Le garçon marche dans la nuit à quelques pas devant moi. Pantalon de teinte sombre ajusté sur les hanches, étroit le long des jambes ; tee-shirt blanc qui colle au contour des épaules et à la ligne du dos ; bras nus, une Swatch au poignet, cheveux noirs avec des reflets brillants, dégagés sur la nuque. Démarche souple, allure tranquille, tout est beau, net, irréprochable. Il ne se retourne pas, il sait que je le suis et il devine sans doute que cet instant où je le regarde en profil perdu, de près et sans le toucher, me procure un plaisir violent. Il a l’habitude. C’est le quatrième depuis hier soir, j’ai voulu passer par un club que je ne connaissais pas encore avant de rentrer à l’hôtel et je l’ai aussitôt remarqué. Il n’y a que pour ceux qui ne les désirent pas qu’ils se ressemblent tous. Il se tenait comme les autres sur la petite scène, les mains croisées en arrière pour bien marquer le corps dans la lumière, en boxer short immaculé, le côté saint Jean-Baptiste qu’ils retrouvent instinctivement et que les pédés adorent, mais le visage fermement dessiné, l’expression avec du caractère, regard sans mièvrerie et sourire sans retape, un charme immédiat qui le détachait du groupe des enjôleurs professionnels. J’imaginais Tony Leung à vingt ans. Il a ri comme s’il avait gagné à la loterie quand j’ai fait appeler son numéro et lorsqu’il est venu près de moi, j’ai deviné brièvement l’odeur de sa peau, eau de Cologne légère et savon bon marché ; pas de ces parfums de duty free dont ils raffolent en général. Il avait l’air vraiment content d’aller avec moi ; j’ai senti qu’il serait vif et fraternel. Les rats qui grouillent dans la ruelle détalent à notre passage, les néons disparaissent derrière nous dans la pénombre, les remugles des poubelles s’estompent dans la chaleur poisseuse, et le vacarme assourdissant de la techno qui dégorge par les portes ouvertes de tous les autres clubs accentue cette impression de privation sensorielle où je concentre toute mon attention uniquement sur lui et sur ce que j’en attends. Mauvaise musique grossièrement frelatée au synthé sur des standards que l’on ne reconnaît plus mais dont le rythme infernal bombarde tout le quartier, fait chanceler entre excitation et hébétude et saoule le désir qui tambourine contre les tempes. Ça baisse un peu dans le souterrain qui mène au parking de l’hôtel. Il élève ses quinze étages de médiocre confort international au-dessus du flot populeux et du magma des boîtes et des gargotes, abritant une clientèle pas trop friquée de tour operators qui sort le jour en groupes serrés et tâte furtivement du grand frisson et de la rigolade à souvenirs avant de se coucher tôt derrière les doubles vitrages climatisés. Mais il plonge ses racines dans un sol autrement plus fertile : la sorte de grotte où le gang des chauffeurs de taxi se livre à des parties de cartes vociférantes dans une atmosphère de tripot pour films de kung-fu commande l’accès à une série de chambres sans fenêtre qui se louent ordinairement à l’heure, et pour longtemps, voire à perpétuité si on veut en finir et y mettre le prix. Ce n’est certainement pas le pire endroit pour mourir, anonymat et discrétion assurés. De vilains jeunes gens qui n’auraient eu aucune chance sur la rampe à numéros prennent leur revanche en s’affairant devant les caves à plaisir : ils détiennent les clefs, assurent la circulation qui peut être dense, relèvent les compteurs, font le ménage entre les passes. Plutôt sympatiques au demeurant : ils prétendent connaître tous les garçons par leurs noms et traitent les habitués à pourboires en jouant la comédie d’un service de palace. Le réduit et la salle de bains sont très propres : serviettes sous cellophane, housse en papier sur le lit sans drap, moquette neuve, ventilateur chromé, des miroirs un peu partout et même au plafond pour qui ça intéresse. Le room valet, comme il se désigne élégamment lui-même, fait une tentative pour me montrer comment marche la télévision et, jaugeant mon air apparemment défait, me propose à tout hasard des cassettes sans doute destinées à me ranimer. On rit un peu sans bien se comprendre, je lui refile les billets pour deux heures avec de quoi s’offrir une autre dent en or et il sort en chantonnant. Nous sommes seuls. Mon garçon n’a pas dit un mot, il se tient devant moi, immobile, le regard toujours aussi droit et son demi-sourire aux lèvres. J’ai tellement envie de lui que j’en tremble.

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Le Monde Affaire Borel : Djibouti tente de relancer la piste pédophile

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Douze ans après la mort du juge français Bernard Borrel, à Djibouti, le 19 octobre 1995, les autorités judiciaires djiboutiennes ont lancé une série de convocations, dans le cadre d’une affaire de pédophilie, à l’adresse de plusieurs Français en poste à l’époque dans le pays. Ces convocations font suite à une plainte déposée, le 10 avril, par deux Djiboutiens de 23 et 25 ans pour des agressions sexuelles dont ils auraient été victimes, dans les années 90, dans le cadre d’un réseau pédophile.

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Le Monde Que s’est-il passé à la Mamounia avec Douste-Blazy ?

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L’affaire a suscité la colère de Jacques Chirac. Les ministres en font, depuis quelques semaines, des gorges chaudes. Et sur les bancs de l’opposition, à l’Assemblée nationale, on s’amuse à susurrer sur le passage de Philippe Douste-Blazy, « Mamounia ! Mamounia ! »

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AFP / Reuters / Le Monde Un accident de chasse impliquant Dick Cheney met la Maison Blanche dans l’embarras

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La Maison Blanche a tenté, lundi 13 février, de faire face au feu nourri des critiques qui l’accusent d’avoir tardé à communiquer sur un accident de chasse impliquant Dick Cheney. Samedi, le vice-président a sérieusement blessé l’avocat Harry Whittington, lors d’une partie de tir à la caille dans un ranch, au Texas. La victime, âgé de 78 ans et atteint au visage, au cou et à la poitrine, a été admis en soins intensifs au Christus Spohn Hospital Memorial de Corpus Christi. Mais « il est en bonne santé, il se porte bien », a indiqué Michele Mora-Trevino, porte-parole de l’hôpital.

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