Dans une décision très attendue, la Cour de cassation a jugé qu’il fallait inscrire à l’état civil français deux enfants nés de gestation pour autrui (GPA) à l’étranger.
Le cadavre de l’enfant, qui aurait moins de deux ans, a été découvert mardi sur une plage de Saint-Tropez par une promeneuse. Il semblerait, selon les premiers éléments de l’enquête, qu’il ait été rejeté par la mer.
La société France Télécom-Orange, dont l’intégrité et la probité ont été gravement mises en cause dans l’article intitulé « Guinée Equatoriale les gros pépins d’Orange« , publié en pages 60 et 61 du n° 3210 du magazine L’Express, daté du 9 janvier 2013, entend apporter les précisions suivantes:
http://blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon/2012/07/27/condamne-pour-agression-sexuelle-alain-marville-a-demissionne-du-godf/
Agissant au nom de la famille de la famille d’une mineure équato-guinéenne, l’avocat français Norbert Tricaud a déposé, le 19 avril, auprès du procureur de la République de Paris, François Molins, una plainte pour viol visant un ex-cadre de France Télécom-Orange, ainsi que quatre hauts responsables du géant de la téléphonie, accusés, quand à eux, de complicité et de non-dénonciation de crime. Un arrangement, conclu en mars 2008, avait conduit à la reconnaissance de paternité de la fille née de cette relation, un an plus tôt, et au versement d’un dédomagement financier. Soucieuse de sauvegarder son image dans un pays où opère sa filiale africaine la plus rentable, France Télécom s’était alors engagée à sanctionner l’employé incriminé. Vaine promesse: l’intéressé a regagné son bureau de Malabo, avant de prendre la direction de la société de génie civil CGC, prestataire de son ancien employeur. La bienveillance dont il bénéficie paraît d’autant plus insolite que dans le temps, la maison mère a « lâché » un autre cadre condamné – abusivement -par la justice locale. Lequel cadre, Yves Garcia, avait oeuvré à la conclusion de l’accord amiable mentionné plus haut …
Isabelle Sebagh s’est réveillée de son cauchemar. Et a couché son calvaire sur papier. Un roman noir. Le récit de cette ex-adepte de la secte Iso Zen est si incroyable que l’on se demande comment elle a pu – après sept années de « folie » – recouvrer sa liberté perdue. A 17 ans, elle a été envoûtée par Iso, un gourou loufoque et pervers, qui s’estime investi de pouvoirs divins, en liaison avec de puissants extraterrestres. A ceux qui le suivent il promet de survivre à l’Apocalypse, prévue « pour demain ». Comme tous les gourous de ce type, il s’emploie à couper les adeptes-victimes du monde extérieur, surtout de leurs familles, et leur impose privation de sommeil et de nourriture. Bien pis, Iso exerce son pouvoir sur les coeurs et la sexualité de ses recrues en formant ou en brisant des couples. Il impose aux jeunes femmes des « mutations » cosmiques destinées à repousser Satan: une cinquantaine d’entre elles doivent ainsi se réunir en cercle autour de lui et se masturber jusqu’à l’orgasme.
Le départ d’Isabelle n’a pas mis fin aux méfaits de la secte et de son gourou, lequel change régulièrement d’identité et de domicile. Aujourd’hui, Iso et ses esclaves seraient, après un long séjour en Polynésie, implantés dans la région d’Orléans et à Antibes. Le gourou ésotérique prospérerait en toute impunité en arrondissant son patrimoine et en développant des filiales à l’étranger.
