Le slogan de la pop star David Guetta s’incruste sur les sacs de nos chères têtes blondes. Est-ce bien raisonnable?
Enième coup marketing? Faute de goût? Ou carrément invitation à la pédophilie? «F*** me I’m famous!», le slogan second degré de la star de l’electro David Guetta délaisse les dancefloors d’Ibiza pour s’inviter dans la rentrée scolaire suisse. Cette phrase signifiant grosso modo «Baise moi, je suis célèbre!» (ndlr : et titrant un album daté de 2003) orne en effet des sacs et des trousses en vente actuellement en Suisse romande. Comme beaucoup d’autres adultes, Lionel Favre, qui est passé hier devant la devanture d’une célèbre papeterie est choqué. Le jeune artiste lausannois n’a pourtant pas encore d’enfant. «Mais quand ce sera le cas, dit-il, je n’ai pas envie de les voir se balader avec une telle invitation sur le dos! Ce marketing poussé à l’extrême est assez dégueulasse.»
Le rappeur Zirko , originaire de Bezons et membre du collectif SKS CREW (Syndikal Syndrome Crew), fait un freestyle téléphonique à l’antenne de Skyrock à l’occasion du Planète Rap spécial Urban Peace 3, avec, comme invités, le célèbre groupe Psy 4 de la rime.
Reprise par de nombreux sites, cette vidéo avait totalisé plus de 37.000 visionnages en plus de 3 ans. Soudainement aujourd’hui, Dailymotion, habitué de ce genre de forfaiture, et sans aucune explication, l’a purement et simplement supprimée.
Yvan Blot a rédigé un article sur la théorie du genre si chère au cœur d’une madame Taubira. Dans cet écrit il rend hommage à l’ouvrage du professeur Jean-François Mattéi qui, lui, a sorti un livre qu’il avait intitulé « La barbarie intérieure, Essai sur l’immonde moderne ». Compte tenu de l’ampleur du mouvement de protestation en France, nous avons cru bon décortiquer avec le docteur Blot tous les tenants et les aboutissants de cette théorie diabolique dont on essaie d’intoxiquer nos enfants. Et je vous assure que l’exposé d’Yvan Blot vous fait peur par la froide et impartiale analyse de la prochaine étape qui attend la France.
Aux Etats-Unis, une vague de panique sur les abus sataniques dans les écoles a traversé le pays dans les années 80 et 90. Pour un peu, on allait faire exploser le gouvernement, vérolé à 100% par les satanistes. Alors, il a fallu contre attaquer. La plus belle création de cette propagande étant la False Memory Syndrome Foundation, infiltrée dès le départ par la CIA et qui sert à nier par tous les moyens la réalité des abus rituels aux USA.
Pour aller plus loin dans l’affaire de Miley Cyrus et toutes les stars issues de l’écurie Disney…
Walt Disney : du cannibalisme à la pornographie Aux États-Unis, le 1er mai 1989, une jeune femme de vingt-neuf ans, Vicky Polin, apparaît sur le plateau de télévision de la célèbre animatrice Oprah Winfrey. Elle révèle que sa famille fait partie d’une secte satanique qui remonte au XVIIIe siècle : ses proches exercent même les professions honorables d’avocat, de médecin ou d’agent de police. Derrière cette apparente respectabilité, ils s’adonnent à des sacrifices humains, à l’inceste et au cannibalisme. Ils boivent le sang de bébés assassinés. Évoquant l’existence des Illuminati, Vicki Polin explique que ces rituels sont effectués « pour acquérir du pouvoir » Elle raconte avoir « été forcée de sacrifier des bébés ». Violée par son père, elle a avorté cinq fois. Sa thérapeute, le Dr Tina Grossman affirme avoir traité plus de quarante survivants américains, victime du satanisme.
Ce témoignage précis atteste que le satanisme est bien la religion la plus secrète et la plus élitiste : de fait, la pédophilie est bien un piètre mot servant de paravent à des rites cannibales et sacrificiels.
Portés disparus depuis quelques temps, environs 20 enfants âgés de deux mois à 5 ans ont été retrouvés le 29 juillet dernier dans un orphelinat au quartier Tshatshatsha par des habitants qui ont saccagé le lieu, le soupçonnant également le « pseudo » orphelinat qui vend des enfants aux homosexuels américains.
Elles sont toutes enfants ou adolescentes et se rêvent déjà femmes. Elles sont addictes au shopping, connaissent toutes les marques, sont obsédées par leur apparence et leur poids. Elles n’ont qu’un rêve : ressembler aux tops des magazines. . Qui sont ces petites filles qui à 12 ans en paraissent déjà 20 ? C’est ce que nous allons découvrir dans ce documentaire à travers plusieurs portraits de petites filles et d’adolescentes, encouragées ou non par leur famille à se comporter comme des lolitas très précoces. Nous découvrirons leur rapport à leurs mères, aux hommes, aux autres petites filles, à l’argent. Portrait d’une génération de fashionistas .
Un enfant russe récupéré par un couple homosexuel étranger a été victime de pédophilie, a fait savoir le délégué du président russe pour les droits des enfants Pavel Astakhov.