Samedi se tenait à Paris une élection de mini-miss, sur le modèle de Miss France. Des concours de beauté pour les 5 – 11 ans qui pourraient être interdits… En réaction, la plupart des fillettes portaient des bonnets rouges.
Certains supermarchés ont décidé de briser les stéréotypes garçons – filles. Le groupe Système U vient de sortir un catalogue de jouets pour Noël où les filles jouent avec des grues, et les garçons avec des poupées. Une initiative qui déplait aux opposants de la « théorie du genre », et notamment des militants de la Manif pour tous qui appellent au boycott de l’enseigne.
On parle beaucoup des raves parties à base de transe sonore et chimique. Les victimes officiellement identifiées – malgré la désinformation – ne font que cacher les ravages psychiques sur le long terme, moins apparents mais considérables. Avec les rave parties et la techno, on pense qu’on est loin du temps des fleurs dans les cheveux et des joyeux rassemblements hippies des années 60. Mais tout a commencé à Woodstock à la fin de la folle décennie des sixties. C’est dans ce coin de campagne du nord de l’État de New York que les services secrets américains ont parqué un demi million de jeunes pour se livrer à la plus grande expérience de manipulation collective de l’histoire du rock, et sans doute de l’histoire tout court.
Dans la nuit de mardi 17 à mercredi 18 septembre, le Sénat a adopté un amendement prohibant les concours de beauté pour les moins de 16 ans.
La chambre haute a mis un coup d’arrêt à l’hypersexualisation des petites filles à l’occasion de l’étude du projet de loi sur l’égalité des femmes et des hommes. Les sénateurs ont ainsi interdit les concours de beauté pour les enfants de moins de 16 ans, en adoptant un amendement de la centriste Chantal Jouanno. L’ancienne ministre avait remis un rapport parlementaire dénonçant le phénomène en mars 2012.
Deux exemples flagrants de la culture du Mind-Control dans la pop sud-coréenne
La symbolique illuminati du contrôle mental n’existe pas seulement dans le monde occidental. En Asie, la scène très populaire de K-pop (pop sud-coréenne) est remplie de ces même images. Examinons les clips « Insane » de A-JAX et « Hate You » de Ladie’s Code, deux exemples flagrants qui prouvent que le symbolisme de l’élite est international.
Le slogan de la pop star David Guetta s’incruste sur les sacs de nos chères têtes blondes. Est-ce bien raisonnable?
Enième coup marketing? Faute de goût? Ou carrément invitation à la pédophilie? «F*** me I’m famous!», le slogan second degré de la star de l’electro David Guetta délaisse les dancefloors d’Ibiza pour s’inviter dans la rentrée scolaire suisse. Cette phrase signifiant grosso modo «Baise moi, je suis célèbre!» (ndlr : et titrant un album daté de 2003) orne en effet des sacs et des trousses en vente actuellement en Suisse romande. Comme beaucoup d’autres adultes, Lionel Favre, qui est passé hier devant la devanture d’une célèbre papeterie est choqué. Le jeune artiste lausannois n’a pourtant pas encore d’enfant. «Mais quand ce sera le cas, dit-il, je n’ai pas envie de les voir se balader avec une telle invitation sur le dos! Ce marketing poussé à l’extrême est assez dégueulasse.»
Yvan Blot a rédigé un article sur la théorie du genre si chère au cœur d’une madame Taubira. Dans cet écrit il rend hommage à l’ouvrage du professeur Jean-François Mattéi qui, lui, a sorti un livre qu’il avait intitulé « La barbarie intérieure, Essai sur l’immonde moderne ». Compte tenu de l’ampleur du mouvement de protestation en France, nous avons cru bon décortiquer avec le docteur Blot tous les tenants et les aboutissants de cette théorie diabolique dont on essaie d’intoxiquer nos enfants. Et je vous assure que l’exposé d’Yvan Blot vous fait peur par la froide et impartiale analyse de la prochaine étape qui attend la France.
Pour aller plus loin dans l’affaire de Miley Cyrus et toutes les stars issues de l’écurie Disney…
Walt Disney : du cannibalisme à la pornographie Aux États-Unis, le 1er mai 1989, une jeune femme de vingt-neuf ans, Vicky Polin, apparaît sur le plateau de télévision de la célèbre animatrice Oprah Winfrey. Elle révèle que sa famille fait partie d’une secte satanique qui remonte au XVIIIe siècle : ses proches exercent même les professions honorables d’avocat, de médecin ou d’agent de police. Derrière cette apparente respectabilité, ils s’adonnent à des sacrifices humains, à l’inceste et au cannibalisme. Ils boivent le sang de bébés assassinés. Évoquant l’existence des Illuminati, Vicki Polin explique que ces rituels sont effectués « pour acquérir du pouvoir » Elle raconte avoir « été forcée de sacrifier des bébés ». Violée par son père, elle a avorté cinq fois. Sa thérapeute, le Dr Tina Grossman affirme avoir traité plus de quarante survivants américains, victime du satanisme.
Ce témoignage précis atteste que le satanisme est bien la religion la plus secrète et la plus élitiste : de fait, la pédophilie est bien un piètre mot servant de paravent à des rites cannibales et sacrificiels.