Jérôme Menez est l’auteur de l’ouvrage « La valse des irresponsables ». Lors de son passage sur MetaTV le 25 avril, il a abordé pendant quelques minutes le sujet du contrôle mental, autant individuel que collectif.
Les personnes qui souffrent de maladies mentales font de bons sujets pour les expérimentations MK parce qu’elles sont souvent privées de leurs droits et qu’il est facile de les discréditer par la suite en mettant leurs témoignages sur le compte de leur maladie. Karen Wetmore est une de ces victimes du programme MK-Ultra, elle est l’auteur du livre « Surviving Evil: CIA Mind-Control Experiments in Vermont ».
Le 17 août 1951 à Pont-Saint-Esprit, dans le Gard, le village entier semble pris de folie, après ce qui ressemble à une banale intoxication collective. Pendant une semaine, les scènes surréalistes s’enchaînent, avec des habitants en proie au délire et à des hallucinations. A l’issue de cette semaine, on déplore cinq morts et 300 malades, dont une soixantaine internée dans des hôpitaux psychiatriques. En 2009, le journaliste américain Hank Albarelli assure dans un livre que le village aurait été victime d’une expérience sur les effets du LSD, menée conjointement par l’armée américaine et la CIA. Une théorie qui prend place aux côtés de l’empoisonnement par l’ergot de seigle ou les mycotoxines dans le catalogue des hypothèses.
On a déjà vu ici des témoignages de victimes de réseaux pédophiles que je qualifie « d’élite », venus des Etats-Unis, des Pays-Bas, d’Angleterre, d’Allemagne, et bien sûr de France. On va voir aujourd’hui ce que dit un certain Marc Onnestad, qui raconte, finalement, son parcours de fils du sérail, de ces familles dans lesquelles tout votre destin tient à des jeux d’intérêt. Il s’agit d’un témoignage qui, à première vue, peut sembler extravagant. Mais, je commence à en avoir entendu un peu trop, de ces témoignages, pour qu’il n’y ait pas un vrai système derrière ces accusations. Tentative d’explication.
Titre d’origine: « Kubrick & The Illuminati – Don’t you want to go where the rainbow ends? »
A l’occasion de son anniversaire -Stanley Kubrick aurait eu 85 ans le 26 juillet dernier-, un joli cadeau a fait son apparition sur la toile pour tous les fans du maître Kubrick : un documentaire de 30 minutes tentant de percer les secrets d’Eyes Wide Shut. Baptisé Kubrick & The Illuminati et sous-titré « Don’t you want to go where the rainbow ends? », le film, illustré avec de nombreux extraits de films de Kubrick et autres (Nolan, Polanski, Spielberg), développe plusieurs pistes, notamment liées à la scientologie, la pédophilie, la symbolique maçonnique, et aux théories du complot (d’où le titre faisant référence à l’Illuminati). Gasface (Mathieu Rochet et Nicolas Venancio), à l’origine de ce documentaire, s’appuie sur l’analyse du scénariste et critique Laurent Vachaud, auteur de l’article Le secret de la pyramide, publié dans la revue Positif en janvier dernier. Michel Ciment participe également au film.
Cette semaine nous avons reçu le Dr Colin Ross, psychiatre qui a obtenu son doctorat à l’Université d’Alberta en 1981 et a terminé sa spécialisation à l’Université de Manitoba en 1985. Il est l’auteur de plus de 170 articles publiés dans des revues professionnelles, la plupart traitant de la dissociation, du traumatisme psychologique et du trouble de la personnalité multiple. Il est l’ancien président de l’International Society for the Study of Dissociation and Trauma et a été Boursier Laughlin de l’American College of Psychiatrists.
Jesse Ventura interview des personnes qui se disent être des « individus ciblés » (targeted Individuals, or TIs), et qui prétendent qu’ils sont manipulés et torturés par des signaux (Controle Mental, psychotronique) depuis qu’ils ont témoigné contre le gouvernement. Ventura cherche à comprendre la technologie qui pourrait être derrière ces attaques, comme la tour de transmission micro-onde de GWEN, et rencontre des initiés qui prétendent avoir participé à développer cette technologie pour le gouvernement (Projet MK-Ultra)
Des dessins animés Walt Disney à la musique Rock, un code culturel universel dérivant de la culture de mort s’est définitivement imposé dans nos sociétés. Dans ce credo consensuel, la pornographie et les stupéfiants ont affecté les valeurs fondamentales de plusieurs générations. Les concerts sont devenus un lieu d’écoulement de drogues, alors qu’ils sont souvent organisés par de grands cartels pharmaceutiques comme Sandoz.