Un rituel est une action à signification symbolique. Il peut être privé, comme l’utilisation d’un porte-bonheur lors d’un examen, ou public (socialement partagé), comme saluer le drapeau. Les rituels peuvent être réservés à des occasions rares telles que naissances, mariages, décès, changements de statut social, ou peuvent être employés quotidiennement, par exemple dire la prière du repas ou “à vos souhaits,” embrasser un enfant pour lui souhaiter bonne nuit.
Ce mec n’est pas du tout un pédophile, sachez le ! Il a une réaction totalement normale et saine quand il se retrouve confronté à une enfant sur un chat, il commence par mentir sur son age puis la harcèle pour faire une webcam avec. Normal !
Je n’aurai aucune pitié envers ceux qui s’attaquent aux plus faibles d’entre nous, nos enfants.
Peine de mort contre les pédocriminels avérés : aime si tu es pour, n’aime pas si tu es contre (sur Youtube).
Paix.
LES PROCÈS, LE TRAITEMENT DES VICTIMES, LA MÉDIATISATION DURANT LE PROCÈS, L’INSTRUCTION, OUTREAU ET LA MYTHOMANIE, LES EXPERTISES, LES CONCLUSIONS DES PROCÈS, LES CONSÉQUENCES DE L’AFFAIRE D’OUTREAU
En préambule, les deux types de personnalités comparées ici sont conséquences de personnes qui sont malades et il ne s’agit pas ici de juger tel ou tel mais une fois encore de comprendre, comprendre pour aider.
Ce que l’on appelle un « pervers narcissique » et que personnellement je préfère nommer « narcissique à tendances perverses », est une personne qui a généralement un ego surdimensionné, qui est dans sa réalité et qui va chercher à utiliser les autres pour ses propres fins et s’arranger pour se faire passer pour victime et maintenir alors sa « victime » sous sa coupe pour son propre bénéfice.
En lisant ces mots et au regard de certains comportements utilisés (visibles) par les personnes souffrant d’un trouble borderline, certains pourraient se dire « mais alors les borderline sont des pervers narcissiques ! »
Nous parlerions alors de « borderline narcissiques »… mais en règle générale, les narcissiques « libres de faire leurs métiers de narcissiques » (non entravés), ne sont pas enclin à se faire du mal, renoncer à leur identité, à s’auto-mutiler, ou faire tentatives de suicide.
En premier lieu il est donc à priori indispensable de faire le distinguo entre l’apparence et la réalité de l’être…
Le « narcissique à tendances perverses », est convaincu de sa supériorité, il croit vraiment être ce qu’il montre alors que les « borderline » ne sont pas (peu) ce qu’ils montrent au reste du monde.
La première différence profonde entre les deux, c’est que le « narcissique à tendances perverses » ne souffre pas lorsqu’il est libre de faire son « job » (il ne souffre que lorsqu’il est contraint, entravé ou quand il ouvre les yeux sur le fait « qu’un tel génie ne serait finalement qu’assez médiocre », etc.) alors que le « borderline » est, lui, en souffrance…
D’une certaine manière on pourrait dire que le « borderline » est souffrance, au point même que les moments de bien être peuvent être vécus comme le prélude à la catastrophe suivante qui ne manquera pas de se produire tôt ou tard..
Modes de pensée du « narcissique »
Le « narcissique » a un objectif principal qui est lui-même. L’autre est quantité négligeable :
« Je suis génial, je suis fort, je suis au dessus du lot »
L’impact médiatique de mes révélations le 28 décembre sur ce meurtre présumé vient de relancer l’affaire d’Outreau avec l’ouverture d’une enquête pour vérifier la réalité de cet événement dramatique, à même de provoquer la rouverture éventuelles du dossier, conclu à l’époque par un non-lieu, sur quatre autres meurtres d’enfants à Outreau dénoncés par quatre autres mineurs.
«Repenser les délais de prescription». C’est le combat de Cécile K…, 40 ans, victime de viols en 1977, lorsqu’elle avait 5 ans, mais qui n’a pas pu déposer plainte dans les délais légaux en raison d’une amnésie consécutive au crime. C’est au cours d’une thérapie que la victime a pris conscience des viols en 2011, se souvenant de détails très précis concernant son agresseur, les circonstances et les lieux.
Titre d’origine: « Disparition d’Estelle Mouzin : dix ans après, son père témoigne »
Eric Mouzin, le père d’Estelle, disparue il y a dix ans, n’a jamais abandonné son combat. Il nous parle ici de sa volonté que l’enquête se poursuive autour du tueur Michel Fourniret.