Le tout premier documentaire jamais tourné par la télévision française sur les serial killers.
Filmé en 1991, il a été diffusé pour la première fois sur France 3 le 9 mai 1992 dans un Spécial Traverses.
Stéphane Bourgoin y questionne les tueurs en série Ed Kemper, Ottis Toole et Gerard Schaefer. Des psychologues & profilers du FBI, tels que John Douglas et Roger Depue, sont aussi interrogés.
Publié pour la première fois dans Journal of OrthomolecularMedicine, Vol.5, no 1, 1990
Traduction Google
Introduction
L’hypothèse adrénochrome de la schizophrénie (Hoffer, Osmond et Smythies, 1954), a été stimulée par les travaux d’Osmond et Smythies (1952) qui se sont concentrés sur les dérivés méthylés de l’adrénaline en tant que possibles schizophrénogènes en dogènes. Ils ont montré que l’expérience qui a suivi l’ingestion de la mescaline était à bien des égards similaire à l’expérience induite par la schizophrénie chez des personnes normales. Cela a attiré l’attention sur les dérivés de l’adrénaline (et de toutes les amines sym-pathomimétiques et de leurs précurseurs) comme facteurs étiologiques. Cependant, en 1952, très peu de ces composés avaient été étudiés. Avec nos ressources, nous avons été contraints de limiter nos études à un seul dérivé, l’adrénochrome, un dérivé oxydé et coloré de l’adrénaline. La chimie était si peu connue qu’il n’était pas surprenant que les chimistes aient conclu, à tort, qu’elle était intrinsèquement instable et difficile à étudier. Nous avons consacré une grande partie de nos recherches chimiques à cette substance intéressante. En conséquence, sous la direction du Dr R. Heacock (1959, 1965), un énorme corpus de données a été recueilli et publié détaillant la chimie de l’adrénochrome, sa synthèse, son métabolisme, sa conversion en d’autres produits et ses réactions avec des substances comme l’acide ascorbique.
Extrait du Geraldo Rivera Show du 22 octobre 1988 intitulé : « Adoration du diable: dévoiler les souterrains de Satan »
Kathleen Sorenson était travailleuse sociale, elle et son mari Ron formaient une famille d’accueil pour les enfants en grande difficulté. Au total, le couple a recueilli une trentaine de témoignages d’enfants qu’ils ont eu en garde de quelques mois à plusieurs années.
Ce reportage tourné en France aborde la thème de l’exorcisme. Il propose le portrait de deux exorcistes, l’un issu d’une église marginale et l’autre de l’église catholique romaine. On assiste à l’exorcisme d’une jeune fille de 18 ans pratiqué en présence des fidèles. La jeune femme apporte son témoignage. On voit une sorcière luciférienne à l’oeuvre en train de confectionner une statuette de cire représentant la victime à envoûter. Et enfin, le sujet montre l’exorcisme d’un homme d’une cinquantaine d’années en présence d’un médecin. L’exorcisé témoigne également.
Inceste de citron
Lemon incest
Je t’aime t’aime je t’aime plus que tout
Papapappa
Naïve comme une toile du Nierdoi Sseaurou
Tes baisers sont si doux
Inceste de citron
Lemon incest
Je t’aime t’aime je t’aime plus que tout
Papapappa
« Vous savez que la sexualité d’un gosse, c’est absolument fantastique. […] Quand une petite fille, de 5 ans, commence à vous déshabiller c’est fantastique ! C’est fantastique parce que c’est un jeu absolument érotico-maniaque ! »
En prenant possession de la loge de Béziers, sous le gouvernement du Maréchal, en 1941, la police découvrit le cadavre d’une fillette âgée d’environ sept ans.
« Il y a deux histoires, disait Balzac: l’histoire officielle, menteuse, quu’on enseigne … puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des évênements, une histoire honteuse. »
Attention! Contenu très explicite. Apologie de la pédophilie.
Il y a quinze jours, France-Soir paraissait avec en première page un grand titre sur « une écœurante affaire de mœurs » où un soit-disant éducateur aurait livré à la prostitution internationale des régiments de gamins. L’information reprise par la presse et la TV, concernant cette affaire Dugué » venait d’une seule source : Minute. Pas un journal, pas un journaliste, excepté Libération ne se donnait la peine de vérifier les inculpations contre Dugué : en fait, ni prostitution ni proxénétisme, mais un simple attentat à la pudeur sur mineurs sans violences. Aucun journal n’a d’ailleurs publié de rectificatif. Dugué, qui nous a fait parvenir la lettre qui suit, gagnerait tous les procès en diffamation s’il les intentait. Mais Dugué a décidé de se défendre seul, refusant le concours de tout avocat. Comme l’a écrit Le Monde avec une lourde ironie, Dugué écrit en effet des « thèses sur la pédophilie », comme en témoigne cette lettre. Son univers, celui des couples échangistes, qui se passent des photos d’enfants, sa franchise quant à la sodomie sont d’un langage différent de la pédérastie plus intellectuelle ou artistique. Mais cet homme, voué pendant trois jours à la vindicte publique comme le monstre absolu par les plus puissants médias sur la base d’informations parfaitement erronées, a bien gagné le droit à l’expression depuis sa prison.