Avertissement : Seulement à partir de 18 ans ! Attention ! Ce contenu n’est absolument pas adapté aux enfants, ni aux personnes sensibles.
https://youtu.be/FDGynz3rlhI
Avertissement : Seulement à partir de 18 ans ! Attention ! Ce contenu n’est absolument pas adapté aux enfants, ni aux personnes sensibles.
https://youtu.be/FDGynz3rlhI
Le livre d’un journaliste allemand révèle que Wolfgang Priklopil a réalisé quelques vidéos de la séquestration imposée à Natascha Kampusch. La jeune femme a passé 8 ans dans une cave en Autriche.
« Le 2 mars 1998, la petite Autrichienne est enlevée sur le chemin d’école.
Elle ne réussit à s’échapper que le 23 août 2006. »
En Autriche, de nouvelles analyses sur la mort d’un enquêteur en 2010 réveillent de lourds soupçons.
L’INFO. Dans l’affaire Natascha Kampusch, des zones d’ombre demeurent. La jeune femme autrichienne, séquestrée pendant huit ans dans une cave près de Vienne, jusqu’à son évasion en 2006, avait dénoncé en 2011 les dysfonctionnements au sein de la police, après son enlèvement par Wolfgang Priklopil. Et jeudi, le journal britannique The Independent en remet une couche, en affirmant que de nouveaux éléments sur la mort de l’un des enquêteurs pourraient bien forcer les autorités à rouvrir le dossier.
Alors que la première du film 3096 jours, qui retrace le calvaire de l’Autrichienne, a lieu ce lundi à Vienne, l’affaire est loin d’être classée.
Le 2 mars 1998, à l’âge de 10 ans, elle est enlevée sur le chemin de l’école. Pendant 3096 jours Wolfgang Priklopil la gardera prisonnière. Pour sa première interview télévisée en France, Natascha Kampusch, a choisi de se confier à Thierry Demaizière
Trois mois et demi après son évasion, la jeune fille a accordé un second entretien à la télévision autrichienne.
La nouvelle interview de Natascha Kampusch sur WAT.tv sélectionnée dans Actualité
Source: http://videos.tf1.fr/infos/2006/nouvelle-interview-natascha-kampusch-5498964.html
«Natascha ne va pas aussi bien qu’on le montre. Il l’a frappée jusqu’au bout, elle a des bleus partout, des os cassés, elle a de gros problèmes aux yeux. Elle a énormément souffert. » G. s’est occupé de Natascha Kampusch les sept premiers jours de sa libération. Puis, affolé par la pression médiatique, il a renoncé. Aujourd’hui, il répugne à témoigner, tout juste accepte-t-il de confier anonymement ses souvenirs : « Je suis descendu dans sa cave, j’y suis resté cinq minutes. Vous ne pouvez pas imaginer ce que c’est. Aucune photographie, aucun récit ne peut rendre l’étouffement, l’oppression, l’horreur de ce cachot. Ce furent les minutes les plus effrayantes de mon existence, j’avais le vertige, la nausée. Je l’imaginais là, à sa merci. Si j’avais été prisonnier dans cette cave, j’aurais fait tout ce qu’on exigeait de moi. Tout, vraiment tout. »