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Samir Aouchiche… un gamin de onze ans de banlieue… sa mère est alcoolique, ses frères n’en ont rien à fou*** de lui et il s’ennuie… on lui propose un bonheur total, il rencontre des gens formidables et aisés qui lui promettent monts et merveilles… seulement… dans cette triste société, tout se paie. C’est ainsi qu’au nom de Smir Karo, guerrier de l’Alliance Kripten, il est torturé, prostitué, harcelé… il assiste à des rituels sadiques de véritable perversion sexuelle passant par la torture et la drogue… il sombre petit à petit jusqu’à ne plus se souvenir du jeune Samir qu’il était. Le Samir peu aisé et gentil a été nié pour faire place au Smir puissant, supérieur, violent le jour et pleurant la nuit… il ne parle plus, il crie la nuit, ses cauchemars sont ignobles et sans fin… jusqu’au jour où une main se tend. Willy Marceau, jeune homosexuel d’environ dix-neuf ans. C’est un coup de foudre et Samir renaît au fil du temps et se laisse bercer par cette nouvelle idylle qui lui donne l’espoir de s’en sortir… mais il ne peut rien dire. Sinon, les dirigeants de la secte tueront Willy et entraîneront un des frères de Samir dans ce réseau de prostitution enfantine planétaire (USA, Grande-Bretagne, France, Belgique, Algérie, …). Alors, il se tait. Jusqu’à ce que Willy mène son enquête pour comprendre les raisons de ces sanglots qu’il perçoit la nuit et contre lesquels il ne peut rien faire…
La mise en examen de Patrick Font pour atteintes sexuelles sur des enfants de moins de 15 ans rejaillit sur son compagnon de duo, Philippe Val, boycotté par certains médias, attaqué par l’extrême droite » «C’est comme si la foudre était tombée sur mon toit.» Interview.
ARRESTATION DE Marc DUTROUX ET DE SA COMPAGNE Michèle Martin ACCUSES DE TRAFIC D’ENFANTS, DE VIOLS ET DE MEURTRES. – [Différents plans] arrestation de DUTROUX et de sa compagne. – [Différents plans] policiers et foule se déchainant contre les deux pédophiles. – [Différents plans] enquête policière avec fouille de la maison ou deux adolescentes ont été retrouvées. – [Différents plans] nuit CX du couple avec [gros plan] pneus e traces de ces pneus près de la maison. – [Gros plan] dessin de la maison avec les différentes caches ou les enfants étaient séquestrés.
La SQ a ouvert une enquête sur une mystérieuse secte satanique en Estrie
Source : La Presse (Canada), par Marie-Claude Lortie, 30 septembre 1995.
« Je suis née dans une secte satanique. Dans une famille où tous les membres devaient adorer Satan, lui porter un amour inconditionnel, tout faire pour lui obéir. J’ai subi des sévices dès l’âge de trois ans et demi, j’ai été torturée, martyrisée, violée. J’ai vu des sacrifices d’animaux, mais aussi des sacrifices humains… »
Humains ?
Oui. Humains », affirme Manon sur un ton solennel.
Assis dans la cuisine d’une petite maison en Estrie, Luc Grégoire, un enquêteur de l’escouade des crimes majeurs de la Sûreté du Québec, laisse échapper un grand soupir. Ce n’est pas la première fois qu’il entend cette femme de 28 ans lui parler de messes noires, viols, sévices corporels et sacrifices. Il a entendu aussi le témoignage de plusieurs autres personnes sur ces macabres sujets. L’affaire lui semble très sérieuse. « J’ai cinq personnes qui me racontent des affaires semblables », dit-il.
Theodore Robert « Ted » Bundy (né Theodore Robert Cowell; 24 novembre 1946 — 24 janvier 1989) était un tueur en série américain. En plus de kidnapper et violer ses victimes, il pratiquait des actes nécrophiles sur leurs dépouilles. Ted Bundy a agressé et assassiné de nombreuses jeunes femmes et filles durant les années 1970, et peut-être avant. Il est considéré comme le tueur en série le plus connu au monde
C’est en prison, après plus d’une décennie à nier les faits, que Ted Bundy se confesse. Peu de temps avant son exécution, il admet avoir commis 30 homicides dans sept États différents entre les années 1974 et 1978… le véritable nombre de victimes demeure inconnu, mais pourrait être beaucoup plus élevé.
DANS ce pavillon cossu du 52, rue du Combal, aux portes de Bergerac, rien ne sera plus comme avant pour les Vidal. Quand lui, André, proviseur de lycée, parle de «l’affaire», il vous regarde droit dans les yeux. Paulette, son épouse, elle, perd progressivement la vue. Ses rares interventions, dans le récit détaillé de tout ce qu’ils ont enduré pendant trois années, marqué par une tentative de suicide et les dépressions à répétition de leur fils cadet, sont pour stigmatiser «le criminel», parfois «le pédophile».