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Les Rolling Stones, les Beatles, David Bowie, Led Zeppelin… Beaucoup d’artistes des années 60 ont été influencés par la philosophie d’Aleister Crowley. « Il n’y a d’autre Loi que Fais ce que tu veux »… Un leitmotiv qui a inspiré la génération hippie.
J’écris cet article pour exprimer quelque peu de la colère, mais je ne peux m’en empêcher. Je suis en colère que mes impôts servent, et les vôtres aussi, à financer certains projets. Je prends le risque que mes articles ici sur ce site soient retirés en écrivant ceci, mais je ne peux me taire.
Noël est le temps des chaleureux rassemblements familiaux autour de l’arbre de noël, du partage souriant de cadeaux et de l’excitation d’enfants aux yeux endormis pour voir ce que le Père Noël a apporté pendant que les adultes boivent du lait de poule et festoient en suivant de joyeuses
traditions.
Avertissement : cet article contient des descriptions imagées des activités de la secte. Ne lisez pas s’il vous plaît si cette lecture présente un risque déclencheur.
Au printemps 2000, Serge Garde dans le journal L’Humanité, puis Laurence Beneux dans le Figaro et dans l’émission L.B sur Canal + révèlent l’existence du CD-Rom de Zandvoort contenant 8500 documents pédosexuels, et d’un fichier établi par la police hollandaise. Dans une Europe traumatisée par l’affaire Dutroux, ce CD-Rom devient en France un formidable révélateur de problèmes : pourquoi le déni actuel, comment lutter contre les réseaux, à l’époque d’Internet ? Un deuxième CD-Rom contenant des scènes de viols et de torture inouïe est transmis par les journalistes à la justice. Elle n’a rien fait. Dans leur conclusion, les auteurs annoncent qu’ils existent plus de 20 CD-Rom.
Jean Nicolas, journaliste d’investigation, et Frédéric Lavachery, responsable d’un collectif contre la pédocriminalité, se sont associés pour rouvrir le dossier de l’affaire Marc Dutroux. Pourtant, tout semblait avoir été dit. Dutroux arrêté, les corps des enfants retrouvés, l’affaire avait créé une onde de choc sans précédent en Belgique. Une « marche blanche » à laquelle s’étaient associés les médias, les politiques et la population avait réuni tout le pays Plus jamais ça. On s’était indigné, on avait voulu expier. Mais avait-on pour autant identifié tous les coupables et tous les réseaux connexes de l’affaire ? Nicolas et Lavachery montent au créneau. Les deux enquêteurs ont reconstitué méticuleusement le dossier de l’affaire Dutroux et pointent systématiquement toutes les défaillances de l’instruction. À un certain niveau, il apparaît que des politiques, des membres de la Couronne et des hommes de justice ont partie liée avec le trafic d’enfants en vue de parties fines. Du beau linge mouillé dans de sales draps. Comme l’annoncent et le démontrent les auteurs : « pas de doute, le Dossier Dutroux semble aller beaucoup plus loin qu’on l’a d’abord cru : c’est une affaire d’État. –Denis Gombert
»Tu prends un peu de poids, » fit remarquer mon beau-père. Je revenais de l’école cette année-là et j’avais pris cinq livres. Il se moquait de moi quand je revenais à la maison. J’avais 14 ans et décidais de commencer un régime. Mon régime énergique fut une réussite immédiate, car l’auto-contrôle et une discipline de fer m’avaient appris dès mon enfance à ignorer les signaux de mon corps. J’étais fière de ma capacité à ne manger que de minuscules quantités malgré une faim lancinante. Je perdis rapidement du poids. »Tu es trop mince, je peux voir toutes tes côtes, » me disait ma camarade de chambre cette année-là à l’école. »Je me fais du souci pour toi » »Non, je suis trop grosse, » insistais-je. Je regardais le miroir et voyait quelqu’un d’obèse, qui devait perdre encore du poids pour être bien. Pourquoi les autres ne voyaient-ils pas que j’étais trop grosse ? Plusieurs semaines plus tard, ma mère a dû venir me chercher. Mon foie a lâché et j’ai été hospitalisée. Je mesurais 1,77 m et pesais 90 livres (41 kilos).
(Note : le contenu de cet article aborde en détails une programmation traumatisante et pourrait être un important déclencheur pour des survivants qui ont subi ce type d’abus. Si vous êtes un survivant, ne lisez pas s’il vous plaît, à moins de vous trouver avec une personne rassurante ou votre thérapeute)
Ici je voudrais vous présenter quelqu’un, j’ai lu son article diffusé gratuitement sur son site http://www.hispresenceonline.org … J’ai été très impressionnée par sa compassion, sa connaissance et sa volonté de partager avec les autres ce qu’elle a appris. Cette personne est Patricia Baird Clarke, elle travaille avec des rescapés d’abus rituels. C’est une fervente croyante (chrétienne) et beaucoup de choses qu’elle a découverte correspondent avec ma propre expérience en interne dans ce milieu. J’espère que ce chapitre trouvera son utilité.
« Tu sais bien que tu es en train d’inventer tout ça, que ce n’est pas vrai. Je ne me souviens sûrement pas des choses dont tu me parles ». La personne qui disait cela, c’était ma mère il y a deux ans, et elle me disait en termes non douteux qu’elle ne me croyait pas. Son amnésie est intacte et puissante, elle la protège. Je voulais m’expliquer avec elle sur le fait qu’elle et moi avions passé une partie de notre vie dans une secte et que je l’aimais et voulais qu’elle en sorte. Je lui avais dit pendant cet appel téléphonique, le premier depuis un an, le nom exact des gens que nous connaissions toutes deux.
« Maman, tu es en état de dissociation, c’est pourquoi tu ne te souviens pas », lui ai-je dit. « Non, c’est faux, rien ne s’est passé », a-t-elle maintenu. Je décidais de la bousculer un peu dans son déni. Elle savait que je n’avais jamais appris l’allemand consciemment pendant la journée, bien que ce soit dans cette langue qu’elle me parlait la nuit depuis mon plus jeune âge. Elle ne la connaissait pas du tout consciemment ni ne la comprenait. « Alors pourquoi est-ce que je parle allemand, maintenant que je suis retournée avec les gens d’avant ? » lui demandais-je en allemand. « Je ne l’ai jamais appris, tu le sais ou tu l’as entendu dire. C’est l’espagnol et le latin que j’ai appris à l’école ». Il y a eu un blanc. « Tu es peut-être médium et tu l’as appris par télépathie », répondit-elle. Il fallait que ma mère entretienne son déni et s’en sorte en expliquant l’inexplicable. Mais comment a-t-elle compris ma question qui était posée en allemand ?