La SQ a ouvert une enquête sur une mystérieuse secte satanique en Estrie
Source : La Presse (Canada), par Marie-Claude Lortie, 30 septembre 1995.
« Je suis née dans une secte satanique. Dans une famille où tous les membres devaient adorer Satan, lui porter un amour inconditionnel, tout faire pour lui obéir. J’ai subi des sévices dès l’âge de trois ans et demi, j’ai été torturée, martyrisée, violée. J’ai vu des sacrifices d’animaux, mais aussi des sacrifices humains… »
Humains ?
Oui. Humains », affirme Manon sur un ton solennel.
Assis dans la cuisine d’une petite maison en Estrie, Luc Grégoire, un enquêteur de l’escouade des crimes majeurs de la Sûreté du Québec, laisse échapper un grand soupir. Ce n’est pas la première fois qu’il entend cette femme de 28 ans lui parler de messes noires, viols, sévices corporels et sacrifices. Il a entendu aussi le témoignage de plusieurs autres personnes sur ces macabres sujets. L’affaire lui semble très sérieuse. « J’ai cinq personnes qui me racontent des affaires semblables », dit-il.
Theodore Robert « Ted » Bundy (né Theodore Robert Cowell; 24 novembre 1946 — 24 janvier 1989) était un tueur en série américain. En plus de kidnapper et violer ses victimes, il pratiquait des actes nécrophiles sur leurs dépouilles. Ted Bundy a agressé et assassiné de nombreuses jeunes femmes et filles durant les années 1970, et peut-être avant. Il est considéré comme le tueur en série le plus connu au monde
C’est en prison, après plus d’une décennie à nier les faits, que Ted Bundy se confesse. Peu de temps avant son exécution, il admet avoir commis 30 homicides dans sept États différents entre les années 1974 et 1978… le véritable nombre de victimes demeure inconnu, mais pourrait être beaucoup plus élevé.
Voici l’audio VOSTFR du célèbre « Exposé Greenbaum », jusqu’alors uniquement publié sur le web sous forme de retranscription. Il s’agit là de la conférence du Dr. Hammond, la seconde partie concernera les questions/réponses.
Ottis Toole commet son premier crime à l’age de 14 ans. Il a une enfance absolument atroce, puisque dès l’age de 5 ans il accompagne par exemple sa grand-mère qui est une sataniste convaincue, pour aller déterrer des cadavres, pour fabriquer des potions à partir des morceaux de cadavres.
Le tout premier documentaire jamais tourné par la télévision française sur les serial killers.
Filmé en 1991, il a été diffusé pour la première fois sur France 3 le 9 mai 1992 dans un Spécial Traverses.
Stéphane Bourgoin y questionne les tueurs en série Ed Kemper, Ottis Toole et Gerard Schaefer. Des psychologues & profilers du FBI, tels que John Douglas et Roger Depue, sont aussi interrogés.
Publié pour la première fois dans Journal of OrthomolecularMedicine, Vol.5, no 1, 1990
Traduction Google
Introduction
L’hypothèse adrénochrome de la schizophrénie (Hoffer, Osmond et Smythies, 1954), a été stimulée par les travaux d’Osmond et Smythies (1952) qui se sont concentrés sur les dérivés méthylés de l’adrénaline en tant que possibles schizophrénogènes en dogènes. Ils ont montré que l’expérience qui a suivi l’ingestion de la mescaline était à bien des égards similaire à l’expérience induite par la schizophrénie chez des personnes normales. Cela a attiré l’attention sur les dérivés de l’adrénaline (et de toutes les amines sym-pathomimétiques et de leurs précurseurs) comme facteurs étiologiques. Cependant, en 1952, très peu de ces composés avaient été étudiés. Avec nos ressources, nous avons été contraints de limiter nos études à un seul dérivé, l’adrénochrome, un dérivé oxydé et coloré de l’adrénaline. La chimie était si peu connue qu’il n’était pas surprenant que les chimistes aient conclu, à tort, qu’elle était intrinsèquement instable et difficile à étudier. Nous avons consacré une grande partie de nos recherches chimiques à cette substance intéressante. En conséquence, sous la direction du Dr R. Heacock (1959, 1965), un énorme corpus de données a été recueilli et publié détaillant la chimie de l’adrénochrome, sa synthèse, son métabolisme, sa conversion en d’autres produits et ses réactions avec des substances comme l’acide ascorbique.
Geraldo Rivera organise un débat sur Trash Tv portant sur les crimes sataniques et leur ampleur en Amérique. Le talk show est entrecoupé de témoignages de victimes de cultes sataniques.
Extrait du Geraldo Rivera Show du 22 octobre 1988 intitulé : « Adoration du diable: dévoiler les souterrains de Satan »
Kathleen Sorenson était travailleuse sociale, elle et son mari Ron formaient une famille d’accueil pour les enfants en grande difficulté. Au total, le couple a recueilli une trentaine de témoignages d’enfants qu’ils ont eu en garde de quelques mois à plusieurs années.
Ted Gunderson, ancien agent du F.B.I. à Los Angeles, explique comment une fois retraité, il a été amené en tant que détective privé, à enquêter sur une affaire de meurtre, mais s’est heurté aux pressions mises sur les témoins de l’affaire.
Il a alors découvert ce qui se cache derrière les églises sataniques aux U.S.A. mais aussi dans le monde, et n’a eu de cesse depuis de dénoncer « La conspiration ».
Aux portes de l’an 2000, avec la mise en carte » des individus, ce n’est pas la peste que nous redoutons, mais l’embrigadement idéologique et le conditionnement mental de nos sociétés. L’auteur braque ici ses projecteurs sur la CIA, cadre principal de l’Opération Mind Control : plus de vingt-cinq ans durant, la CIA a développé une effrayante technologie de contrôle mental, apparemment plus poussée que les méthodes mises au point par les chercheurs soviétiques. Elle dispose aujourd’hui de moyens extrêmement sophistiqués qui lui permettent, notamment, de programmer des individus pour toute mission d’espionnage ou d’assassinat qu’ils réaliseront, même contre leur volonté, même contre une loi naturelle aussi fondamentale que l’instinct de conservation. Fondé sur un matériau de plus de deux mille documents issus de la CIA et mille deux cents pages de témoignages, ce livre raconte l’histoire de ceux qui ont été « ratés » par la cryptocratie américaine : en dépit des techniques d’effacement de la mémoire, ils sont nombreux à se souvenir et à dénoncer les détails horribles de leur expérience.