Lors de la procédure de levée de son immunité parlementaire, Laurent LOUIS prend la parole pour expliquer les raisons qui l’ont poussé à tenter de réouvrir le dossier Dutroux et à traiter le Premier Ministre Di Rupo de pédophile.
Laurent Louis devra répondre devant la justice d’outrage au Premier ministre Elio Di Rupo, révèle jeudi Le Soir. Le parquet général de Bruxelles vient en effet de transmettre à la Commission des poursuites de la Chambre un rapport demandant la levée de l’immunité parlementaire du député brabançon indépendant. Il s’agit de la première fois qu’un Premier ministre est concerné par une procédure judiciaire impliquant un député.
Au Parlement de Belgique, on discute actuellement de la question de permettre aux enfants malades de mourir ou rester en vie. Le parti socialiste au pouvoir en Belgique a proposé de légaliser l’euthanasie enfantine.
Incarcéré depuis 17 ans en Belgique, l’assassin pédophile se montre de plus en plus exigeant sur son confort. Viande à part, frites fraîches et coiffeur personnel : ses gardiens ont désormais du mal à se plier à tous ses caprices.
Nathan Verhelst est mort dans un hôpital de Bruxelles, entouré de plusieurs amis. Ce belge de 44 ans qui rêvait d’être un homme a demandé à être euthanasié après une opération de changement de sexe qui a échoué. « Il est mort en toute sérénité », a déclaré le médecin l’ayant suivi, Wim Distlemans, de l’hôpital universitaire flamand VUB. Toutes les conditions d’une euthanasie étaient réunies car « on pouvait clairement parler dans ce cas de souffrances psychiques insupportables », a-t-il précisé au quotidien Het Laaste Nieuws. Nathan avait le sexe féminin à sa naissance, dans une famille qui comptait trois garçons, et portait le prénom de Nancy. Il avait été rejeté par ses parents, qui souhaitaient un nouveau garçon, selon le quotidien qui l’a interrogé la veille de sa mort. Rêvant depuis son adolescence de devenir un homme, il avait successivement subi trois opérations (cure d’hormones, ablation des seins et changement de sexe) entre 2009 et juin 2012, mais sans en être satisfait : sa poitrine restait trop forte et le pénis qu’on lui avait placé était « raté », avait-il expliqué. « Dans le miroir, j’ai eu une aversion pour mon nouveau corps » « J’avais préparé des dragées pour fêter ma nouvelle naissance, mais la première fois que je me suis vu dans le miroir, j’ai eu une aversion pour mon nouveau corps », avait raconté Nathan. « J’ai eu des moments heureux, mais au final la balance penchait du mauvais côté », avait-il résumé, estimant être « resté 44 ans de trop sur cette terre ». Pour avoir recours à l’euthanasie, qui est légale depuis 2002 en Belgique , « la personne doit présenter une affection grave et incurable qui lui cause des souffrances » pouvant être « d’ordre psychique ou physique », a expliqué Jacqueline Herremans, membre de la Commission nationale sur l’euthanasie. « Pas une dépression passagère » « Un premier médecin s’est intéressé aux caractères grave et incurable de l’affection (…) Un autre médecin, un psychiatre, spécialiste de la pathologie concernée, a examiné la qualité de la demande pour déterminer s’il ne s’agissait pas, par exemple, d’une dépression passagère », a-t-elle ajouté sur RTL.
On a déjà vu ici des témoignages de victimes de réseaux pédophiles que je qualifie « d’élite », venus des Etats-Unis, des Pays-Bas, d’Angleterre, d’Allemagne, et bien sûr de France. On va voir aujourd’hui ce que dit un certain Marc Onnestad, qui raconte, finalement, son parcours de fils du sérail, de ces familles dans lesquelles tout votre destin tient à des jeux d’intérêt. Il s’agit d’un témoignage qui, à première vue, peut sembler extravagant. Mais, je commence à en avoir entendu un peu trop, de ces témoignages, pour qu’il n’y ait pas un vrai système derrière ces accusations. Tentative d’explication.
Pour le député belge indépendant Laurent LOUIS, face aux criminels organisés qui dirigent notre monde, le succès de la dissidence ne passe que par l’union de ses différentes branches et acteurs.
Ils ont été condamnés pour des actes de maltraitance envers leurs enfants
MARCHE Le tribunal correctionnel de Marche-en-Famenne a condamné à dix ans de prison, mercredi, les parents qui étaient poursuivis pour de nombreux actes de maltraitance à l’égard de leurs propres enfants à Erezée.
Depuis quelques semaines, le nom de Ronite Bitton est de plus en plus en connu, de même que le combat qu’elle mène pour son fils. Ronite est née à Rehovot. Lorsqu’elle a un an, ses parents s’installent dans la banlieue parisienne. Vivant dans un monde qu’elle décrit comme laïc, elle commence des études qui la mènent à Bruxelles dans le milieu européen. Elle y rencontre son futur mari, juriste et journaliste belge. Il devient son prince charmant… Mais le conte de fées ne dure pas : une fois mariée et enceinte, les violences psychologiques, les humiliations commencent. S’ensuivent trois années de violence contre elle et son enfant. Depuis plus de dix ans maintenant, elle va de procès en procès faits d’avancées et de retours en arrière, soumise à un véritable harcèlement juridique de la part de son ex-mari, avec au centre leur fils de 15 ans aujourd’hui. Le 22 juillet prochain Ronite sera emprisonnée pour cinq ans, condamnée par la justice israélienne pour l’enlèvement de son propre enfant. Elle témoigne dans nos colonnes pour permettre de mieux comprendre son histoire et nous dire ce qu’elle attend de nous Francophones d’Israël.