Gilles de Montmorency-Laval était comte de Brienne et baron de Rais. Il a laissé dans l’histoire un détestable souvenir. En effet, il fut condamné en 1440 pour de nombreux crimes et fut pendu pour sodomie, meurtres et sorcellerie. Sa parenté avec la famille royale de France en faisait pourtant un noble de haut rang, donc intouchable. D’autant qu’il fut un héros de la guerre de Cent Ans. Excommunié pour l’horreur de ses crimes, a-t-il été accusé à tort ?
De 1992 à 1996, l’humoriste animait des stages de théâtre très particuliers.Un roi à la crinière blanche face à ses sujets soumis. Un gourou qui, la nuit, exerce son droit de cuissage. C’est ainsi que ses victimes ont décrit le comportement de Patrick Font, leur maître de classe, censé les initier au théâtre. A l’époque, l’humoriste, ancien de Charlie Hebdo, connaissait son heure de gloire grâce à ses chroniques corrosives sur France Inter. Il avait fondé un théâtre alternatif destiné aux adolescents, dans une ferme, aux Villards-sur-Thônes. L’école Marie-Pantalon tirait son nom de l’héroïne savoyarde, embringuée dans l’épopée de la ruée vers l’or. Pour Font, l’endroit se voulait « un paradis en montagne, avec l’euphorie, l’amour, le théâtre ».
ARCHE de ZOE, VIOLS,RAPT, PEDOPHILIE, HCR et TSUNAMI.
L’ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, continue son travail d’investigation dans l’affaire Arche de ZOE, malgrés la censure infligé à notre journal par DAILYMOTION et les commanditaires de l’ARCHE de ZOE! N’oublions pas en fond de tableau le trafic et le blanchiment d’argent via les « XPF » (XPF dénoncé par RENE HOFFER, Président de la Polynésie Française) avec transfert à la banque de compensation CLEARSTREAM, au moyen de la « lettre d’évidence » (voir mes articles par ailleurs à ce sujet)!
Donc revenons à nos héros de l’ARCHE de ZOE; la vidéo accusatrice a été censurée donc l’ECHO DES MONTAGNES en a refait une autre, fidèle à l’original, vous reconnaitrez la voix de l’homme qui accuse. Y figure en préambule mes commentaires.
Ouvrez vos oreilles:
Lundi 14 Janvier 2008 au tribunal de Créteil dans le Val de Marne à la sortie du procès de l’Arche de Zoé. Un homme s’approche vers les journalistes agglutinés pour recueillir les propos des 2 avocats de l’Arche de Zoé. Il a lui aussi des vérités à faire entendre mais lorsqu’il prend la parole face aux caméras une meute de policiers s’abat sur lui et tente de le contraindre au silence. Cet homme est excédé, on a attenté à sa vie parce qu’il voulait dire la vérité sur ce qu’il a vu alors ce n’est certainement plus maintenant qu’il va se taire. 14 policiers l’entourent mais les associations de défense noires leur mettent la pression pour que l’homme puisse enfin parler. Il donne des dates, des lieux et des noms. Voici son récit. Des hommes politiques français organisent des réseaux pédophiles entre l’Afrique et la France. Ils le faisaient hier, ils le font aujourd’hui et si nous ne faisons rien ils le feront encore demain…
Interpol a demandé au gouvernement algérien d’extrader le chanteur Cheb Mami vers la France. Un mandat d’arrêt international a été lancé à son encontre.
Outreau. Une des villes les plus connues de France, et qui s’en serait bien passée. Pourtant, le procès très médiatisé qui porte son nom en a caché au moins un autre, bien plus réel celui-là. Les dix-huit accusés connus n’étaient pas pédophiles, mais l’auteur de ce témoignage a bien été victime d’un pédophile, un médecin. Hélas, ce procès a eu lieu aussi à Outreau, et en même temps que la fameuse » affaire » dont toute la France parlait. Hélas parce que Ludovic a vu ses efforts pour faire condamner son bourreau réduits à néant, malgré les preuves, les témoignages et les concordances avec d’autres victimes. Il dut encore batailler pour obtenir une indemnité de la commission d’indemnisation des victimes, même si la culpabilité de son agresseur avait été formellement reconnue par le président de la cour d’appel de Douai. Ce médecin pédophile l’avait pris sous son aile alors qu’il avait quinze ans, mais uniquement pour abuser de lui, avec sa femme, jour après jour, pendant des années.. Il raconte l’enfer qu’il a vécu, la descente inexorable vers la drogue et l’alcool, pour échapper à son quotidien. Il raconte les souffrances immenses pour en sortir, pour s’en sortir, puis replonger, puis faire définitivement surface grâce à son amour des lettres et de la vérité. 10 ans de sa vie. Et une marque à jamais indélébile, cicatrice à laquelle s’ajoute celle des 11 années de procédure judiciaire qu’il a engagées pour obtenir justice. Et le silence des médias sur ce procès, silence d’autant plus insupportable qu’il côtoie le vacarme assourdissant de l’autre procès d’Outreau. Loin de condamner la justice dans son ensemble, Ludovic Lefebvre appelle à ce que la société reconnaisse et dénonce la justice de classe ( » notable donc non coupable « ) quand elle a lieu comme dans son cas, en contradiction totale avec le principe d’Egalité. Pour enfin ouvrir le débat sur ce qui s’est réellement passé à Outreau, il confie avec courage ce témoignage poignant, terrible, mais ô combien utile pour notre société.
Reportage sur l’association humanitaire « Arche de Zoé ». Cette ONG française, dont le quartier général est basé à Abéché au Tchad, accueille des orphelins venus du Darfour. Eric BRETEAU président de l’association et pompier volontaire, et sa femme Emilie LELOUCH, infirmière, souhaitent évacuer clandestinement des enfants en France. Ce reportage présente le fonctionnement de l’Arche de Zoé, ses missions humanitaires, et évoque la préparation de l’évacuation par avion des orphelins. Cette opération tourne au cauchemar. Arrêté par les autorités tchadiennes avant de prendre l’avion, les enfant ne sont pas évacués et les volontaires de l’ONG sont arrêtés.
Difficile d’établir toutes les responsabilités dans le « trafic d’enfants ». Les seize personnes arrêtées, jeudi dernier, dans le cadre de l’enlèvement de 103 enfants tchadiens et soudanais par l’association « l’Arche de Zoé », attendent l’annonce de leur chef d’inculpation. Jugés selon le code pénal tchadien, ils risquent une peine de travaux forcés pour cette affaire qui met les autorités françaises dans l’embarras.
Les membres de l’association l’Arche de Zoé et deux journalistes, neuf français et sept espagnols, arrêtés jeudi pour « trafic d’enfants » ont vu leur garde à vue se prolonger de 48 heures, remettant à lundi soir l’annonce de leur chef d’inculpation.
Douze ans après la mort du juge français Bernard Borrel, à Djibouti, le 19 octobre 1995, les autorités judiciaires djiboutiennes ont lancé une série de convocations, dans le cadre d’une affaire de pédophilie, à l’adresse de plusieurs Français en poste à l’époque dans le pays. Ces convocations font suite à une plainte déposée, le 10 avril, par deux Djiboutiens de 23 et 25 ans pour des agressions sexuelles dont ils auraient été victimes, dans les années 90, dans le cadre d’un réseau pédophile.
https://youtu.be/LR5sEu2BRYM
Tatiana, Mokhtaria, Marie-Hélène et Fatima ont disparu dans le quartier de la gare de Perpignan entre 1995 et 2000. Tatiana Andujar, 17 ans, a été la première, en septembre 1995. Deux ans plus tard, Mokhtaria Chaïb, 19 ans, disparaissait près du quartier de la gare. Son corps a été retrouvé mutilé non loin de là. Marie-Hélène Gonzales, 22 ans, a elle aussi disparu à Perpignan, en juin 1998. Elle a été découverte sans vie près d’un péage routier. En février 2001, c’était au tour de Fatima Idrahou d’être assassinée. Un premier suspect a été appréhendé après la disparition de Mokhtaria Chaïb. Un médecin péruvien qui avait contrefait ses diplômes. Mais le faux docteur a vite été relâché. Marc Delpech est finalement arrêté en 2001 pour le meurtre et le viol de Fatima Idrahou. Il est condamné devant la cour d’assises de Perpignan en juin 2004.