Pour mieux comprendre le fonctionnement de la machine judico-politico institutionnelle dans les réseaux pédo-criminels
Partie 1:
Partie 2:
Partie 3:
Pour mieux comprendre le fonctionnement de la machine judico-politico institutionnelle dans les réseaux pédo-criminels
Partie 1:
Partie 2:
Partie 3:
Les Rolling Stones, les Beatles, David Bowie, Led Zeppelin… Beaucoup d’artistes des années 60 ont été influencés par la philosophie d’Aleister Crowley. « Il n’y a d’autre Loi que Fais ce que tu veux »… Un leitmotiv qui a inspiré la génération hippie.
La chaîne cryptée Canal Plus propose une investigation très poussée sur le dossier du cédérom dont l’Humanité avait révélé l’existence. Les réseaux pédophiles et leurs étranges protections au centre du scandale.
Et la France ? Alors que le monde découvrait avec horreur l’affaire Dutroux en Belgique, quatre opérations de police ont ciblé les pédophiles dans l’Hexagone. Premier coup de filet, en avril 1996. Nom de code : opération Toro Bravo. Quinze mois d’enquête à partir de la saisie d’une cassette chez un cadre parisien, pour débusquer un réseau impliquant soixante-douze personnes. À sa tête Caignet et Vuillaume.
Une opération, baptisée « Cathédrale » et déclenchée par les polices de vingt et un pays, a permis l’arrestation d’une centaine de personnes suspectées d’appartenir à un réseau de pédophiles. Plus de 100 000 clichés et des centaines de disquettes informatiques ont été saisies lors de cette intervention policière dont l’origine remonte à un travail effectué par les douanes américaines en 1996.
Alors que les 4 jeunes gens responsables de la profanation d’une tombe à Toulon ont avoué être des adeptes de satanisme, reportage en Italie, à Bologne où « la secte des enfants de satan » a de nombreux adeptes.A Bologne arrestation de deux jeunes adeptes de satanisme escortés par des policiers et visite de la vieille bâtisse où se tenaient des messes noires, révélées par de jeunes enfants qui en ont été victimes. Banc titre évoquant les articles de journaux relatifs au récits d’envoûtement. Des archives dont celles du 19/02/1996 rappellent quelques séances d’exorcisme.
François CHALAIS critique violemment le dernier film de l’écrivain cinéaste italien Pier Paolo PASOLINI « Salo ou les 120 journées de Sodome ». Images d’archive INA
Institut National de l’Audiovisuel
« Bonjour, tout est prêt, tout est prêt selon vos désir.
Faibles créatures enchainées, destinées à notre plaisir. J’espère que vous ne vous attendez pas à trouver la liberté ridicule que vous concède le monde extérieur. Ici vous êtes hors des limites de toute légalité. personne ne sait que vous êtes ici. Pour le monde, vous êtes déjà morts. Écoutez maintenant le règlement qui régira votre vie. (…) »
Interdit aux moins de 16 ans
Titre d’origine: « Salò o le 120 giornate di Sodoma »
Durant la République fasciste de Salo, quatre seigneurs élaborent un règlement pervers auquel ils vont se conformer. Ils sélectionnent huit représentants des deux sexes qui deviendront les victimes de leurs pratiques les plus dégradantes. Tous s’enferment alors dans une villa près de Marzabotto afin d’y passer 120 journées en respectant les règles de leur code terrifiant.