Jimmy Savile a battu et violé une fillette de 12 ans lors d’un rituel satanique dans un hôpital.
La star pervertie portait une robe à capuchon et un masque lorsqu’il a abusé de la victime terrifiée, ceci dans une cave éclairée aux chandelles.
1ère Partie:
1) J’ai une question qui me vient à l’esprit: pourquoi un officier de police des RG en est arrivé à s’intéresser à la violence des sectes satanistes et à écrire un livre: « Qui veut encore tuer le Christ? »
Son nom est James Rennie. S’il avait été prêtre catholique, le monde entier se souviendrait encore des actes abjects auxquels il se prêtait avant d’être arrêté par la police avec plusieurs dizaines d’autres membres de son réseau d’homosexuels pédophiles. Comme il s’agissait d’un militant pour la cause du « mariage » entre personnes du même sexe et du droit à l’adoption pour ces couples, cette information n’a été publiée en France que sur quelques blogs, comme par exemple ici sur Riposte Catholique. Avant son arrestation, James Rennie, 38 ans, était le directeur de l’association LGBT Youth Scotland. En tant que tel, par ses contacts avec les parlementaires écossais et avec l’ancien Premier ministre Tony Blair, mais aussi en sa qualité de conseiller du gouvernement écossais pour les questions homosexuelles en rapport avec les enfants, il a eu une influence sur l’évolution du droit anglais et écossais vers l’autorisation de l’adoption pour les couples de personnes du même sexe.
On parle de la tuerie du Connecticut, c’est l’occasion de revenir sur un autre massacre, il y a 15 ans, de l’autre côté de la Manche, et pour lequel de nombreuses questions restent en suspens.
Un mois après le début de ce scandale sans précédent, lié aux sévices infligés à des mineurs dans le nord du Pays de Galles et ayant coûté le poste de directeur général de la BBC à George Entwistle, Ciaran Jenkins examine les questions qui demeurent sans réponse.
Ces images montrent des scènes qui se sont déroulées à l’intérieur d’une demeure seigneuriale avant que ce bal masqué dégénère en orgie de masse. Plus de 350 fêtards nantis, qui sont arrivés avec une véritable flotte de Porsche, de BMW et d’Aston Martin, ont tenu des bougies allumées pendant qu’ils regardaient un homme mystérieux habillé d’une robe rouge et deux femmes en lingerie se produire sur scène. Tout semblait normal au propriétaire de cette demeure seigneuriale du 17ème siècle nommée « Halswell House« , jusqu’à minuit lorsque l’ensemble des participants ont enlevé leurs vêtements pour se retrouver en pantalon en cuir, corsets et autres porte-jarretelles. Quelques minutes plus tard, comme le révèle le Daily Mail d’aujourd’hui grâce au chroniqueur Richard Kay, les invités ont commencé à avoir des relations sexuelles.
Une compagnie néerlandaise a loué le Halswell House, un hôtel de 30 chambres situé dans le Somerset, pour y organiser une partie fine. A la grande surprise du propriétaire des lieux.
Ce n’est pas la première ni peut-être même la dernière. Une nouvelle affaire de pédophilie vient d’éclabousser le groupe britannique. Stuart Hall, ancien présentateur de télévision et aujourd’hui commentateur à la BBC Radio 5, a été mis en examen pour attentats à la pudeur.
Après les retombées des révélations concernant l’ancien animateur de la BBC, Jimmy Savile, et ses instances incroyablement nauséabondes et innombrables de pédophilie, ainsi que l’attitude désinvolte adoptée par la BBC, de plus en plus de questions sont en train d’émerger en ce qui concerne le lien entre Savile et la Monarchie anglaise, notamment avec le Prince Charles.
BBC : encore un animateur accusé de pédophilie.
Cette fois, il s’agit de Stuart Hall, un présentateur de la version britannique d’ »Intervilles ».
Peter Petrauske, 72 ans, de Falmouth fait face à quatre accusations d’aggressions impures. Jack Kemp, 69 ans, également de Falmouth, fait face à 15 chefs d’accusation d’agressions impures sur des enfants et adolescents âgés entre 3 et 15 ans.
Que s’est-il passé dans les orphelinats du Pays de Galles, et ailleurs en Angleterre? Depuis que le scandale Jimmy Savile a explosé, on dirait que la parole se libère. Des hommes politiques anciens et encore en vue sont cités, on parle de protections, et on revient sur certaines affaires un peu trop vite enterrées.
