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L’affaire du viol d’une fillette de 11 ans au parloir de la prison de Muret révèle de nouvelles zones d’ombre, alors que les enquêteurs soupçonnent le détenu de 65 ans d’avoir commis d’autres crimes.
Une série TV dévoile la face sombre du célèbre magazine de “charme” et se demande s’il existe une malédiction sataniste des playmates.
Le magazine Playboy, créé en 1953 par Hugh Hefner, fut une véritable institution américaine, avant de quasiment disparaître en 2020. La première playmate affichée en couverture ? Marilyn Monroe, excusez du peu. Dès lors, les grandes plumes du moment se pressent afin d’être publiées, dont Ian Fleming – le père de l’agent 007 –, Arthur C. Clarke – dont le 2001, l’Odyssée de l’espace sera bientôt adapté sur grand écran par Stanley Kubrick. Sans oublier Vladimir Nabokov et son sulfureux roman, Lolita.
Déjà impliqué dans plusieurs affaires d’agressions sexuelles et de maltraitances sur mineurs, l’un des acquittés de l’affaire d’Outreau comparaîtra en septembre prochain pour agressions sexuelles sur sa fille. A ce stade, il nie les faits qui lui sont reprochés.
Il y a peut-être un pays dans le monde où la justice, et les autorités en général, semblent plus attentives à la protection de l’enfance qu’aux dénégations des pères maltraitants : le Japon, où plusieurs affaires de garde d’enfants entre une mère Japonaise et un père Français, sur fond de violences psychologiques, physiques voire sexuelles, sont en cours. De chaque côté, la justice et les médias prennent parti : au Japon, en prenant en compte la parole de l’enfant et en demandant sa protection, et en France pour soutenir les pères accusés de maltraitances.
Les « droits sexuels » des enfants, idéologie délirante et dangereuse, est aujourd’hui portée par différentes instances internationales, OMS et ONU en tête. La philosophe et psychologue Ariane Bilheran analyse les dérives de cette idéologie pédophile en France et démontre, dans la lignée de ses travaux approfondis sur la psychologie du pouvoir, combien la perversion est toujours l’associée de la paranoïa dans l’avènement du totalitarisme.
Elle décrypte pour nous les mécanismes pervers qui contribuent à la mise en œuvre de ce « nouvel ordre mondial » par la transgression sexuelle des enfants et adolescents: « Lorsque les fous sont au pouvoir, ils imposent leur délire, dans une contagion qu’il s’agit d’identifier pour s’en prémunir. Ils détruisent les enfants et persécutent les sains d’esprit. »
Sophie Abida refuse de laisser la garde de sa fille de deux ans à un père qu’elle suppose violent et incestueux. Poursuivie pour soustraction d’enfant et en détention provisoire depuis trois semaines, elle a été condamnée ce samedi à dix mois de prison avec sursis avec l’obligation de rendre la fillette, et remise en liberté.
Suite aux réquisitions lourdes du procureur : 15 mois de sursis dont 9 mois fermes avec 2 ans de sursis probatoire.
Les juges ont statué à 10 mois de prison avec sursis probatoire pour le délit de soustraction d’enfant, et la remise de la petite dernière, au père.
J’aimerais attirer votre attention sur le fait que Sophie ADIBA, n’a fait que protéger ses enfants et dénoncer les violences qu’ils-elles subissent quotidiennement.
En remettant ses 4 enfants au père, et en lui collant un sursis probatoire : le tribunal de Chartres la musèle définitivement… Pour voir ses enfants et ne pas finir en détention, Sophie va devoir se taire, en priant qu’au pénal, l’affaire ne soit pas classée. Et jouer le jeu de son ex-bourreau et du présumé agresseur de ses 4 enfants.
Désormais, quelques heures de visites médiatisées lui seront accordées, si elle est coopérative.
( et elle le sera. Parce qu’elle aime ses enfants plus que tout…)
Selon les juridictions, une mère qui dénonce des faits d’inceste et d’agressions sexuelles a plus de chance de finir derrière les barreaux pour soustraction d’enfants, qu’un père de famille, présumé coupable
(une enquête pénale est tjrs en cours) déjà condamné pour des faits de violences.
La parole des enfants n’est pas entendue. Le principe de précaution est violé et piétiné. C’est la violence de la loi des pères…
Le combat continue …
Merci aux militantes présentes a Chartres hier, et celles toujours aux côtés de Sophie ❤️… Reposez-vous bien
Cette conférence de presse fait suite à l’incarcération de Priscilla Majani, mère protectrice d’une enfant accusant son père de pédocriminalité qui a ému la France entière très récemment sur les réseaux sociaux et soutenue par des célébrités à travers les hashtags:
#JauraisFaitCommeElle
#PriscillaMajani
#SophieAbida