Voici une riche compilation qui ne pourra qu’interpeller les plus sceptiques ayant eu le courage de la visionner en intégralité !
* SOMMAIRE *
0:00 – INTRODUCTION
4:44 – Contrôle Mental ? On en parle à la télé autrichienne…
7:56 – Cathy O’Brien
10:15 – Claudia Mullen
16:14 – INTERLUDE sauterie à la loge
16:37 – Stephen Kent
17:43 – Aria & Phoenix
39:31 – Samir Aouchiche
46:57 – Ellen Engel
52:04 – Jeanette Westbrook
1:08:52 – Ellen Lacter
1:12:00 – Lynn Moss Sharman
1:19:58 – Stephen Kent
1:29:26 – Bianca, Betty, Arabella, Merrick
1:32:38 – Rachel Vaughan & Andrew McIntyre
1:41:49 – Kristin Constance
1:59:48 – James Randall Noblitt
2:08:03 – INTERLUDE NOYAU DUR
2:11:53 – Juan Miguel Petit
2:12:24 – Lynn Brunet
2:15:56 – Cisco Wheeler
2:18:49 – INTERLUDE NOYAU DUR
2:20:38 – Maude Julien
2:24:02 – Gloria Masters
2:29:52 – Robert Oxnam
2:37:38 – Claudia Fliss
2:38:57 – Michaela Huber
2:44:37 – Sanne Terlingen & Christel Kraaij
2:50:38 – Caryn Stardancer
2:55:15 – Van Aller
3:00:14 – « La Maison Bleue »
3:14:28 – INTERLUDE : FM & POLICE
3:21:09 – Véronique Liaigre & Martinisme
3:22:15 – CONCLUSION SYNTHÈSE (Fritz Springmeier)
4:00:03 – OUTRO / NOTRE DAME
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⚠️Avertissements :
Contenu pouvant être perturbant et potentiellement déclencheur.
Cette vidéo contient de graves allégations concernant des francs-maçons, cela reste des présomptions reposant sur des témoignages n’ayant pour la plupart pas fait l’objet d’enquêtes judiciaires. Il n’est pas question ici d’accuser globalement toute la Franc-maçonnerie de perpétrer des rituels sadiques et violents, il est probable que certains maçons opèrent sans le consentement de la majorité des membres de la loge. Le culte du secret sur lequel repose la Franc-maçonnerie pose un problème, voire un danger pour elle-même, car il lui est impossible de certifier que ce genre de pratiques rituelles « pédo-sataniques » n’existent pas dans certaines arrières Loges, que d’autres qualifieront de « Maçonnerie déviante » ou encore « Maçonnerie irrégulière ». Le cloisonnement strict de cette hiérarchie pyramidale fait que les initiés progressent « à l’aveugle » dans cette vaste organisation et ses diverses ramifications, notamment les écoles à mystères dites ésotériques.
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Jacques Thomet a relevé le défi ! Longtemps journaliste à l’AFP, il publie « La Pédocratie à la française. La chute des intouchables« , aux éditions Fabert. Un livre documenté, sourcé, sérieux, qui récapitule les nombreuses affaires de pédocriminalité qui ont éclaté ces dernières années, sur le terrain judiciaire ou médiatique.
Suite à l’impossibilité de publier ce document et l’image qui l’accompagne tels quels sur le réseau social préféré des Gilets Jaunes, le « Programme de ré-information » en 3 saisons des GJvsPEDO est disponible ici. Les vidéos ont été incrustées directement dans cette publication, et elle sera progressivement enrichie.
1)J’ai une question qui me vient à l’esprit: pourquoi un officier de police des RG en est arrivé à s’intéresser à la violence des sectes satanistes et à écrire un livre: « Qui veut encore tuer le Christ? »
Le Rapporteur spécial sur la vente d’enfants, la prostitution des enfants et la pornographie impliquant des enfants, Juan Miguel Petit, s’est rendu en France du 25 au 29 novembre 2002. Il avait souhaité effectuer cette visite après avoir reçu des informations au sujet d’un certain nombre d’enfants français qui seraient victimes de pédophilie et de pornographie, ainsi que de cas de traite d’enfants et de prostitution des enfants. Quelques extrait de son rapport.
Karl Zero revient sur 13ème Rue avec un nouveau numéro de Les Faits Karl Zero consacré au fichier de la honte. Un CDRom saisi aux Pays-Bas en l’an 2000 contenait 8400 documents pédocriminels.
Le rapporteur de l’ONU Juan Miguel Petit déclare :
« Il y a eu des plaintes et des dénonciations précises de mères qui se disent poursuivies par des groupes, pouvant être assimilés à des mafias ou à des loges, organisant la pornographie infantile. »
Un rapport sur les droits de l’enfant de l’organisation internationale relève les » carences » de la justice française concernant les violences sexuelles sur mineurs.Urgence, carences de la justice. En des termes certes diplomatiques mais cinglants, l’ONU invite la France à changer d’attitude vis-à-vis de la pédocriminalité. » Le rapporteur tient à recommander à nouveau qu’un organe indépendant mène de toute urgence une enquête sur les carences de la justice (française – NDLR) à l’égard des enfants victimes de sévices sexuels et des personnes essayant de les protéger. » Ce point 89 du rapport définitif de l’ONU sur les droits de l’enfant (1) résume parfaitement l’opinion de Juan Miguel Petit, rapporteur spécial sur la vente, la prostitution des enfants et la pédopornographie, après la visite qu’il a effectuée en France en novembre 2002.Au moment où le procès Dutroux nous rappelle que l’inimaginable n’est pas forcément imaginaire, le rapport stigmatise la négation qui prévaut dans les milieux de la justice dès qu’on parle de réseaux pédocriminels : » De nombreuses personnes ayant une responsabilité dans la protection des droits de l’enfant, en particulier dans le système judiciaire, continuent de nier l’existence et l’ampleur » des sévices sexuels sur des enfants, et notamment ceux commis » aux fins de production de matériel pornographique » (point 81). En clair, il s’agit de viols d’enfants, photographiés, filmés et diffusés via Internet. On découvre, au cours de la lecture des 23 pages du rapport, que la brigade des mineurs de Paris » émet des doutes sur l’existence de réseaux pornographiques « , tout en reconnaissant que » nombre d’adultes sur lesquels elle avait enquêté pour possession et distribution d’images pornographiques avaient des relations sociales très influentes « . Dans ce contexte, la décision du parquet de Paris de classer sans suite l’affaire du cédérom de Zandvoort (2) choque le rapporteur de l’ONU : » Les autorités françaises ont conclu que (les images du cédérom) dataient des années soixante-dix. Toutefois, certains parents contestent cette conclusion, faisant valoir que certaines des photos contiennent des preuves montrant clairement qu’elles ont été prises récemment. » Le rapporteur spécial demande (point 88) » que le gouvernement français. transmette officiellement le cédérom Zandvoort à Interpol aux fins d’examen « .
Dans de nombreux dossiers dans lesquels des enfants sont victimes de violences sexuelles, » la plupart des juges ne sont guère enclins à entendre les enfants » (point 85), et la France se voit rappeler l’article 12 de la convention des droits de l’enfant, qui assure à tout mineur » la possibilité d’être entendu dans toute procédure judiciaire ou administrative l’intéressant « . Le constat est tel que l’ONU préconise l’affectation » des ressources adéquates à l’appareil judiciaire aux fins de la formation relative aux droits de l’enfant « . De même, le Conseil de l’ordre des médecins est invité à revoir » de toute urgence ses procédures de façon à soutenir au lieu de condamner les médecins qui font part de leurs soupçons de sévices à enfant » (point 59). Il n’a pas échappé au rapporteur de l’ONU que ledit Conseil ordinal a poursuivi une centaine de médecins » coupables » d’avoir effectué un signalement assimilé à une » dénonciation calomnieuse « . La grande discrétion accordée à la publication de ce rapport en France en dit long sur les réticences à remettre en question le dogme qui prévaut dans la majorité des prétoires : l’enfant est, a priori, présumé menteur. Ce sont les catastrophes judiciaires et humaines qui en découlent qui avait motivé la visite du rapporteur spécial de l’ONU en France, fin 2002.
Dysfonctionnements de la justice, sous-estimation des réseaux pédophiles, paroles d’enfants niées, le rapporteur spécial du Haut Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme est particulièrement sévère pour notre pays.