Archives de catégorie : Antiogre

Antiogre L’affaire des ballets roses

A la fin de l’année 1958, une fille de quinze ans dénonçait un policier nommé Pierre Sorlut à un juge de la jeunesse. Elle disait qu’elle et d’autres filles avaient été recrutées par cet homme pour effectuer des danses pornographiques. Les démonstrations avaient été effectuées devant des personnalités cachées derrière des pseudonymes.

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Antiogre Connections entre l’extrême droite et l’international du sadisme

Le trio néonazi

Commençons par la Bourgogne et plus précisément le département de la Nièvre. En juin 1990, une juge d’instruction parisienne sur la piste d’un réseau pédocriminel international faisait arrêter le prêtre de Saint-Léger-des-Vignes dans la Nièvre, le père Nicolas Glencross. Les forces de l’ordre découvraient alors dans son presbytère un véritable studio de photographie, ainsi que des sacs remplis de photos pédocriminelles destinées à des magazines pédophiles.

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Antiogre Le père Don Fortunato: Un Homme d’Eglise qui luttait contre la pédocriminalité

Cet homme d’Eglise de Sicile s’est lancé en 1996 dans la lutte contre la pédocriminalité quand lui et plusieurs autres sont tombés sur des sites pédopornographique alors qu’ils cherchaient le mot « sucette » à la demande d’une enfant (1). Avec l’aide de son association Telefano Arcobaleno, le père Don Fortunato s’est lancé dans la traque de ces sites criminels (1)(2). Entre 1996 et 2000, son association aurait ainsi dénoncé près de 2900 sites du monde entier.

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Antiogre Alessandro Moncini: un pédocriminel très riche, sauvé par ses frères

Ce riche entrepreneur italien de la ville de Trieste s’est fait prendre aux Etats-Unis en 1988, alors qu’il se renseignait auprès d’un autre homme pour pouvoir violer, torturer et tuer une fillette mexicaine de dix ans contre 5000 dollars (4)(5)(6). Ses propos avaient été enregistrés lors d’écoutes téléphoniques menées par le FBI (5)(6).

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Antiogre Un procès verbal de l’affaire du Coral – 19 Novembre 1982

Procès verbal de l’affaire du Coral publié à l’époque par le journal Crapouillot. Si ce PV est authentique, il faut se demander pourquoi les tenants du Coral ont été condamnés à des peines si légères (aucun des coupables n’ira en prison suite au procès en appel), mais aussi pourquoi ils n’ont été inculpés que pour « attentat à la pudeur sans violence sur mineurs de quinze ans et excitation de mineur à la débauche ».

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