Nicolas Sarkozy doit être jugé à son action et non pas d’après sa personnalité. Mais lorsque son action surprend jusqu’à ses propres électeurs, il est légitime de se pencher en détail sur sa biographie et de s’interroger sur les alliances qui l’ont conduit au pouvoir. Thierry Meyssan a décidé d’écrire la vérité sur les origines du président de la République française. Toutes les informations contenues dans cet article sont vérifiables, à l’exception de deux imputations, signalées par l’auteur qui en assume seul la responsabilité.
Mais qu’est-ce qui bloque, dans la France de 2007 ? Pourquoi n’y a-t-il pas de réponse adaptée à la pédocriminalité, notamment concernant l’Internet, le média qui en démultiplie les nuisances? Pourquoi fait-on si peu contre un phénomène qui inquiète autant les familles, bien qu’il soit identifié depuis plusieurs années ? Pourquoi les droits de l’enfant restent-ils aussi théoriques dans le pays qui se targue d’avoir inventé les droits de l’homme ?
Lundi 14 Janvier 2008 au tribunal de Créteil dans le Val de Marne à la sortie du procès de l’Arche de Zoé. Un homme s’approche vers les journalistes agglutinés pour recueillir les propos des 2 avocats de l’Arche de Zoé. Il a lui aussi des vérités à faire entendre mais lorsqu’il prend la parole face aux caméras une meute de policiers s’abat sur lui et tente de le contraindre au silence. Cet homme est excédé, on a attenté à sa vie parce qu’il voulait dire la vérité sur ce qu’il a vu alors ce n’est certainement plus maintenant qu’il va se taire. 14 policiers l’entourent mais les associations de défense noires leur mettent la pression pour que l’homme puisse enfin parler. Il donne des dates, des lieux et des noms. Voici son récit. Des hommes politiques français organisent des réseaux pédophiles entre l’Afrique et la France. Ils le faisaient hier, ils le font aujourd’hui et si nous ne faisons rien ils le feront encore demain…
Outreau. Une des villes les plus connues de France, et qui s’en serait bien passée. Pourtant, le procès très médiatisé qui porte son nom en a caché au moins un autre, bien plus réel celui-là. Les dix-huit accusés connus n’étaient pas pédophiles, mais l’auteur de ce témoignage a bien été victime d’un pédophile, un médecin. Hélas, ce procès a eu lieu aussi à Outreau, et en même temps que la fameuse » affaire » dont toute la France parlait. Hélas parce que Ludovic a vu ses efforts pour faire condamner son bourreau réduits à néant, malgré les preuves, les témoignages et les concordances avec d’autres victimes. Il dut encore batailler pour obtenir une indemnité de la commission d’indemnisation des victimes, même si la culpabilité de son agresseur avait été formellement reconnue par le président de la cour d’appel de Douai. Ce médecin pédophile l’avait pris sous son aile alors qu’il avait quinze ans, mais uniquement pour abuser de lui, avec sa femme, jour après jour, pendant des années.. Il raconte l’enfer qu’il a vécu, la descente inexorable vers la drogue et l’alcool, pour échapper à son quotidien. Il raconte les souffrances immenses pour en sortir, pour s’en sortir, puis replonger, puis faire définitivement surface grâce à son amour des lettres et de la vérité. 10 ans de sa vie. Et une marque à jamais indélébile, cicatrice à laquelle s’ajoute celle des 11 années de procédure judiciaire qu’il a engagées pour obtenir justice. Et le silence des médias sur ce procès, silence d’autant plus insupportable qu’il côtoie le vacarme assourdissant de l’autre procès d’Outreau. Loin de condamner la justice dans son ensemble, Ludovic Lefebvre appelle à ce que la société reconnaisse et dénonce la justice de classe ( » notable donc non coupable « ) quand elle a lieu comme dans son cas, en contradiction totale avec le principe d’Egalité. Pour enfin ouvrir le débat sur ce qui s’est réellement passé à Outreau, il confie avec courage ce témoignage poignant, terrible, mais ô combien utile pour notre société.
La comédienne Roseanne, au fort caractère, a incarné beaucoup de personnages: Serveuse, humoriste, animatrice de talkshow et actrice. Mais ce n’est pas ce qu’elle veut dire quand elle dit qu’elle a affaire à des personnalités multiples.
Une fois le déchaînement médiatique retombé, que reste-t-il de l’affaire du tueur en série Patrice Alègre?
Tout ou presque. Des meurtres oubliés, des procédures judiciaires engluées, des expertises bâclées, des rapports enterrés et toujours autant de questions sur la face cachée du Toulouse des années 90, mélange de débauche et d’affairisme. Toutes ces années ont été marquées par le tueur en série, prince des nuits interlopes de la Ville rose et proxénète.
Le 27 avril 2007, dans l’émission « On n’est pas couché » animée par Laurent Ruquier, Michel Polac s’en est pris à Daniela Lumbroso car celle-ci avait plusieurs années auparavant, dans une émission littéraire sur LCI, cité le même extrait de son journal intime, dont elle jugeait le caractère pédophile (page 147). Daniela Lumbroso a pour sa part maintenu son jugement sur ce passage du journal de Michel Polac.
Cette fois-ci je ne suis pas content. Les Ballets Écarlates est le premier film qui ne sort pas dans les salles. Et pourquoi. Parce-que jadis, il y a eu une histoire qui s’appelait les ballets roses. L’aide de camps du général De Gaule convoquait des adolescentes dans un pavillon de chasse et organisait des partouzes.
Dans une petite ville de province, des notables se livrent à des pratiques pédophiles. Un soir, l’un des enfants parvient à prendre la fuite pour se réfugier chez Violaine. Cette dernière, qui a perdu son enfant des années auparavant, fait équipe avec un armurier pour retrouver les pédophiles et se venger.
C ‘est une note ultraconfidentielle, couverte par le secret médical, qui embarrasse au plus haut point le ministre de la Santé, Philippe Bas. Ce document rédigé par l’Inspection générale des affaires sanitaires et sociales (Igas), remis en février 2007 au ministre, retrace l’historique médical de quatorze des dix-sept enfants cités comme victimes dans le procès d’Outreau. Pour cinq d’entre eux, dont les parents ont été reconnus innocents, l’Igas relève des indices évocateurs d’abus sexuels. Il ne s’agit pas de preuves, mais seulement de signaux d’alerte qui justifient selon l’Inspection d’être pris en compte au nom de la protection de l’enfance. C’est d’ailleurs à ce titre que le ministre de la Santé a adressé copie de ce document hautement confidentiel au médecin responsable de la Protection maternelle et infantile (PMI) du Nord-Pas-de-Calais. Avec pour consigne de veiller de façon attentive à la santé des cinq enfants.