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Début de l’affaire: 2008, Cerignola
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Début de l’affaire: 2008, Cerignola
Extrait du reportage: « L’affaire des poisons, les secrets de Louis XIV »
Cette affaire de la deuxième partie du XVIIe siècle français a pour origine les investigations du premier lieutenant général de police de Paris La Reynie. Il avait été chargé par Louvois le ministre de la guerre de Louis XIV d’enquêter sur le commerce criminel de poisons. Il n’était apparemment pas rare à cette époque de se débarrasser d’une personne par ce moyen. Les enquêtes débouchent sur un très grand réseau de fourniture de poisons. L’élaboration des substances avaient une connotation satanique tant pour les alchimistes que les fournisseurs (souvent des femmes) ou les clients. De nombreuses personnes sont arrêtées, dont de hauts membres de la cour, et une chambre judiciaire spéciale est créée (la chambre ardente) pour traiter cette affaire. Louis XIV semble vouloir faire le ménage. Un des fournisseurs, surnommée La Voisin, a joué un rôle clé dans ce réseau. Après qu’elle ait été exécutée, sa fille se met à parler. Elle dénonce notamment la marquise De Montespan, la maîtresse favorite du roi, qui aurait été une utilisatrice des poisons. Elle dit aussi que la marquise participait à des messes noires chez sa mère avec sacrifices d’enfants. La raison d’Etat finit par l’emporter: une condamnation de la favorite de Louis XIV pourrait ternir la réputation du roi. La partie de l’affaire mettant en cause la marquise de Montespan est donc enterrée.
Titre d’origine: « Défenestration collective: Une ado en parle »
Une jeune essonnienne revient sur l’actualité qui a vu douze membres d’une même famille se défenestrer, à la Verrière dans les Yvelines
Extrait de la conférence de 2009 de Sarane Alexandrian intitulée « La Magie Sexuelle)
Conférence intégrale ICI
Reportage diffusé sur la chaine Allemande N24, il y a plus de 10 ans et censuré en France.
Témoignages effroyables de plusieurs enfants, victimes d’un réseau pédocriminel en France, et de soirées sataniques avec cannibalisme et crimes rituels. Certains témoignages sont reliés à l’affaire Dutroux mais ils n’ont pas été pris en compte.
Partie 1:
Gilles De Rais – La Véritable Histoire De Barbe… par miamduchoco
Gilles de Montmorency-Laval était comte de Brienne et baron de Rais. Il a laissé dans l’histoire un détestable souvenir. En effet, il fut condamné en 1440 pour de nombreux crimes et fut pendu pour sodomie, meurtres et sorcellerie. Sa parenté avec la famille royale de France en faisait pourtant un noble de haut rang, donc intouchable. D’autant qu’il fut un héros de la guerre de Cent Ans. Excommunié pour l’horreur de ses crimes, a-t-il été accusé à tort ?
La nuit tombait en ce jour de juillet 1985. De brume fragmentaire, les vapeurs s’étaient faites plus denses et le brouillard recouvrait peu à peu toute la vallée de la Tarentaise, en Savoie. Un brouillard à vous tordre l’âme d’angoisse. Deux maisons, pas même un de ces hameaux piqués dans la pente comme des écailles de pommes de pin. Juste deux maisons sur un replat, à vol d’oiseau des stations de ski les plus réputées.
– Et ton voisin, le sorcier ?
– On s’en accommode, me répondit-on dans l’étable restaurée par ces estivants dont les murs étaient mitoyens d’une famille de sorciers réputée de père en fils depuis la nuit des temps. Une des trois familles du pays qui possédait encore Le Petit Albert, selon le commun bruit. C’était tout dire.
Nous redescendîmes en bavardant. La sorcellerie ? Non, vieilles lunes… Cependant, une telle charmait le feu, celle-ci avait été arrêtée sur place par une force inconnue, les vaches du père s’étaient retrouvées attachées deux à deux dans la même chaîne, on avait eu bien du mal à les en dépêtrer. A la fromagerie Machin, depuis certaine visite, il y a trois ans, leur fromage, ce n’était plus tout à fait ça. Ils avaient sans arrêt des problèmes. Les reblochons de Mme Untel gonflaient comme des soufflés, elle devait les crever avec son pique-feu chauffé au rouge. La sorcière ne pouvait pas mieux frapper dans ce pays producteur de lait et de produits fromagers. C’était d’ailleurs une voisine.
Je me retrouvais ainsi soudain plongée au coeur même des récits qui se déroulaient tout au long des interrogatoires des déposants ou témoins des quarante procès de sorcellerie anciens que je venais de dépouiller durant de longs mois aux Archives départementales de Savoie. Si les maléfices paraissaient plus bénins, car tout s’affadit, c’étaient les mêmes.
On n’y croyait pas vraiment, mais on ne s’expliquait pas. Alors pourquoi pas ?
La Savoie et ses habitants positifs, réalistes n’échappent cependant pas à un petit côté irrationnel. Dans les temps anciens, la sorcellerie s’y portait bien. Savoie et Haute-Savoie eurent dès le XVe siècle leur épidémie de chasse aux sorcières avec un paroxysme aux XVIIe et XVIIIe siècles, correspondant sensiblement à la réforme catholique post-tridentine, qui considéra la sorcellerie comme l’hérésie majeure, et à l’explosion du style que l’on nomme baroque.
Témoignage absolument poignant de Régina LOUF, auteur du livre : Silence on tue des enfants. En 1996 l’affaire Dutroux est rendu publique, Régina LOUF va reconnaitre Marc Dutroux étroitement lié à son ancienne vie…Nihoul, elle le reconnait aussi en le voyant sortir du palais de justice. « Marc Dutroux était un personnage secondaire et Nihoul était le chef. » dit elle…
Les Rolling Stones, les Beatles, David Bowie, Led Zeppelin… Beaucoup d’artistes des années 60 ont été influencés par la philosophie d’Aleister Crowley. « Il n’y a d’autre Loi que Fais ce que tu veux »… Un leitmotiv qui a inspiré la génération hippie.
Autre affaire. Paul, douze ans, dénonce plusieurs membres de sa famille agissant au sein d’un groupe sectaire, de tendance sataniste : » Ma marraine est entrée avec un bébé de quelques mois et elle l’a donné au grand-père. Le grand père a fait passer le bébé et il m’a donné un grand couteau avec des signes comme des lettres en bâton. Il m’a pris la main et il dirigea le couteau vers le bébé et on a tué le bébé. Il a récupéré le sang et nous l’avons bu un à un. Le grand-père m’a emmené dans l’ancienne maison de sa mère. Il a posé le bébé sur le lavabo en pierre et a repris le même couteau qu’il avait pris pour la cérémonie du sacrifice, il a récupéré une fois encore le sang et a commencé à découper l’enfant. ».