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Opération « Passerelle 2012 »
Message n°2 de l’ O.C.C.U.L.T.E à récupérer en texte sur le blog du RRR et à distribuer aux membres des forces dites publiques ( 1 page recto-verso)
Voici le texte original à imprimer et à distribuer en direct à tout gendarme ou policier de vos connaissances, à tout membre des forces de l’ordre que vous êtes amenés à croiser, ou vers lesquels vous allez dans le cadre de l’opération « Passerelle 2012 » :
Longueur : pour une page A4 recto verso, réduire la taille de la police du titre « Le crime organisé et nous ; toute une Histoire… »
Ceci n’est pas un PDF, merci de respecter la complète authenticité du texte.
Bonne chance à vous tous !
Le crime organisé et nous ; toute une Histoire…
A l’occasion du message de vœux que je vous adressais pour 2012 je vous parlais de ces constats insoutenables, et si difficiles à appréhender.
Ce qui les rend si difficiles à appréhender, c’est qu’ils ne collent pas avec la vision que nous avons de notre système sociétal, ni avec celle que nous avons de la notion de crime organisé.
Je vais donc aujourd’hui aborder le sujet du crime organisé, car nous ne pouvons nous tromper dans notre analyse, puisque vous êtes sensé le combattre, et en protéger les citoyens.
Du temps où j’étais jeune gendarme – avant que le dégoût ne me pousse à démissionner par le biais d’une mutation inter-armes – j’avais une vision toute faite de la notion de crime organisé, sans me douter que celle-ci n’était que le fruit d’un insidieux formatage.
Ainsi, pour nous tous, il s’agirait d’une notion générique, plutôt floue, qui désignerait l’univers glauque des mafias et organisations criminelles diverses.
Ces organisations criminelles auraient en commun cette soif d’argent et de pouvoir, et un manque total de morale pour épancher cette soif. La stratégie principale, commune à toute organisation criminelle sérieuse, serait d’infiltrer les rouages de nos institutions, essentiellement les institutions judiciaire et politiques, sensées combattre le crime.
Pour infiltrer ces institutions, et ainsi s’assurer la pérennité et la sécurité de ses basses œuvres, le crime organisé userait de façon générale, de manœuvres de compromission et de corruption, outre de la terreur.
Là où le bas blesse sérieusement dans une telle analyse, c’est que le vrai crime organisé n’a aucunement besoin de gagner de l’argent ! Non ; le vrai crime organisé détient le monopole de la fabrication de l’argent, en lieu et place des nations dont c’est pourtant la prérogative régalienne essentielle.
Les mafias et organisations criminelles tellement bien mises en avant par le septième art – aux mains, comme le reste, du vrai crime organisé international – ne sont là que pour faire un effet paravent au crime organisé international, et occuper les forces dites publiques.
Une relecture de l’Histoire, associée au constat de l’état réel du monde, nous permet de tout comprendre. Et ce qui nous est entre autre caché par l’Histoire – celle imposée – c’est qu’il y a quatre siècles environ, de richissimes usuriers mirent leurs fortunes en commun pour prendre le contrôle du monde. Leur stratégie était simple, et redoutable ; il s’agissait d’imposer à toute nation, en commençant par les plus fortes dans un premier temps, une banque centrale privée.
Ces banques centrales devaient s’octroyer le monopole du pouvoir de battre monnaie, en imposant à leurs peuples un système monétaire criminel, celui qui fait loi aujourd’hui !
Pour arriver à leurs fins, ces criminels useraient de leurs fortunes réunies pour renverser, si nécessaire, les monarchies ne jouant pas leur jeu, et mettre à leur place des éléments recrutés avec le contrat d’assurer la mise en place des banques centrales privées.
C’est ainsi que la toute première nation à se retrouver sous la dépendance de ce gang de criminels, les fameux Sages de Sion, fut l’Empire Britannique, dès 1698, date de la création officielle de la première banque centrale privée.
Aujourd’hui, à la tête de cette nation, siège une dynastie au nom d’emprunt, qui descend en fait d’un duc allemand ; celui qui fut mis sur le trône par les criminels, après qu’ils en aient chassé les Stuart. La dynastie des Windsor est donc naturellement totalement soumise au pouvoir de La City de Londres, le siège social du vrai crime organisé international.
La révolution française devait être organisée par ces mêmes criminels, avec le concours du premier des Rothschild, Amschel Mayer Bauer, de son vrai nom. Ce riche banquier, à peine recruté, sut faire infiltrer les loges franc-maçonniques d’Europe, par le biais d’une société secrète dont il finança la création et les actions, et ainsi renverser la monarchie gênante.
A travers la conquête du Nouveau Continent et la création des Etats Unis d’Amérique, le grand enjeu de ce gang puissant était la mise en place de la Réserve Fédérale.
La guerre d’indépendance et celle de sécession, avec la création du Ku Klux Klan, furent l’œuvre des odieuses manipulations du gang. La fameuse « Reserve Federal » fut officialisée à l’aube de la première guerre mondiale, également organisée par les banquiers privés.
La réunion du traité de Versailles, intervenant en réalité pour créer le climat favorable à la deuxième guerre, fut dirigée par les agents Rothschild, présents derrière chaque chef d’Etat.
Les guerres mondiales et les révolutions – comme la création du communisme et du nazisme et de tout camp qui s’oppose dans la pire violence sur l’échiquier truqué de notre prétendue civilisation – ne sont en fait que l’œuvre des criminels internationaux de la haute finance.
Leur stratégie fondamentale, outre la division des peuples, est la domination de ceux-ci par le principe de mise sous dépendance. Ce principe concerne, outre la création de la monnaie, tout ce qui touche à l’énergie, l’alimentation, la santé ; bref, la vie sur Terre, prérogative de mère Nature, qui, du coup, devient le premier obstacle aux plans des richissimes malades mentaux.
C’est ainsi que, juste en dessous des banques privées, on trouve en position de suprématie dans la pyramide criminelle de notre système sociétal, l’univers industriel, répandant ses technologies barbares et destructrices à la surface de la planète, et privant l’humain des
bienfaits de la Nature, qu’il est en outre est poussé à détruire lui-même en profondeur.
Pour revenir à la France, et à la mise sous dépendance du système monétaire, ce fut l’œuvre de Valéry Giscard d’Estaing en 1973. Celui-ci, flanqué d’un certain Pompidou – ex administrateur de la Banque Rothschild de Paris – imposa à notre nation un texte de loi qui la privait définitivement de son pouvoir de battre monnaie. Ce fut la fin des fameuses « trente glorieuses », le début pour la France de sa longue descente aux enfers, d’un endettement infernal exponentiel vis à vis des banquiers privé internationaux. (Notez que c’est ce même traître qui a rédigé le texte du traité de Maastricht, dont l ’article 104 priva tout pays signataire du traité de Lisbonne adhérent à l’Europe Unie, de son pouvoir de battre monnaie.)
Jusqu’à aujourd’hui, tous les chefs d’Etat qui se sont succédés à Valéry Giscard d’Estaing se sont gratifiés de la même incrimination ; haute trahison à la Nation !
Notre mise sous dépendance de l’univers malfique des industries n’a depuis cessé de s’aggraver, avec l’aide des médias et des outils de communication, utilisés copieusement pour notre lavage de cerveau. Les programmes scolaires sont également étudiés à ces fins, avec les pires propagandes, l’objectif étant l’abrutissement et la décadence de nos enfants : Nous sommes tous nés, depuis des générations, avec des repères viciés. Aujourd’hui, l’Humanité entière ne constitue qu’un vaste bétail bien malléable – et content de lui pour les deux tiers !- totalement écrasé par le crime organisé international ; celui que vous servez malgré vous…
Car, pour conclure ; il est évident que l’univers politique de notre pays, avec notre gouvernement actuel et les précédents, n’est qu’une funeste imposture, à la botte de l’oligarchie de la haute finance et de l’industrie. Cela signifie également que, par ricochet, les forces dites publiques servent, à leur insu total, de bras armé à cette imposture, voyant l’idéal de tout gendarme ou policier détourné pour le compte… …du crime organisé international !
Si révolutions et guerres ne sont donc, avec les cracks financiers, que les coups tordus favoris de cette société secrète, c’est que ses membres se succèdent pour appliquer la stratégie du chaos, et ainsi imposer aux peuples brisés les étapes de leurs plans. L’ordre par le chaos !…
Cela signifie également, pour nous tous, et vous qui devez être en première ligne, qu’une prochaine guerre civile nous pend bien au bout du nez, tous les ingrédients ayant été réunis au cours des dernières décennies par ces traîtres à la Nation que nous connaissons si mal.
Et, ceci dit en passant, si Israël se décide à attaquer l’Iran, comprenez que la troisième guerre mondiale doit également être d’actualité, sur l’agenda de vos insoupçonnés donneurs d’ordres.
Merci de votre attention, et à bientôt.
Stan Maillaud RRR / O.C.C.U.L.T.E
Source: http://smrrr.wordpress.com/2012/02/24/message-n22012-de-lo-c-c-u-l-t-e-aux-membres-des-forces-dites-publiques/