Dans l’ADN les chercheurs isolent un gène, celui qui répond à un stress très fort résultant d’un traumatisme. Proportionnellement à ce qu’ont subi les victimes, on trouve des modifications chimiques dans l’ADN. Elle se transmet jusqu’à trois générations au moins.
Source:
http://www.rts.ch/video/info/journal-19h30/3745896-des-chercheurs-de-l-unige-ont-decouvert-que-les-abus-laissent-une-trace-biologique-dans-l-adn-des-victimes.html
Voir aussi :
http://www.medecine.unige.ch/actualites/details/media.php?version=simple
http://www.tdg.ch/savoirs/sciences/La-maltraitance-dans-lenfance-laisse-des-cicatrices-genetiques/story/11656001
http://www.nature.com/tp/journal/v1/n12/full/tp201160a.html