On a déjà parlé de Fabienne Amyot sur ce blog. C’est cette victime des réseaux pédophiles puissants qu’on dénonce ici. Elle recherche ses enfants qu’on lui a pris, nés des viols qu’elle a subis. Ils ont été adoptés, ou placés chez des amis de membres du réseau, ou des proches. Depuis quelque temps, Fabienne a avancé dans ses recherches: elle a retrouvé un fils, est sur la piste d’autres enfants, et elle a retrouvé le nom du père, un des violeurs, notamment quand elle avait 12 ans. Dans la lettre qui suit, il s’agit de C.J., dont je dois censurer le nom pour l’instant mais qui ne perd rien pour attendre.
D’autant que ce monsieur est fort en vue dans la région…
Fabienne Amyot s’est présentée aux élections présidentielles, et nous a fait part des incroyables difficultés qu’elle a rencontrées dans ce véritable chemin croix, infructueux au final car elle n’a même pas pu se présenter aux citoyens, à aucun moment. Nous avions vu à cette occasion que l’élection présidentielle en France n’est pas du tout un « scrutin universel direct », car il n’a rien de direct et Hollande comme tous les présidents de la Ve Republique sont illégitimes.
Fabienne Amyot a aussi alerté toutes les instances nationales et internationales possibles au sujet de ce qu’elle qualifie -comme beaucoup d’autres d’ailleurs- de massacre. La Cour Pénale Internationale a par exemple été informée, et cette fois, elle a découvert que c’est l’élection du procureur de la Cour Pénale Internationale qui est totalement illégale, usurpée, et relève davantage des élections staliniennes que de la démocratie.
Cette fois, elle nous communique une lettre envoyée au député de l’Ain Etienne BLANC, qui fait partie de la commission d Outreau, qui ne ‘la jamais recontactée depuis ses premiers courriers.
Elle explique qu’elle a porté plainte contre C.J, que le procureur de Besançon ainsi que le président du TGI « sont parties prenantes de faits et de tortures à grande échelle« .
Elle rappelle que « des enfants sont tués chaque jours sur les autels sataniques pour les besoins de représentation de quelques ‘draculas’« , réclame que les fonctionnaires qui « contribuent à la traite des enfants en utilisant les institutions » soient arrêtés, et demande que les politiques s’engagent clairement aujourd’hui, en déclarant sur l’honneur qu’ils n’appartiennent pas à ces réseaux, de près ou de loin.
Pour Fabienne Amyot, ceux qui ne le feront pas seront automatiquement du côté des pédos. Elle y croit encore, et personnellement je n’en suis plus là.
Mais l’intitiative est indispensable, il est en effet temps de faire le tri, il est temps que chacun se positionne, pour ou contre.
Quand Fabienne Amyot parle de « terrorisme satanique », cela pourra faire peur à certains, mais hélas, elle a raison. Il faut comprendre que ces rituels pédo sataniques, au cours desquels des enfants sont violés et parfois tués, existent partout en France, et que ceux qui sont impliqués là-dedans ne sont pas tous des cas sociaux type Dutroux.
L’affaire du Var (16 meurtres d’enfants) est là pour nous le rappeler, de même que l’affaire des réseaux pédophiles d’élite anglais impliqués dans des viols d’enfants dans les orphelinats anglais ou les innombrables abus sexuels rituels commis aux Etats Unis…
Source: http://dondevamos.canalblog.com/archives/2012/12/12/25806540.html