Extrait Rapport CIDE Affaire Moncini: réseau pédocriminel international, tortures et meurtre d’enfant, loge P2 …

En mars 1988, l’industriel italien Alessandro Moncini, membre important de la fameuse loge maçonnique P2 de Licio Gelli, est arrêté en Californie. Il avait été mis sur écoute par le FBI et l’audition d’un extrait d’une conversation téléphonique entre Moncini et un interlocuteur non identifié fut demandée par le juge lors de son procès:

– Moncini : Que puis-je faire à ce petit animal (il évoque une fillette mexicaine)?

– Interlocuteur: Tout.

– Moncini: Je peux l’enchaîner?

– Interlocuteur: Bien sûr.

– Moncini: La fouetter?

– Interlocuteur: Oui.

– Moncini: Je peux lui faire bouffer de la m…?

– Interlocuteur: Je ne sais pas…

– Moncini: Pisser dans sa bouche?

– Interlocuteur: Oui, je pense…

– Moncini: Enfoncer des aiguilles dans ses mamelons?

– Interlocuteur: Oui…

– Moncini: Et si le petit animal vient à être cassé… Je veux dire blessé…?

– Interlocuteur: Faites disparaître le corps…

– Moncini: Et cela va coûter combien?

– Interlocuteur: 5’000 dollars.

Alessandro Moncini encourait une peine de prison de trente ans. Il fut condamné à… trois mois fermes pour avoir importé du matériel pédopornographique. Pourtant d’après les informations reçues par le quotidien italien «La Repubblica», l’affaire impliquait un réseau mondial, comme le rappelle un bloggeur belge:
(http://intrgalaktiklyon.wordpress.com/2011/07/19/la-franc-maconnerie-a-interet-a-nettoyer-les-ecuries-daugias-maintenant/)
«L’affaire Moncini s’avéra impliquer un réseau mondial d’esclavage et de meurtres d’enfants, au service d’une aile ouvertement satanique de la jet set aristocratique transatlantique. Au moins l’une de ses conversations s’est déroulée avec Anthony Crowley, un magnat américain du porno. L’on pouvait y entendre Moncini négocier l’acquisition de jeunes filles destinées à être fouettées, enchaînées, sodomisées avant d’être assassinées, durant ce que «La Repubblica» a
décrit sous le doux euphémisme de «nuit satanique».
Richard Lew, le juge qui instruisit le procès, a refusé que ces conversations enregistrées soient admises comme preuves. Une condamnation de Moncini sous le sceau du U.S. Child Protection
Act [loi anti-pédophilie américaine] eût pourtant valu à celui-ci une peine de prison ferme pouvant aller jusqu’à 30 ans, ainsi qu’une amende d’un million de dollars. Peut-être le juge Lew a-t-il été sensible aux lettres de recommandation en faveur de Moncini qui lui sont parvenues de près de 40 membres proéminents de l’establishment triestin, et ce compris l’évêque catholique de Trieste et le vice-président de la région de Trieste.
Nullement dépités par la faible réprimande adressée à Moncini par les tribunaux US, deux policiers d’élite de Trieste auraient traversé l’Atlantique à la recherche de preuves d’un cercle extrêmement fermé de pédophiles internationaux, réputé protégé par des loges secrètes dans les plus hautes branches de la franc-maçonnerie internationale (soit les ordres chevaleresques).
Source: Rapport du CIDE …

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