La vie cachée de Marilyn Monroe, la première esclave d’Hollywood sous contrôle de l’esprit (partie 1)

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La vie cachée de Marilyn Monroe,

la première esclave d’Hollywood sous contrôle de l’esprit

(1ère partie)

21 mai 2013 par Vigilant Citizen – Traduction: BBB
(En fin d’article, un documentaire: « Marilyn Monroe – Dernières Séances »)
Marilyn Monroe est peut-être la figure la plus emblématique de la culture américaine et le sex- symbol le plus facilement identifiable de tous les temps. Cependant, derrière le sourire photogénique de Marilyn il y avait un individu fragile qui fut exploité et soumis à un contrôle de l’esprit par de puissants « maîtres »(= dresseurs). La première partie de cette série en deux épisodes va explorer la vie cachée de Marilyn, esclave Monarque d’Hollywood.
Marilyn Monroe est le sex-symbol ultime, incarnant tout ce que représente Hollywood, glamour, tape-à-l’oeil et sex-appeal. Son personnage emblématique de blonde sensuelle a révolutionné pour toujours l’industrie du film et, à ce jour, influence grandement la culture populaire. Alors que Marilyn représente tout ce qui est glamour à Hollywood, la perturbante histoire de sa vie privée représente également tout le côté obscur d’Hollywood. Marilyn a été effectivement manipulée par des « médecins de l’esprit » de haut niveau qui contrôlèrent tous les aspects de sa vie et qui lui dérobèrent en fait son âme. Sa mort, à l’âge précoce de 36 ans est l’une des premières « mystérieuse mort d’une célébrité » de la culture populaire. Alors que de nombreux faits orientent vers un meurtre, sa mort est toujours classifiée comme « suicide probable ».

Pendant que de nombreux biographes expliquent les malheurs de Marilyn comme étant des « problèmes psychologiques », l’assemblage des faits de sa vie combiné avec la connaissance du côté obscur d’Hollywood révèle quelque chose d’encore plus sombre : Marilyn Monroe fut l’une des premières célébrités soumise au contrôle Monarque de l’esprit, une branche du programme MK ULTRA de la CIA (pour plus d’informations sur le sujet, lisez mon article intitulé « Origines et techniques du contrôle de l’esprit Monarque », traduit aussi par le BBB, voir ICI et ICI.) Par des traumas et un programme psychologique, Marilyn devint une marionnette de haut niveau pour l’élite de l’ombre, elle devint même le mannequin présidentiel de JFK.

Quand la programmation de Monroe perdit son pouvoir et qu’elle commença à sombrer, certains affirment qu’on l’a « jetée du train de la liberté », un terme MK ULTRA désignant des esclaves qui sont tuées quand elles ne sont plus utiles (et potentiellement dangereuses) à leurs maîtres.

La première partie de cette série d’articles va fouiller la vie et la carrière véritables de Monroe, une fillette solitaire dont la grande beauté devint une vraie malédiction.

Ses premières années

 

Norma Jeane adolescente

Norma Jeane Mortenson eut une jeunesse difficile et instable. Elle ne connut jamais son père et sa mère était mentalement instable et incapable de prendre soin d’elle. Dans Mon Histoire, Monroe a écrit qu’elle se rappelle avoir vu sa mère « hurler et rire » pendant qu’on l’emmenait de force à l’hôpital.
À l’âge de 11 ans, Norma Jeane fut déclarée pupille de l’état. Elle passa sa jeunesse dans 11 familles d’accueil au total; quand il n’y avait pas de foyer d’accueil disponible, elle atterrissait parfois dans un orphelinat de Los Angeles. Comme si le fait de passer d’une famille d’accueil à une autre n’était pas assez difficile, Norma Jeane se rappelle avoir été durement traitée dans plusieurs d’entre elles. Pire encore, elle fut violée dans au moins trois d’entre elles.

Par exemple, à l’âge de 11 ans, Norma Jeane fut adoptée par la meilleure amie de sa mère, Grace McKee et son nouveau mari, Ervin Silliman « Doc » Goddard. C’est là que « Doc » lui fit subir des agressions sexuelles à répétition, qui obligèrent Norma Jeane à partir. Dans un autre cas, quand elle était au collège, Norma Jeane fut envoyée dans la maison de sa grand-tante à Compton en Californie. C’est là que l’un des fils de sa grand-tante la viola, l’obligeant une nouvelle fois à partir. Voici un autre récit de maltraitance :

« Elle a dit avoir été fouettée par la mère d’une famille d’accueil pour avoir touché « une partie sale » de son corps. Un autre accident plus sérieux arriva quand elle eut huit ans. Un soir un pensionnaire qu’elle nomme M. Kimmel (Marilyn révéla plus tard que ce n’était pas son vrai nom) lui demanda de venir dans sa chambre et il verrouilla la porte derrière elle. Il l’entoura de ses bras. Elle lui donna des coups de pied et se débattit. Il fit ce qu’il voulait, lui disant d’être une gentille fille. (dans une interview ultérieure, Marilyn déclara que la maltraitance consistait en attouchements.)

Quand il la laissa partir, il lui tendit une pièce de monnaie et lui dit de s’acheter une glace. Elle lui jeta la pièce à la figure et courut raconter à sa mère adoptive ce qui s’était passé, mais la femme ne voulut pas l’écouter.

« Tu n’as pas honte », lui dit sa mère adoptive, « M. Kimmel est mon meilleur pensionnaire.

Norma Jeane alla dans sa chambre et pleura toute la nuit.

Marilyn disait qu’elle se sentait sale et qu’elle avait dû prendre des bains pendant plusieurs jours pour se sentir propre. Des tentatives répétées de ce genre, vouloir se sentir propre avec des douches ou des bains sont des comportements typiques des victimes d’agression sexuelle.

Marilyn disait qu’elle commença à bégayer après l’incident et que cela la reprenait pendant les périodes de stress. Quand elle raconta à un journaliste sa maltraitance, elle commença à bégayer.

Il est évident qu’elle fut une enfant maltraitée dont la précoce sexualisation entraîna un comportement inadéquat en tant qu’adulte.

– Daily Mail, « Le pull rouge magique qui transforma ‘Norma Jeane, le haricot vert’ en Marilyn Monroe »

La jeunesse instable et parfois traumatisante de Norma Jeane en fit une candidate parfaite pour le contrôle Monarque de l’esprit. Étant pupille de l’état, elle n’avait pas de famille stable.

« Certains enfants vivent dans des familles d’accueil, ou avec des parents adoptifs ou dans des orphelinats, ou avec des nourrices et des tuteurs. Comme ils sont à la merci d’adultes non identifiables, des enfants de ce genre sont fréquemment vendus à des agences de renseignement pour devenir des esclaves contrôlés psychiquement. »

– Fritz Springmeier, The Illuminati Formula to Create a Mind Control Slave (La recette des Illuminati pour créer un esclave sous contrôle psychique)

Le contexte de vie de Norma Jeane en fit une cible de choix pour la Programmation Beta (connue aussi comme programmation « chaton », Kitten Programming en anglais) Femme attirante et charismatique cherchant à faire partie du show business, elle en avait aussi le profil parfait.

« Beta est la deuxième lettre de l’alphabet grec et elle représente les modèles sexuels et les alters créés par les programmeurs. La partie primitive du cerveau est impliquée dans ce type de programmation. Une maltraitance précoce servira d’ancre à cette programmation ».

– Ibid.

Contact avec le Hollywood occulte

Avant de devenir célèbre, Norma Jeane prit le nom de Mona et travailla comme strip-teaseuse dans un cabaret de Los Angeles. Elle y fut mise en contact avec Anton LaVey, l’homme qui fondera plus tard l’Église de Satan, à l’influence énorme. Selon Springmeier, LaVey était un programmeur MK et Monroe devint l’une de ses esclaves « chaton ».

« Marilyn Monroe était orpheline et elle fut programmée pendant sa petite enfance par les Illuminati/CIA pour devenir une esclave Monarque. Avant de devenir actrice, alors qu’elle était toujours strip-teaseuse, elle passa du temps avec le fondateur de l’Église de Satan, Anton LaVey. Des victimes de LaVey l’ont dénoncé comme étant un programmeur du contrôle de l’esprit ».
– Ibid.

La biographie de LaVey mentionne aussi une « aventure » avec Monroe, qui fut probablement bien plus que cela.

« Quand la saison du carnaval se terminait, LaVey gagnait de l’argent en jouant de l’orgue dans les cabarets de la région de Los Angeles et il raconte que c’est à cette époque qu’il eut une brève aventure avec une certaine Marilyn Monroe encore inconnue ».

– Magus Peter H. Gilmore, Anton Szandor LaVey: A Biographical Sketch


Anton LaVey rendant visite à la tombe de Marilyn

À cette même époque, LaVey fréquentait une autre actrice, celle qui fut connue comme la « Marilyn Monroe fruit du travail d’un homme » : Jayne Mansfield. Leur relation fut aussi qualifiée « d’aventure », mais la réalité était un peu plus sombre.

« Anton LaVey fut le dresseur/programmeur de bon nombre d’acteurs et d’actrices d’Hollywood, dont Jayne Mansfield et Marilyn Monroe, qui lui servirent toutes deux d’esclaves sexuels ».

– Anton Szandor LaVey, Whale.to

Photos de Jayne Mansfield avec Anton LaVey
Marilyn Monroe et Jayne Mansfield avaient beaucoup de choses en commun. Elles étaient toutes deux des « blondes canon » (ni l’une ni l’autre n’étaient des blondes naturelles) et on leur attribue la « sexualisation » d’Hollywood. Toutes deux furent playmates dans Playboy, toutes deux eurent une « aventure » avec Anton LaVey et toutes deux eurent une « aventure » avec Robert F. Kennedy et JFK (« l’aventure » était en réalité de jouer le rôle de mannequins présidentiels). Enfin, toutes deux moururent dans leur trentième année.

Une star avec une vie de prisonnière

Un autre point commun entre Monroe et Mansfield est qu’elles faisaient toutes deux partie de l’agence de mannequins Blue Book. C’est là que Norma Jeane fut métamorphosée en une emblématique Marilyn Monroe.

Quand Norma Jeane fut recrutée comme mannequin, elle avait des cheveux roux bouclés. Cette « fille d’à-côté » subira bientôt une transformation made in Hollywood et incarnera un nouveau personnage nommé Marilyn Monroe.

Marilyn avant chirurgie esthétique (on lui corrigea le nez qu’elle avait un peu fort).

[Photo ne provenant pas de l’article de Vigilant Citizen.]

Les initiés de l’industrie du spectacle convainquirent Norma Jeane de subir de la chirurgie esthétique, de changer son nom et sa couleur de cheveux en blond platine. Son personnage d’une Marily Monroe sensuelle, d’une « blonde écervelée » lui permit de trouver des rôles dans plusieurs films qui initièrent un évident changement culturel à Hollywood.

Dans le film « Les hommes préfèrent les blondes », Marilyn exhibe sa chevelure de blonde platine marque déposée hollywoodienne. Elle joue ici un rôle d’une femme sensuelle et pourtant matérialiste qui n’a pas peur d’utiliser son charme pour obtenir ce qu’elle désire. Ce genre de personnage sera répété à loisir dans la culture populaire.

Norma Jeane se servit du nom de Marilyn Monroe comme nom de scène pendant plusieurs années, mais en 1956, elle accomplit un changement étrange mais symbolique : elle échangea légalement son nom pour celui de Marilyn Monroe. Un changement qui reflétait de nombreuses et tristes vérités sur sa vie personnelle : en terme de contrôle de l’esprit, le changement de son nom représente la suppression de sa « personnalité profonde » dans le but de permettre à son personnage d’alter programmé d’exister. Marilyn ne fut plus que ce qu’ils voulaient qu’elle soit.

Comme plusieurs biographies l’ont révélé, Marilyn avait peu ou pas de liberté personnelle. Elle n’avait aucun contact avec sa famille et ses maîtres l’isolèrent pour mieux la contrôler et éviter que des gens « réels » l’aident à prendre conscience qu’elle était manipulée. Les seules personnes avec qui elle était en contact étaient ses « psychologues » et ses maîtres.

« L’existence de Marilyn n’était pas celle d’une « richarde » mais ressemblait plus à celle d’une prisonnière. Marilyn n’avait droit à aucune vie personnelle, en dehors de celle ordonnée par ses programmeurs et ses maîtres. Les programmeurs et ceux qui profitaient d’elle lui firent subir une telle pression qu’ils faillirent plusieurs fois l’amener au bord de la folie ».

– Springmeier, Op. Cit.

Marilyn était également sous constante surveillance. Des années après sa mort, on retrouva une quantité incroyable d’équipements de surveillance dans l’une de ses maisons.

« En 1972, l’actrice Véronica Hamel et son mari devinrent les nouveaux propriétaires de la maison de Marilyn à Brentwood. Ils embauchèrent une entreprise pour remplacer le toit et refaire la maison et l’entreprise découvrit un système de micros et de mise sur écoute du téléphone dissimulé dans toutes les pièces de la maison. Ses composants n’étaient pas disponibles sur le marché en 1962, mais selon les mots d’un officiel du département de la justice à la retraite, c’était « un équipement de série du FBI. » Cette découverte vient à l’appui des déclarations des théoriciens de la conspiration que Marilyn aurait été surveillée par les Kennedy et la mafia. Les nouveaux propriétaires dépensèrent 100.000 dollars pour faire enlever de la maison les appareils d’écoute ».

– Source: IMDB

Ensorcelée par les médecins de l’esprit

En 1956, Marilyn se convertit au judaïsme et se maria avec son troisième mari, le scénariste Arthur Miller. À cette époque, les seules personnes dans la vie de Monroe étaient son mari, son professeur d’art dramatique Lee Strasberg et ses psychiatres Margaret Hohenberg, Marianne Kris et Ralph Greenson.

« La vie de Marilyn était incroyablement monotone. Ses rendez-vous avec son médecin (j’appris plus tard que ces rendez-vous étaient avec des psychiatres) et ses leçons d’art dramatique étaient virtuellement tout ce qu’elle avait pour se distraire ».

– Lena Pepitone, Marilyn Monroe Confidential: An Intimate Account” (confidences de Marilyn Monroe : récit d’une prisonnière)

Lee Strasberg, le « mentor » de Marilyn. Selon Elia Kazan, « Il portait sur lui l’aura d’un prophète, d’un magicien, d’un médecin-sorcier, et d’un psychanalyste ».

La preuve ultime que ces individus étaient les SEULES personnes dans la vie de Marilyn est qu’ils héritèrent presque tous de sa fortune. Lee Strasberg hérita à lui tout seul de 75 % de ses biens et le Dr Kris obtint 25 %.

« Marilyn démarra une association avec Lee Strasberg et sa femme Paula dès 1955, ils eurent très rapidement une influence colossale dans la vie de Marilyn, prenant en charge presque tous les aspects de son existence.
De nombreux amis et collègues de Marilyn virent ceci arriver et se sentirent très mal à l’aise mais ils étaient impuissants à agir à ce sujet. Pendant son mariage avec Arthur Miller, ce dernier avait commencé à exprimer ses inquiétudes à Marilyn.
Au cours de la dernière année de sa vie il y eut des signes que sa confiance dans le couple Strasberg faiblissait et qu’elle ne voulait plus qu’ils la contrôlent. Il fut dit qu’elle songeait à se dispenser de leurs services – ce qui a été vu comme un autre indicateur que Marilyn avait l’intention de changer son testament ».

– Loving Marilyn, Who Owns Marilyn’s Things?
Après sa mort, le testament de Marilyn fut contesté en raison de sa soumission à une influence indue de ses maîtres.
« Le 25 octobre 1962, le Los Angeles Times publia que le testament de Marilyn Monroe avait été contesté par son ancienne imprésario Inez Melson. Miss Melson, qui n’était pas couchée sur le testament prétendait que Marilyn était sous l’influence illégitime de Lee Strasberg ou du Dr Marianne Kris à l’époque où avait été rédigé le testament ».

– Ibid.

Une autre preuve du contrôle excessif des « médecins de l’esprit » sur la vie de Marilyn est le fait que c’est son psychiatre, Ralph Greenson, qui la retrouva morte. Pourquoi était-il chez elle si tard le soir ? Comme nous le verrons dans la prochaine partie, les circonstances de sa mort sont incroyablement suspectes.

Finalement, comme c’est le cas pour la plupart des esclaves Monarque, les maîtres de Marilyn avaient pris en charge tous les aspects de sa vie. Les contacts avec les membres de sa famille étaient totalement interdits.

« Bien que Marilyn Monroe posséda une famille, ses médecins, ses psychologues et ses coachs d’art dramatique l’ont isolée d’elle. (…) Des membres de la famille Hogan, qui vivaient dans la région de Los Angeles, avaient tenté de prendre contact avec elle après qu’elle soit devenue célèbre et leurs efforts de rapprochement furent contrecarrés ».

– Jennifer Jean Miller, “Was Phenergan Marilyn Monroe’s Silent Killer, and Was She a Victim of Psychological Abuse, Medical Malpractice and Wrongful Death?”
Déconnectée de sa famille et quasiment sans amis, Monroe fréquentait des thérapeutes presque tous les jours. Ces visites étaient-elles en réalité des séances de programmation ? Une chose est sûre, l’état de Monroe empirait au fur et à mesure qu’elles augmentaient en fréquence. Un récit particulièrement douloureux s’exprime dans « L’histoire du chirurgien », texte de la plume de Monroe elle-même.

L’Histoire du chirurgien (« The Surgeon Story »)

L’Histoire du chirurgien est un texte de Monroe, rédigé sous forme de poème, dans lequel elle décrit être « ouverte » par Lee Strasberg et Margaret Hohenberg, sa psychiatre. D’aucuns décrivent ce récit comme le souvenir d’un cauchemar rapporté par Marilyn, mais d’autres chercheurs soutiennent qu’il s’agit, en fait, de la description d’une séance de contrôle de l’esprit.

Strasberg — c’est le meilleur et le plus compétent des chirurgiens
pour m’ouvrir, ce à quoi je n’objecte pas puisque le Dr H.
m’y a préparée — elle m’a administré un anesthésiant
et c’est elle aussi qui a diagnostiqué mon cas et qui
est d’accord avec ce qui doit être pratiqué —
une opération — pour me ramener à la vie et
me guérir de cette terrible mal-adie
ou quoi que ce soit — (…)

Une fois que le Dr H. m’a administré un anesthésiant
pour tenter de me soulager médicalement, Strasberg m’ouvre —
et après tout dans la pièce devient BLANC, en fait je ne vois plus personne, juste des objets blancs –

— ils m’ouvrent — Strasberg et la nana Hohenberg
et il n’y a absolument rien là-dedans —
Strasberg est
profondément déçu mais encore plus —
étonné sur le plan intellectuel
qu’il ait pu commettre une telle erreur. Il
pensait trouver bien plus —
qu’il n’avait jamais espéré trouver…
et au lieu de ça, il n’y avait absolument rien —
dépourvue de
toute créature humaine vivante sensible —
la seule chose
qui est en est sorti était de la sciure de bois très fine — comme on en trouve à l’intérieur des poupées à l’effigie de Raggedy Ann¹ (poupée de chiffons) — et la sciure
se répand
sur le sol et la table
le Dr H est
déconcertée
parce qu’elle comprend soudain qu’elle est confrontée à
un nouveau cas de figure où la patiente… existe
à partir du vide extrême.
Strasberg voit ses rêves et espoirs de salle d’opération
tomber à l’eau.
Le Dr H. doit renoncer à
ses rêves et espoirs de traitement
psychiatrique durable — Arthur est déçu —
Abandonné.

1. Raggedy Ann est le personnage central de la série de livres pour enfants écrits et illustrés par l’américain Johnny Gruelle (1880–1938). Raggedy Ann est une poupée de chiffon (rag doll en anglais) ayant la forme d’une petite fille, aux cheveux faits de brins de laine rouge et souvent représentée, vêtue d’une robe bleue et d’un tablier. Gruelle imagina le personnage de Raggedy Ann pour sa propre fille avant d’en faire un personnage de fiction dans le livre Raggedy Ann Stories paru en 1918. Rapidement, une poupée aux traits de Raggedy Ann fut commercialisée.
[Merci à Eyael d’avoir traduit l’histoire du chirurgien]

Dans cet étrange et perturbant récit, Monroe décrit être droguée et « ouverte » par ses psychiatres. Elle écrit que l’opération ne la gênait pas, parce qu’elle y était « préparée ». Était-elle en état de dissociation ? Il y a aussi la mention qu’elle ne voit « que du blanc » ce qui pourrait faire allusion à une isolation sensorielle – méthode utilisée dans la programmation MK ULTRA.

Une fois « ouverte », les médecins n’ont trouvé en elle qu’une fine sciure, comme celle sortant d’une poupée de chiffons ». Ce sont des mots typiques d’une esclave MK qui a complètement perdu le contact avec sa réelle personnalité intérieure. Marilyn se perçoit comme une poupée « vide ».

Selon Jason Kennedy, un membre de la famille de Marilyn, l’histoire du chirurgien décrit des techniques de contrôle de l’esprit, comme l’isolation sensorielle et l’administration de drogues anesthésiantes entraînant une dissociation.
« Des publications en ligne ont fait référence à « l’histoire du chirurgien » comme à un rêve ou un cauchemar. Elle inspira même à la musicienne Annie Clark une chanson avec les paroles, « le meilleur des chirurgiens/viens m’ouvrir », parce qu’elle pensait que Marilyn écrivait des mots en hommage à Lee Strasberg pendant qu’elle étudiait avec lui.

Jason, par ailleurs, reliait ce récit à un moment très réel de la vie de Marilyn Monroe, et à un récit des expériences, après avoir été soumise aux techniques de contrôle de l’esprit et de narcose par Lee Strasberg et le Dr Margaret Hohenberg, subies dans des séances privées avec le duo en 1955 pour aider à libérer les blocages de son jeu de scène.

La méthodologie consistait à fouiller dans ses souvenirs d’enfance douloureux, lui disaient-ils, pour en faire une grande actrice.

Selon la recherche de Jason, le couple convainquit Marilyn que tout cela pouvait l’aider. Jason ajoutait qu’elle était désorientée dès le départ en rédigeant les détails de « L’histoire du chirurgien », corrigeant ses propres détails du récit, remplaçant « élève » ou « étudiante » par « patiente ».

« C’était une opération sur son esprit », disait Jason. « Elle n’était pas disséquée physiquement, mais mentalement ».

Il disait qu’on la démontait en morceaux et qu’on changeait son comportement.

« Cela n’avait rien à voir avec un jeu de scène », continuait Jason. « C’était une extorsion pure et simple par des techniques de contrôle de l’esprit. Aussi, les ‘drogues pour contrôle de l’esprit’ n’étaient qu’un aspect du processus de contrôle. L’isolation sensorielle, des drogues anesthésiantes dissociatrices et un entraînement psychique font tous partie du processus de contrôle de l’esprit ».

Lee Strasberg se qualifiait souvent de médécin, ajoutant dans son livre de 1965, « Strasberg à l’Actor’s Studio : séances enregistrées ».

– Ibid.
Que cette histoire soit réelle ou non, elle transmet néanmoins les réflexions d’une esclave du contrôle de l’esprit qui est impuissante face à ses maîtres et à leurs tentatives médicales de programmation et de modification. Malheureusement, d’autres événements traumatisants causés par ses maîtres furent bien tous réels.

Voir l’article La « Chirurgie Magique » et la formation du monde intérieur

Traumatisée par ses maîtres
En 1961, le Dr Kris convainquit Marilyn de faire un bilan à l’institut psychiatrique Payne Whitney. Les événements qui suivent sont choquants sachant que Marilyn était une star de cinéma mondialement célèbre – mais pas surprenant sachant qu’elle était une esclave sous contrôle de l’esprit. Voici ce qui se passa à l’institut psychiatrique :

« Kris avait conduit Marilyn dans le grand hôpital en briques blanches de New York – le centre médical Weill Cornell, qui faisait face à l’East River sur la 68ème rue. Enveloppée d’un manteau de fourrure et donnant comme nom celui de Faye Miller, elle signa les papiers d’admission mais elle réalisa rapidement qu’on ne l’escortait pas vers une salle de repos mais vers une chambre capitonnée d’une unité psychiatrique avec des barreaux. Plus elle sanglotait et suppliait qu’on la laisse sortir, en cognant sur les portes d’acier, plus l’équipe de psychiatres pensait qu’elle était vraiment psychotique. On la menaça de la camisole de force et on lui enleva ses vêtements et son sac à main. Elle subit un bain forcé et fut affublée d’une chemise d’hôpital.

Les 1er et 2 mars 1961, Marilyn écrivit une extraordinaire lettre de 6 pages au Dr Greenson décrivant de manière saisissante son supplice : « Il n’existait aucune empathie à Payne Whitney – c’était d’un très mauvais effet – m’informèrent-ils après m’avoir mise dans une « cellule » (je veux dire un bloc de ciment) pour patients déprimés très perturbés (sauf que j’avais l’impression d’être dans une sorte de prison pour un crime que je n’avais pas commis. J’ai tout trouvé d’une inhumanité archaïque…tout était verrouillé et fermé à clé…les portes étaient vitrées et les patients étaient donc visibles en permanence, la violence et les marques laissées par les précédents patients étaient toujours visibles sur les murs.) »
(…)

Un psychiatre entra et lui fit un examen physique, « comportant l’examen de la poitrine à la recherche de grosseurs ». Elle s’opposa, lui disant qu’elle avait eu un examen complet il y avait moins d’un mois, mais cela ne le découragea pas.

Quand elle refusa de coopérer avec l’équipe, « deux hommes et deux femmes baraqués la soulevèrent chacun par un bras et une jambe et l’emmenèrent en ascenseur au septième étage de l’hôpital. (« Je dois dire qu’ils ont eu au moins la décence de me porter le visage face au sol…je n’ai fait que pleurer tout le temps du trajet, » écrivait-elle.)

On lui ordonna de prendre un autre bain – le deuxième depuis son arrivée – et l’administrateur en chef entra ensuite pour lui poser des questions. « Il m’a dit que j’étais une fille très très malade et que j’étais une fille très très malade depuis des années ».

Le Dr Kris, qui avait promis de la voir le jour suivant son enfermement, ne vint pas et ni Lee Strasberg ni sa femme Paula, à qui elle réussit à envoyer une lettre, ne purent la faire sortir, car ils n’étaient pas de la famille ».

Marilyn and Her Monsters, Vanity Fair

Un autre aspect moins connu de la vie de Monroe, ce sont ses deux grossesses ratées. Alors que la plupart des biographies déclarent qu’elle avait fait des fausse-couches, certains récits font en réalité allusion à des fausse-couches provoquées. Provoquer des fausse-couches est une pratique courante dans le MK ULTRA et, si on lit la propre version de Marilyn, il semble que ses maîtres lui ont pris son bébé. Dans le livre de Pepitone, Marilyn aurait dit au sujet de sa grossesse :

« Ne prenez pas mon bébé. Ils me l’ont pris…et je ne le reverrai jamais ».

Le livre énonce en substance que Marilyn n’avait pas fait de fausse-couche. « Ils » lui ont pris son bébé.

« Après que Marilyn ait mis au monde un bébé en bonne santé, il lui fut enlevé et elle n’eut jamais l’autorisation de le voir. Il fut très probablement sacrifié. Marilyn était trop effrayée pour demander ce qu’ils allaient en faire. »

– Springmeier, Op. Cit.

Selon ses biographies, Marilyn perdit deux bébés à la polyclinique, endroit où, selon Springmeier, elle avait été programmée.

« L’opération se passa à la polyclinique où Marilyn avait perdu un bébé l’année précédente… Marilyn disait : « Retourner à cet hôpital est un cauchemar…De la souffrance ? Quelle souffrance ? ». La seule souffrance pour elle fut de ne pas avoir son enfant »

– Pepitone, Op. Cit.

« Il faut noter qu’elle retourne toujours à la polyclinique. Les victimes Monarque devaient endurer une somme énorme d’horribles tortures. Elles apprenaient à survivre en se dissociant. Quand Marilyn dit « Quelle souffrance ? » sa réponse reflète exactement sa souffrance. Elle ne pouvait pas souffrir parce qu’elle s’était dissociée. Certains alters sont créés pour accepter la souffrance et les autres alters n’ont pas à la vivre ».

– Springmeier, Op. Cit.

En Conclusion

Dans la première partie de ces articles, nous avons regardé la vie cachée de Marilyn Monroe – qui révèle le côté sombre d’Hollywood. Marilyn n’a pas été seulement totalement manipulée par ses maîtres, mais a été maltraitée et traumatisée pour la garder sous contrôle et renforcer sa programmation. Les faits effrayants mentionnés ci-dessus proviennent de différentes sources, mais mis bout à bout, ils donnent une image triste, pourtant claire comme de l’eau de roche de la vie d’une esclave MK d’Hollywood. Trauma, maltraitance, isolement, contrôle de l’esprit et surveillance constante firent partie de la vie quotidienne de Monroe.

Les victimes paient un lourd tribut pour ce genre de maltraitance et au bout d’un certain temps s’ensuit presque inévitablement un effondrement. À ce moment-là, les esclaves MK sont habituellement « éjectées du train de la liberté ». Cela fut-il ce qui arriva finalement à Marilyn ?

Ceci conclut la première partie de la série sur Marilyn Monroe. Restez branchés pour la deuxième partie qui décrira sa vie en tant que mannequin présidentiel de JFK et les étranges circonstances de sa mort. Nous examinerons aussi comment elle est devenue le symbole de la Programmation Beta de l’actuelle industrie du monde du spectacle et la manière dont son histoire se répète encore et toujours.

Traduction: http://bistrobarblog.blogspot.fr/2013/05/marilyn-monroe-esclave-sexuelle-sous.html

Source: http://vigilantcitizen.com/vigilantreport/the-hidden-life-of-marilyn-monroe-the-original-hollywood-mind-control-slave-part-i/

 

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