Le cinéma est le miroir de la civilisation occidentale. À ce titre, Stoker, un des derniers films de la très illuminée N. Kidman, est très instructif et révélateur de la décadence morale et psychique de l’élite artistique occidentale ! Le caractère gratuit de la violence est troublant. Le meurtre y est commis avec une froideur et une simplicité déconcertantes, sans aucun intérêt quant au déroulement de l’histoire ! Tuer pour tuer ! À ce rythme, le cinéma a certainement tué 10 fois la population yankee depuis que cette industrie de la mort a existé.

C’est l’histoire d’un oncle fou qui vient de sortir d’un asile pour timbrés. Il a tué (enterré vivant) son frère très jeune. Ce grand malade est très attaché à sa nièce, on apprendra qu’il est amoureux d’elle puisqu’il va essayer d’avoir un rapport sexuel avec elle. Il tuera son grand frère pour pouvoir le faire. Il va coucher aussi avec sa belle-sœur (N. Kidman), très vite tombée sous son charme après le décès de son époux (le jour des funérailles) ! Elle va essayer de le séduire avec un peu de vin en accompagnement. La servante sera assassinée ainsi que la grande tante paternelle mais également un jeune garçon qui flirtait avec sa nièce. Un vrai massacre sans queue ni tête, tout à fait gratuit et absurde. Le film se termine par le meurtre de l’oncle fou, réalisé par la nièce qui va tuer un flic à la toute dernière minute du film (qui commence d’ailleurs avec cette scène) !

Quel est le cerveau malade qui a imaginé une histoire aussi stupide et cruelle ? Toute autorité respectueuse de la santé publique se doit d’interdire ce genre de cochonneries sanglantes ! Mais non, ce sera des récompenses qu’ils délivreront aux acteurs de ces saletés satanistes ! Et il est pour qui le césar, elle est pour qui la palme ? Pour le pédophile et la junkie ! Ainsi va le monde moderne… Applaudissons !