Cela fait maintenant 1 an que nous n’avons aucune nouvelle de Christian Maillaud alias Stan Maillaud, même si divers témoignages tentent de nous rassurer. Voici mon récit concernant ce que certains appellent « l’affaire Stan Maillaud ».
J’avais contact avec une jeune fille qui habitait la région de la Franche-Comté depuis plusieurs mois, au fil du temps elle se livra sur ce qu’elle subissait : viols, viols en réunion et d’autres horreurs que je préfère ne pas citer. Plus le temps passait et plus la nécessité d’enquêter pour venir en aide à cette jeune fille s’imposait, les forces de l’ordre restaient muettes et aucun activiste (qui joue pourtant au grand résistant sur internet) ne souhaitait me prêter main forte.
Au cours de l’été 2012 je rencontrais Stan Maillaud et Janett Seamann dans une ville du sud de la France, après un café et une journée entière passée ensemble, nous étions d’accord pour travailler côte à côte. Je suis obligé de dire que seul Stan et Janett furent d’accord pour m’aider sur ce dossier bien compliqué qu’est celui d’Amancey. Après deux mois sans nous voir, Stan, Janett et un autre membre de l’équipe (que je ne nomme pas mais qui a toute mon amitié, cet homme est certainement le plus humble dans toute cette histoire) et moi nous retrouvons aux alentours du 20 septembre afin de décider comment opérer pour le réseau pédocriminel de Franche-Comté.
Nous ne pouvons pas parler d’un réseau pédophile satanique comme aiment le répéter certaines personnes mal informées sur le dossier, même si il n’y a pas plus satanique que de violer des enfants. Le réseau dans lequel était enfermée la petite ressemblait plus à une secte, consanguine et aux liens très étroits avec une ville du nom de Valdahon, ville concernée par des disparitions d’enfants depuis les années 1960. Peu avant notre second passage dans la ville d’Amancey, une personne m’avouera que les tentatives d’enlèvements n’avaient pas cessé et qu’une d’entre elles eut lieu peu avant notre arrivée.
C’est donc le 22 septembre 2012, jour de la rencontre avec la victime du Doubs, que Stan disparaît. Nous avions pris toutes les précautions pour rencontrer la petite, car avant de nous rendre dans la ville d’Amancey nous étions suivis par deux fourgons blancs. Suivis ou le fruit de notre paranoïa, nous ne le saurons jamais mais les étranges événements qui se déroulèrent d’abord en septembre, puis en octobre, tendent à prouver que nous étions tombés dans un traquenard. Janett et moi devions rencontrer la victime du Doubs pendant que Stan et notre ami devaient rester à l’écart. Pour ceux qui se demandent pourquoi nous étions séparés en deux groupe, la raison est simple : la victime n’a absolument pas confiance aux gens qu’elle ne connait pas. Il fut déjà bien difficile pour moi de la rencontrer, vu sa méfiance à l’égard des hommes, voire des adultes en général. Stan et Janett n’étant pas ceux qui avaient initié cette enquête et n’étant pas ceux qui avaient contact avec la victime, il fut logique que ce soit moi qui aille au rendez-vous avec le soutien de Janett, une présence féminine pouvant rassurer la victime.
C’est dans un état pitoyable que je rencontrais la jeune fille d’Amancey, elle était à la rue avec son copain, harcelée par les gens de sa famille et de ce que nous appelons le réseau. Pendant que nous parlions, des voitures de gendarmes passaient rapidement, nous pensions que cela avait un rapport avec une alarme qui se dégageait quelques kilomètres plus loin. Pour confirmer la version des gendarmes (c’est d’ailleurs le seul point sur lequel nous sommes d’accord), la victime m’expliqua que les villes alentours étaient bien confrontées à une vague de cambriolage depuis quelques jours. Ce n’est qu’à la fin de notre entretien, sans nouvelle de Stan, que Janett commença à s’inquiéter. Nous n’avions aucun appel sur nos téléphones, ni de Stan, ni de notre ami en commun. Après quelques tours de voitures Janett décida de trouver la gendarmerie la plus proche qui était celle… d’Amancey ! Le fourgon de notre ami se trouvait sur le parking, deux solutions s’offraient à nous : soit ils étaient tous deux en garde à vue, soit Stan s’était enfui.
Le 22 septembre 2012 Stan « disparaît » mais les gendarmes sont formels « nous n’avons pas attraper monsieur Maillaud, d’une, parce qu’il court beaucoup trop vite et de deux, parce que le système déployé avec les chiens de la brigade canine n’a rien donné« . Le plan épervier n’avait donc pas fonctionné, ce plan consiste à entourer une zone géographique, à la cadriller et la contrôler afin d’empêcher la fuite d’un suspect. L’hélicoptère initialement prévu pour retrouver Stan fut annulé faute de brouillard et les chiens ne trouvèrent aucune piste. Petit à petit, tous les pseudos activistes se taisaient les uns après les autres, sans ne jamais apporter le moindre soutien.
Pour conclure, Valdahon est une ville secouée par un réseau de trafic de jeunes filles et des disparitions d’enfants depuis les années 1960. La ville abrite une base militaire ainsi qu’un médecin aux méthodes douteuses. Connaissant cette ville depuis 2009 et les problèmes qui y sont liés, je peux assurer que le réseau dont nous parlions existe bel et bien. Si certains tentent de vous faire croire le contraire, c’est peut-être qu’ils ont des intérêts à protéger. L’affaire de Fabienne Amyot en rajoute une couche. Bizarrement, c’est après notre escapade en Franche-Comté qu’un réseau de trafic de jeunes filles est « démantelé » et que le lieutenant-colonel Julien Burlet est muté sur la région parisienne.
Djé le Peuple
Source: http://souverainete-du-peuple.e-monsite.com/blog/stan-maillaud-une-annee-sans-aucune-nouvelle.html