Une lectrice nous informe :

« Personne n’ose témoigner par peur des représailles. Les parents sont traumatisés par ce qui s’est produit aujourd’hui. Voici les faits. En janvier, suite à une première JRE, la directrice de l’établissement Anne de Kiev, à Senlis, a menacé les parents d’informer la police si de tels actes « extrémistes », encouragés par des « intégristes » (en citant Farida Belghoul), se reproduisaient.

Aujourd’hui certain parents ont osé retirer à nouveau leurs enfants de l’école. Ceux présents, ainsi que des institutrices ont assisté à une descente de gendarmes appelés par la directrice elle-même pour leur communiquer les noms des enfants. »

Une information confirmée par le fondateur d’Economie matin :

#gender : à Senlis, les gendarmes sont passés sur ordre pour relever les noms des enfants absents de l’école…. #dictature

— Jean-Baptiste Giraud (@mediatrainingfr) 10 Février 2014

Le totalitarisme, c’est maintenant.

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