Nouvelles de France Harvard : une messe noire provoque la polémique

Cambridge (Massachusetts). Le Harvard Extension Cultural Studies Club a finalement renoncé à son projet de messe noire « à visée éducative » (sic), « une exploration d’autre cultures » selon ses dirigeants. Cette cérémonie satanique qui détourne la messe devait se tenir lundi et était organisée avec l’organisation new yorkaise Satanic Temple qui avait indiqué, ultime provocation, qu’elle utiliserait des hosties consacrées, c’est-à-dire, pour les catholiques, le Corps du Christ. La polémique, les pétitions et les refus successifs des propriétaires d’un nightclub puis d’un restaurant moyen-oriental auront eu raison de l’événement. Le Satanic Temple a toutefois précisé que la « messe noire » se tiendrait dans un lieu privé.

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L’archidiocèse de Boston avait dénoncé « une attaque contre l’Eucharistie » et « un événement offensant à l’égard des catholiques et des personnes de bonne volonté ». Dans un communiqué, il mettait en garde les autorités civiles sur la dangerosité d’une telle cérémonie : « l’activité satanique sépare les gens de Dieu et de la communauté humaine, elle est contraire à la charité et à la bonté, et rapproche dangereusement ceux qui s’y adonnent des œuvres destructrices du mal. »

Drew Faust, la présidente de l’Université, avait dénoncé sur le site officiel de l’université d’Harvard « l’irrespect flagrant » des organisateurs de cette messe noire et a indiqué qu’elle assisterait à une heure sainte eucharistique ainsi qu’à la bénédiction du campus lundi soir.

Pour exister médiatiquement, le Satanic Temple multiplie les provocation : récemment, l’organisation s’est mise en tête d’ériger une statue de Baphomet en compagnie d’enfants au pied du Capitole de l’Oklahoma, un des États les plus chrétiens de l’Union…

Les cérémonies sataniques sont aussi le lieu de viols et de sacrifices d’enfants par des criminels pédophiles souvent membres de l’oligarchie. La télévision française a abordé une fois ce scandale dont personne n’ose parler et que beaucoup n’osent pas croire, en 1999 :

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