Si je suis arrivé sur la pédocriminalité au travers de l’enquête pour Jean- Eudes c’est qu’on est dans le même cadre d’horreurs commises par les élites poltiques et autres, et que c’est la même processus qui est employé pour étouffer ces affaires.
Je viens de découvrir par une amie ce livre écrit par ce journaliste d’investigation Eric Raynaud.
Le titre c’est « Les Réseaux cachés des pervers sexuels »
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89ric_Raynaud
Éric Raynaud est un journaliste d’investigation français.
Après avoir travaillé une vingtaine d’années dans la presse quotidienne, il a choisi de devenir indépendant.
Il a reçu le Prix de la Justice Citoyenne et l’appui de Jean-Marie Rouart de l’Académie française pour son livre Les Réseaux cachés des pervers sexuels : enquête sur les disparues de l’Yonne.
En 2009, Éric Raynaud a publié 11-Septembre, les vérités cachées qui réfute les faits couramment admis concernant les attentats du 11 septembre 2001, et défend ainsi les théories du complot.
Encore un fouineur qui dérange ……… est-il seulement encore en vie ?
Quand il y a réseau caché de pervers sexuels on peut penser que les tarés qui en font partie et arrivent à faire taire la Justice (réseaux franc-maçons ou pas, on s’en fout) ce sont les mêmes qui peuvent organiser du trafic d’organes.
Les noms cités peuvent se recouper avec l’affaire qui m’intéresse. Outre les noms j’y vois aussi des méthodes qu’on retrouve dans l’enquête sabotée sur la mort de Jean-Eudes ( des gendarmes affirment faussement qu’une autopsie de son père a été faite, le colonel Coïdan argumente pour le suicide de Jambert affirmant un endettement alors que les enfants reçoivent un héritage confortable, affirmant ne pas se souvenir d’une disparition du carnet sous scellé …… etc ).
Un internaute en a fait un index.
INDEX ( ATTENTION ! les personnes citées ne sont pas forcément coupables de délit. Ceci est un index des personnes citées dans le livre. Ces personnes sont parfois des victimes des réseaux pédocriminels )
Adjudant M…: 13, 71
Michel Valet, procureur de la République: 24, 38
Jean Charbonnier, pédophile voisin d’un frère d’un ancien ministre d’État: 28, 95, 189, 232
Proximité géographique de Charbonnier et de l’ancien ministre d’État: 96
Dr Gabrielle Ségur-Semenoff, pédopsychiatre: 34
Patrick Dils: 38
Abbé Rogier: 39, 85
Père Nicolas Glencross, curé pédophile photographe de Saint-Léger-des-Vignes: 40-42, 46-47, 49-50, 53, 72, 76, 109, 157, 189, 226-229
Pasteur Joseph Doucé: 40, 45-46 (assassiné), 51, 53, 76, 80, 109, 226, 229
Bernard Violet, journaliste: 41-42, 44-47, 52, 53, 79
Robert Billoué, maire de Saint-Léger-des-Vignes: 43
Maîtresse-femme, bien connue pour ses talents d’organisatrice dans les années 70 [Mme Claude?], proposant des soirées VIP dans un château à quelques dizaines de kilomètres de Saint-Léger-des-Vignes; « une vierge: 500 francs »: 228
Catherine Scholastique, juge d’instruction à Paris: 43-45 (mutée), 51, 160, 228
Juge N’Guyen, remplaçant de Catherine Scholastique: 45
Bernard Alapetite: 43, 52
Réseau Toro-Bravo: 45, 75
Charles Pasqua, ancien ministre de l’Intérieur et co-fondateur du SAC (Service d’action civique): 51, 135
Roger Frey, ancien ministre de l’Intérieur et co-fondateur du SAC (Service d’action civique): 135
Me Lemarchand, avocat, membre du SAC, député de l’Yonne: 135
Affaire Ben Barka: 135
SAC (Service d’action civique): 157
Patrick Rougelet, RG, la machine à scandales: 135
Patrice Chairoff, B… comme barbouzes: 135
Renseignements généraux (RG): 46, 57, 76, 80, 98, 154
Groupe des enquêtes réservées (GER): 46
Capitaine Paul Barril: 47 [L’auteur a-t-il rappelé ce numéro de téléphone pour vérifier que c’était Barril?], 76, 220
Gilles Ménage: 47
Christian Prouteau, commandant du GIGN (Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale): 76, 220-222 (enquêtant sur un cambriolage et rencontrant Jambert), 229
DST (Direction de sécurité du territoire): 205, 219-222, 225
Pierre-Yves Gilleron, de la DST puis du GIGN: 222
Rémy Pautrat, secrétaire général de la préfecture de l’Yonne (janvier 1979, mai 1981), chef de cabinet au ministère des Relations extérieures (après mai 1981), patron de la DST (en 1985): 223
Front National: 47, 51, 129
Me Jean-François Roy, avocat de Glencross: 47
Me Jean-Pierre Mignard, avocat de Glencross, et de plusieurs politiciens: 48-49, 51
Hubert Védrine, conseiller municipal de Saint-Léger-des-Vignes, porte-parole de l’Élysée, et futur ministre des Affaires étrangères: 49, 51, 228
Jean Védrine, père d’Hubert Védrine, et ami de Nicolas Glencross et de François Mitterrand: 49
François Mitterrand, chef de l’Etat: 52, 53, 55, 87, 169, 221, 223-226, 229
Christian Jambert, gendarme mort suicidé de deux balles dans la tête: 50, 113, 134, 147-148, 152, 163, 164, 174, 178, 183, 192 (tué par une carabine plutôt que par une arme de poing, à la base du nez pluôt que dans la bouche), 193 (position du corps allongée bien droite aberrante), 194 (balle manquante dans le garage de Jambert), 196 (trois douilles retrouvées au lieu de deux), 203 (défaillance de son véhicule, expertisée comme « acte de malveillance »), 203 (agressé chez lui), 203-204 (visité par un faux VRP à la fausse plaque d’immatriculation de sa voiture, garée loin de la maison), 207 (dont la sacoche d’archives, qu’il avait récupérée de sa cachette chez son fils, disparaît), 208 (précautions de Jambert: photocopies, collègue témoin), 210 (plein de projets deux jours avant sa mort et affirmant sa volonté de ne pas se suicider), 212 (emploi du temps avant sa mort), 213 (stylo du mot retrouvé jamais retrouvé, aucune analyse graphologique; substitution selon sa fille, avec ajout du mot « suicide »), 214 (assurance-vie versée, malgré le suicide officiel), 215 (les balles retrouvées ne sont pas celles de la carabine de Jambert), 216 (efficacité exceptionnelle de Jambert), 217-226 (travaillant à la DST)
Philippe Jambert, fils de Christian: 200 (étonné que le cadavre de son père soit dans le garage), 209 (un gendarme de l’Inspection technique de la gendarmerie nationale affirme que Philippe a interdit qu’on touche à sa sacoche)
Isabelle Jambert, fille de Christian: 209 (à qui des gendarmes affirment faussement qu’une autopsie de son père a été faite), 213
Dominique Lecomte, patronne de l’Institut médico-légal de Paris, découvrant que Jambert ne s’est pas suicidé, ayant reçu deux balles « immédiatement létales »: 187
Contre-expertise d’autopsie de Jambert à Lyon, avec une balle qui ricoche, selon Le Parisien: 214-215
Pierre Arpaillange, ministre de la Justice démissionné: 52, 108, 109, 146-150
Henri Nallet, député de l’Yonne, remplaçant de Pierre Arpaillange comme ministre de la Justice le 2 octobre 1990: 52
Pierre Joxe: 52
Claude Dunand, chauffeur-livreur, condamné à perpétuité pour viols, tortures, séquestrations: 52, 69, 106, 108, 109-110 (condamné le jeudi 31 octobre 1991, veille d’un long week-end férié de la Toussaint), 111-118 (plainte d’une séquestrée échappée le 20 janvier 1984, et visite des policiers pour libérer l’autre séquestrée seulement le 23 janvier), 125-131, 137-140, 142-147, 149, 152, 170, 241, 243
René Meyer, procureur de la République d’Auxerre: 116 (informé le 20 janvier 1984 par le médecin examinant la séquestrée évadée, sur les lieux seulement le 23 janvier); 144, 147, 149 (clément avec Louis), 151
Jacques Bourguignon, juge d’instruction: 108 (zélé pour libérer Claude Dunand pour un vice de forme que même son avocat ne voit pas); 144, 147-149 (clément avec Émile Louis), 150, 151, 166, 266 (affirmant ne pas se souvenir d’une disparition du carnet sous scellé)
Daniel Stilnovic, substitut du procureur d’Auxerre, écrivant à Bourguignon pour l’accusation de Louis, est muté à Paris: 149-150, 151 (radié puis réintégré alors qu’il est peut-être le seul à avoir fait son travail sur Louis en 1984), 165-166 [cité par erreur?]
Bertrand Daillie, substitut du procureur d’Auxerre dans les années 1990: 151
Jacques Cazals, procureur d’Auxerre dans les années 1990: 136, 151, 189-191 (refusant en février 1997 d’instruire une plainte des familles de victimes), 194 (concluant au suicide de Jambert), 205 (n’allant pas sur les lieux où Jambert a été retrouvémort), 206
Premiers policiers allant chez Dunand bloqués par un magistrat: 117
Intervention le 23 janvier 1984 du SRPJ de Versailles, étrangement choisi par le procureur: 117, 123
Commissaire Michel Vialatte, qui ouvre l’enquête sur Claude Dunand, meurt d’une crise cardiaque à Paris: 123
Carnets de Claude Dunand avec une cinquantaine de noms de clients, saisis par la police, « inexploitables » selon des enquêteurs, puis disparaissant du tribunal d’Auxerre pendant l’instruction: 118, 157-158, 264-265
Croix gammée nazie faite au tournevis brûlant sur le sein d’Huguette; séquestrée de Dunand: 119, 174
Séquestrée de Claude Dunand venant de la Ddass: 119
« Helmut l’Allemand » aidant à séquestrer Huguette: 120
Prostituée, séquestrée par Dunand, libérée sur ordre d’un client qui la connait, refuse de porter plainte pour les viols et tortures subis, absente le jour de son témoignage au procès pour avoir été renversée la veille par une voiture, puis retrouvée morte emposionnée chez elle, ses papiers, sa correspondance et ses photos ayant disparu: 121, 153, 160
Paul Lefort, PD-G retraité client de Dunand, qui affirme que Dunand lui a dit s’être débarrassé d’une fille, meurt d’une crise cardiaque une dizaine de semaines après son inculpation fin janvier 1984: 121-122, 124, 152
Georges Ethievant, PD-G retraité client de Dunand, meurt d’une crise cardiaque quelques semaines avant le procès de Dunand: 122
Christian Grima, directeur d’un supermarché d’Auxerre, client de Dunand, condamné à six mois de prison ferme pour viols et tortures, « tue » son épouse et « se suicide » lorsque Dunand sort de prison en 2001: 122-123, 138
Joseph Q., ingénieur au Centre de formation de la Marine nationale, soupçonné d’être client de Dunand et disculpé par des attestations de ses proches: 122
Monique Dunand, épouse de Claude Dunand, condamnée à cinq ans de prison, en sort en 1996, et meurt en 1997 d’une chute d’escalier: 123, 141
Mort du médecin attitré de Dunand: 123
Huguette soignée de ses blessures infectées par un médecin: 123
Avocat général du procès de Dunand jugeant ridicule de penser qu’on ait pu vouloir couvrir quoi que ce soit: 118
Me Jean-Yves Liénard, ténor du barreau parisien, avocat de Dunand: 107, 108, 119-120, 160
Homme politique nationalement connu, client de Dunand: 108, 110, 128-130, 139 (proposant de fournir à Dunand des faux-papiers pour s’enfuir à l’étranger), 155, 158
Homme ayant un poste à haute responsabilité au ministère des Finances à Bercy, client de Dunand: 129, 139, 155, 158
Deux patrons nationaux de concessions automobiles, clients de Dunand: 129, 139, 155, 158, 160
Michel X, de l’hôpital psychiatrique d’Auxerre, client de Dunand: 139, 155
Directeur de pupilles de la nation: 139, 160
Clients de Dunand interrogés par la police, affirmant ne pas le connaître: 139
Guy Roux: 111
Georges F., écrivant pour solliciter la libération de Dunand: 108, 109, 111-112, 124, 127, 129, 146, 156-157, 175, 177, 179, 223
Elsa Vigoureux, journaliste au Nouvel Observateur: 114 (gagnant un procès intenté contre elle par François F.), 124-125, 127-128, 130, 137
Corinne Hermann, Philippe Jeanne, Les Disparues de l’Yonne: 131-132, 153, 178, 231
Hubert Besson, journaliste de L’Yonne Républicaine, auteur de Disparues de l’Yonne, la contre-enquête: 136-141 (taisant l’enquête d’Elsa Vigoureux), 155, 184
L’Yonne Républicaine: 141 (critiquée par la presse nationale, Le Figaro, L’Humanité), 156 (publiant l’affaire Dunand une dizaine de jours après la presse nationale)
Journaliste pris en flagrant de délit de subordination d’un témoin sur écoute téléphonique dans une affaire de pédophilie concernant Georges Maingonnat, ex-maire et conseiller général de Chablis: 141
Dix-sept jeunes femmes de la Ddass disparues dans l’Yonne: 131, 153, 161, 170
Selon le rapport demandé par la ministre de la Justice Marylise Lebranchu à L’IGSJ (Inspection générale des services judiciaires), 1042 dossiers de non-lieu prononcés entre 1958 et 1982 au Tribunal de grande instance d’Auxerre ont disparu sur 1048: 132-134, 153, 158, 233, 264
Rapport de l’ITGN (Inspection technique de la gendarmerie nationale): 209 (le colonel Coïdan argumente pour le suicide de Jambert), 211 (affirmant un endettement alors que les enfants reçoivent un héritage confortable), 217
Émile Louis, chauffeur de car: 113-115 (disparitions dans le Var et les Alpes de Haute-Provence), 119, 125-127, 131, 134 (son arrestation en décembre 1981 correspondant aux derniers dossiers de non lieu disparus au tribunal), 136-137, 142-145, 150 (disant à Jambert qu’il ne pouvait rien contre lui, qu’il avait des relations), 152, 161, 164-166 (mis en garde le 28 juin 1984 par un courrier manuscrit anonyme à propos du rapport de Jambert), 169-170, 234, 243
Claude Dunand et Émile Louis, employés par la même firme de transport, fréquentant le même bar « Les Marronniers » à Saint-Georges-sur-Baulche, près d’un foyer d’accueil de jeunes de la Ddass: 144; 177 [Raynaud semble ignorer que Louis a dit avoir été marqué par ce qu’il a vu de l’épuration], 180 (affirmant ses bonnes relatons avec Jean-Pierre Soisson)
Me Thierry Lévy, ténor du barreau parisien, avocat d’Émile Louis en 1982-1984: 145
Marilyne V., fille d’Émile Louis, témoin enfant de l’éventrage d’une jeune autostoppeuse par son père, et agressée le 23 février 2001 par deux hommes pour avoir parlé aux gendarmes: 171-173, 176-177
Préfecture refusant illégalement de laisser consulter les statuts et comptes rendus d’assemblées générales de l’association Fraternité Notre-Dame de François F.: 115
Philippe Guilhaume: 52
Jacques Chirac: 53-55, [184]
Dominique Perben, ministre de la Justice: 184, 188
Georges Maingonnat, maire de Chablis (Yonne), condamné et emprisonné pour pédophilie 63, 141, 246
Réseau Voltaire, Thierry Meyssan: 72
Adolf Hitler, Ernst Röhm: 73
Michaël Kühnen (1955-1991): 73-75
Michel Caignet: 74-76
Christian Bouchet: 75
« J. » , journaliste agressé: 78-81, 84, 87
Me « X », avocat du barreau de Paris, informateur de J. Grand: 80-81
M. de G., membre de l’Ordre du Temple solaire (OTS), mort mystérieusement: 86
Scanner médical à Cosne-sur-Loire comme remerciement à l’extrême-droite pour l’élection du président de la région Bourgogne: 90-92
Jean-Pierre Soisson, président droite de la région Bourgogne, nommé ministre par Mitterrand: 92, 108, 128, 129, 136, 169, 180
Ambassadeur du Népal: 101
Jean-Louis Debré: 109
Réseaux: 153, 160, 170, 184, 226, 228, 244
Jacques Pradel, Perdu de vue: 163
Pierre Charrier, directeur de l’Apajh de l’Yonne depuis 1985,: 167-169 (condamné au tribunal correctionnel pour viol sur une pensionnaire handicapée)
Nicole Charrier, épouse de Pierre Charrier, six ans conseillère municipale d’Auxerre sur la liste de Jean-Pierre Soisson: 169
Jacques Cheminade: 168-169
René Brossart, proxénète expatrié au Brésil en 1998: 160, 169, 217
Deléglise, truand connu de Jambert et bien informé, assassiné: 217-218
Juge Renaud Van Ruymbeke: 169
Michel Roussel, ex-patron de la cellule toulousaine Homicide 31: 183, 194-196, 206-207, [224, 238-241], 244
Juge d’instruction Benoît Lewandowski: 189-191, 196, 204
Jean-Marie Rouart, de l’Académie française, défendant Omar Raddad: 235-241
Michel Fourniret, violeur et tueur en série, ayant enlevé Isabelle Laville, en 1987, près de Chablis: 245