Le Dr Antony Kidman, père de la célèbre actrice, est décédé vendredi dernier après avoir fui l’Australie alors qu’il était accusé d’abus sexuels et d’assassinats d’enfants dans un réseau pédocriminel élitiste de Sydney.
Il y a un mois, Fiona Barnett a déposé une plainte auprès de le police australienne et à la Child Abuse Royal Commission contre Kidman pour des agressions sexuelles et physiques qu’il lui aurait fait subir durant l’enfance. Lorsque la Commission a ouvert une enquête, Kidman (qui était psychologue clinicien) a soudainement quitté, après 43 ans d’activité, l’Université de Technologie de Sydney et l’Hôpital Royal North Shore pour se rendre à Singapour… où il décèdera peu de temps après.
La famille Kidman a refusé tout commentaire et la police de Singapour a ouvert une enquête sur ce qu’ils pensent être une mort non naturelle.
Fiona Barnett a donné sa propre théorie concernant la mort du père Kidman: « Le principal responsable de mon exploitation sexuelle durant mon enfance, Antony Kidman, est mort après qu’une plainte officielle l’accusant de viol, de torture et de meurtre ait été déposée. Ses crimes étaient commis dans le cadre d’un réseau élitiste pédocriminel de Sydney. En tant que victime de contrôle mental durant l’enfance, je pense qu’il a été sacrifié pour ne pas m’avoir programmé de manière suffisamment sûre. »
Elle poursuit: « Kidman était responsable et devait s’assurer que je ne révèlerais jamais toutes les activités du réseau dont j’ai été témoin durant toute mon enfance. Il a échoué. Le nouvelle de sa mort me touche, j’ai subi un lourd traitement (programmation). Je sais qu’il y a d’autres victimes de Kidman qui sont peut-être sur le chemin de la guérison comme je le suis. Je pense que la nouvelle de sa mort risque d’avoir un sérieux impact sur ces victimes. La mort d’un programmeur peut déclencher des idées suicidaires chez une victime. »
« Mes plaintes du mois dernier à la Commission Royale détaillent deux agressions où Kidman m’a fait subir d’horribles tortures physiques et sexuelles. » a déclaré Barnett. « Mais j’ai été témoin de crimes encore plus graves commis par Kidman contre des enfants dans ce réseau de Sydney. » Ces plaintes sont également déposée à l‘ICLCJ à Bruxelles.
Le jour de la mort de Antony Kidman, Fiona Barnett était en train de témoigner au White Balloon Day 2014, un événement visant à sensibiliser les enfants australiens au problème des abus sexuels. « Ma contribution au White Balloon Day est d’inciter les victimes d’actes criminels à lutter contre cette pourriture que le monstre dépose dans leur esprit, et si elles peuvent en trouver la force, de se joindre à moi dans mes efforts pour donner une voix aux victimes qui nous ont quitté. »
La Cour ICLCJ s’est penché sur les accusations de Fiona Barnett contre Antony Kidman dans le cadre de leur enquête sur le réseau élitiste et sataniste mondial (Ninth Circle Satanic Child Sacrifice Cult). Plus de soixante témoins oculaires tels que Barnett ont témoigné et confirmé l’existence de ce réseau mondial pédocriminel pratiquant les sacrifices d’enfants et autres activités criminelles, notamment en Amérique, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni et en Australie. Le réseau pratiquerait également des parties de chasse à l’homme très organisées incluant de la pédophilie. Ces chasses seraient pratiquées dans des forêts privées aux États-Unis, au Canada, en France et en Hollande. Il est apparu également que des enfants et des adolescents étaient fournis par la mafia européenne ‘Octopus’, qui serait liée au Vatican. Les enfants et adolescents kidnappés et fournis pour ces chasses étaient déshabillés, pourchassés, violés et tués.
Depuis l’âge de trois ans, Fiona Barnett était prise dans ce vaste réseau pédocriminel australien, où les enfants étaient victimes de ces chasses, traqués pour le ‘sport’ et assassinés. « Dans l’après-midi du 28 octobre 1975, j’ai été emmené pour mon sixième anniversaire dans la forêt de Kiama. J’ai été droguée, je me suis endormie. Lorsque je me suis réveillée, il faisait noir, j’étais couchée sur une table de pique-nique pieds et poings liés. Les bourreaux tournaient autour de moi… Un important groupe d’hommes est arrivé en camionnettes. ils étaient armés de fusils et accompagnés de plusieurs Doberman. On m’a dit que le groupe d’enfants qui était à proximité était sous ma responsabilité. Je devais courir et les cacher. Chaque enfant que je ne réussirais pas à cacher serait tué et donné aux chiens. ils ont peint quelque chose sur mon dos et ma poitrine, puis nous ont lâché… J’ai entrainé les enfants vers le colline escarpée la plus proche… Des coups de feu ont retentis et des enfants ont commencé à tomber autour de moi. Ayant perdu tout espoir de sauver les autres enfants, j’ai couru pour sauver ma vie. »
La thérapeute néerlandaise Toos Nijenhuis a témoigné à la Cour ICLCJ des mêmes faits que Barnett. Elle a été gravement maltraitée et contrainte d’assister à des meurtres d’enfants auxquels participent des élites mondiales, notamment sur la base militaire australienne de Holsworthy, là où Barnett dit aussi avoir assisté à des parties de chasse à l’homme. Nijnehuis cite également l’ancien pape Ratzinger, le Cardinal Alfrink et le Prince Bernhard, fondateur du groupe Bilderberg, comme participants à ces crimes. Nijenhuis a expliqué devant le Tribunal International sur les Crimes de l’Église et son secrétaire le révérend Kevin Annett, avoir été témoin de sacrifices d’enfants en 2010.
Vidéo témoignage de Toos Nijenhuis: Child Sacrifice and Trafficking in Holland
Ce réseau satanique sacrificateur d’enfants (Ninth Circle Satanic Child Sacrifice Cult) peux facilement cacher les crimes de ses membres. Le réseau a été formé aux techniques de contrôle mental par les experts scientifiques de l’Allemagne nazie. Le réseau pédocriminel dont faisait parti le grand-père nazi de Fiona Barnett inclut d’après elle des psychiatres comme Antony Kidman et John Gittinger. Gittinger est connu par les professionnels en psychiatrie pour avoir développé un système d’évaluation de la personnalité. Dans le journal Independent Australia News, Barnett a déclaré que lorsqu’elle était enfant « Gittinger l’a abusé et l’a violé. »
Dans un autre article de ce journal australien, il a été rapporté que ce dramatique témoignage de Fiona Barnett a mis les larmes aux yeux aux membres de la Commission Royale australienne sur les abus sexuels. Barnett y a nommé les bourreaux: Antony Kidman, deux anciens premiers ministres australiens, un gouverneur et un commissaire de police. Tout comme pour les réseaux pédocriminels Européens, Canadiens ou Américains, le réseau Australien comporte des officiers de police, des psychiatres, des biochimistes, des acteurs, des écrivains, des politiciens, des universitaires et des médecins…
« La Commission était en train d’enquêter sur ma plainte lorsque Kidman a quitté brusquement le pays. Maintenant, un mois après cette plainte contre lui… il est mort. Cette mort n’est pas une surprise. La semaine dernière, deux personnes avaient prédit sa disparition imminente. »
Cet article est dédié aux victimes du Vatican et de l’élite mondiale mafieuse et satanique (Ninth Circle Satanic Child Sacrifice Cult), et à la mémoire de plus de 50 800 enfants disparus, dont certains reposent dans des charniers, principalement catholiques, au Canada, en Irlande et en Espagne. Les bourreaux d’enfants continuent de vivre en toute impunité. Nos prières vont pour ces innocents, nous ne pouvons laisser cet holocauste d’enfants perpétué par nos leaders mondiaux continuer plus longtemps.
Judy Byington, 14 septembre 2014
À propos de l’auteur:
Judy Byington est l’auteur de Twenty Two Faces: Jenny Hill et ses 22 personnalités, thérapeute, conférencière, militante et journaliste d’investigation.