Les souffrances et le sentiment d’injustice de Jonathan Delay, violé avant ses six ans par ses parents et un couple de voisins à Outreau, ont résonné à Rennes au 2ème jour du procès d’un des acquittés d’Outreau.
Les souffrances et le sentiment d’injustice de Jonathan Delay, violé avant ses six ans par ses parents et un couple de voisins à Outreau, ont résonné à Rennes au 2ème jour du procès d’un des acquittés d’Outreau.