Un point qui n’est peut-être pas si anecdotique que ça, relevé par l’ex-franc maçon Leo Zagami :
Il y a seulement trois semaines, la Fondation Bill & Melinda Gates, Welcome Trust et Mastercard ont annoncé le lancement du soi-disant accélérateur thérapeutique COVID-19, un fonds de 125 millions de dollars destiné à lutter contre la pandémie. Vendredi dernier, le 3 avril, , la Fondation Gates a fait part du soutien de trois autres partenaires dans ce projet mondialiste : le gouvernement britannique, la Chan / Zuckerberg Initiative (Facebook,) et la chanteuse occultiste Madonna. Celle-ci a lancé une collecte de fonds pour le projet en portant un t-shirt avec Satan à la place de Jésus sur la croix.
https://youtu.be/fRg98KQ71js
Version sous titrée en Français :
Zagami rappelle que l’an dernier en mai 2019, lors du concours de l’Eurovision en Israël (Zagami explique que le lieu peut très bien avoir été choisi à dessein par les organisateurs qui truquent facilement cette compétition pour faire passer un message religieux), la chanteuse a singé (avec son X de Nemrod sur l’oeil) l’Antéchrist sur scène (lequel est censé se manifester à ma fin des temps à Jérusalem, selon la Bible) et qu’à un moment de ce show ses danseurs précédemment habillés en moines tombent au sol tout en portant des masques à gaz d’apparence militaire souvent utilisés pour la guerre biologique… Etrange coïncidence non ?
Peut-être un élément supplémentaire du dispositif symbolique autour de la maladie, après le serpent de Miley Cyrus et les éléments de programmation prédictive déjà évoqués sur ce blog.
Le 5 avril sur Fox News, Bill Gates a fait savoir qu’il n’y aurait pas de retour à la normale tant que son vaccin n’aura pas été diffusé dans le monde entier… Nous voilà avertis…
Et, si le très propagandiste Le Monde le 6 février faisait remarquer qu’on lui fait dire à tort qu’il fallait réduire de 15 % la population par la vaccination (c’est un propos de 2010 un peu biaisé), il y a bien cette lettre annuelle de la fondation Gates de 2016 qui expliquait que la quantité de CO2 dans l’atmosphère découlait de P x S x E x C avec P pour population multiplié par S pour les services utilisés par les gens, multiplié par E pour l’énergie nécessaire pour faire fonctionner ces services, multiplié par C pour le carbone utilisé par cette énergie. Une équation que répète Bill Gates dans ses conférences en laissant bien entendre que la variable « p » pose un vrai problème… Les Guidestones de Georgie depuis 1980 ne prônent-elles pas un plafonnement de la population humaine à 500 millions d’âmes ? Pour Gates dont les parents militaient dans le planning familial ces choses vont de soit.
Rappelons nous aussi qu’en 1996, au forum de Granada, Henry Lamb (1938-2012) Vice-président exécutif de The Environmental Conservation Organization, Inc vantait la notion de « zones protégées » sans êtres humains, qui figurait dans un document de travail des Nations-Unies intitulé « Global diversity assessment« . Ce texte, disait-il, met en valeur en p. 993 le Wildland project, inventé par un certain Dave Foreman, et dont un des objectifs est de transformer 50 % des terres américaines en terres sauvages, en isolant les gens sur 25 % du territoire, et en laissant 25 % de zones tampon. La carte qui concentre la population humaine dans des espèces de Bantoustans pour rendre à la nature ses droits fut citée dans une conférence de 2010 David de Rothschild fondateur de Adventure Ecology, qui avait été surpris à la sortie de son monologue par des militants audacieux (tout cela avait été repris par Infowars le 2 août 2010).
Vaccins, dépopulationnisme, satanisme. On retrouve toujours les mêmes thématiques troubles quand on se penche sur ces milieux-là.