Le 24 mai, Gladys Riffard, une maman qui a été condamnée pour ne pas avoir présenté sa fille au père suite à des accusations d’actes pédocriminels, a été jugée en appel à Chambéry. Un procès qui s’est déroulé comme d’habitude : la mère, attaquée par un assesseur durant toute l’audience, a été considérée comme la pire criminelle de l’après-midi.
Le procès de Gladys devait commencer à 16h, il n’a finalement commencé qu’après 18h pour se terminer à presque 21h30. les mamans passent toujours en dernier, tradition de la justice française dont on se demande si elle n’a pour objectif d’éviter que des témoins « innocents » soient encore présents dans la salle.
Ce qui est amusant, car ces mamans passent après des types au casier le plus souvent long comme le Danube, souvent détenus, comparaissant pour des violences familiales, des vols à main armée, des coups et blessures avec ITT…
La parole de l’enfant? Manipulation, forcément !
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