« C’est quelque chose qui s’est passé il y a quarante ans »
« Je pense que c’est la liberté absolue de l’académie des César. C’est un très grand réalisateur », a expliqué Aurélie Filippetti, qui s’est défendue d’être plus clémente avec les artistes. « C’est quelque chose qui s’est passé il y a quarante ans. (…) Il y a quand même un problème » dans le fait de reparler de cette affaire à chaque fois que Roman Polanski fait l’actualité, estime-t-elle.
Son second argument est étonnant : pourelle, « c’est uniquement une cérémonie des César. Il ne faut pas non plus donner plus d’importance que ça n’en a à une cérémonie télévisée et professionnelle sur le cinéma. » En tant que ministre de la Culture, elle s’y était rendu en 2013 et 2014.