« Hollywood est un endroit où on vous paye 50.000 dollars pour un baiser et 50 cents pour votre âme »– Marilyn Monroe –
Dans la deuxième partie de cette série en deux parties, nous regarderons la fin de la carrière de Marilyn Monroe (MM en abrégé) et les circonstances entourant sa mort – toutes deux typiques d’une victime du contrôle de l’esprit. Nous examinerons aussi son héritage (involontaire) dans le monde souterrain de l’obscur MK ULTRA et comment elle est devenue un symbole de la Programmation Monarque à Hollywood.
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La première partie de cette série d’articles a décrit la face cachée de l’enfance de MM et ses débuts dans l’industrie du spectacle. Alors que MM projetait l’image d’un sex-symbol glamour, la réalité de sa vie au jour le jour était tout à fait l’opposé : elle était sous contrôle, maltraitée, exploitée et même traumatisée par divers « maîtres », et vivait dans des conditions semblables à celles d’une prisonnière. Sa situation difficile la mena lentement vers un total effondrement mental et, quand elle perdit apparemment son utilité pour ses contrôleurs, elle mourut dans de très étranges circonstances.L’héritage de MM se perpétue, cependant, et de certaines façons elle est plus pertinente aujourd’hui que jamais dans l’industrie du spectacle…mais pour de mauvaises raisons. Il existe maintenant un grand nombre d’esclaves sous contrôle de l’esprit à Hollywood et ceux qui tirent les ficelles ont fait de MM le symbole ultime de la Programmation Beta. Il y a plusieurs MM à Hollywood en ce moment projetant toutes une image très sexy tout en subissant le même contrôle et les mêmes épreuves que Marilyn. Et toutes furent associées à MM à un moment ou un autre de leur carrière. Est-ce une coïncidence ? Si vous suivez ma série d’articles « Symbolic Pics of the month » (Images symboliques du mois » (LIEN), vous savez probablement que l’utilisation de l’image de MM se répète souvent chez un type spécifique de célébrité…bien trop souvent pour n’être qu’une simple coïncidence. Voyons la fin de la carrière de MM, les circonstances de sa mort et la manière dont son image est exploitée par l’industrie Illuminati d’aujourd’hui.
Mannequin présidentiel
Au sommet de sa carrière, MM se retrouva impliquée avec le personnage le plus puissant du monde : le président des US, John F. Kennedy. Pendant que certains historiens ont classé leur relation comme étant une simple « aventure », des chercheurs sur le contrôle de l’esprit Monarque prétendent qu’elle était en réalité mannequin présidentiel – esclave de Programmation Beta du niveau le plus élevé utilisée pour le « bon plaisir » des présidents.
Alfred Charles Kinsey (1894-1956), l’auteur du célèbre rapport qui porte son nom, est cité dans Wikipédia comme professeur d’entomologie et de zoologie !! Tout à fait qualifié pour parler de la sexualité humaine…On comprend en lisant l’article ce qui l’a incité à s’occuper de ce sujet.
« La promotion du satanisme dans l’édition pour enfants »
En 2003, les éditions ‘Tchou’ rééditent le livre La vilaine Lulu, signé par le styliste Yves Saint-Laurent. D’après l’éditeur, la vilaine Lulu est une « petite fille espiègle » portant un regard « drôle et curieux sur le monde »….. Le « style est naïf », presque « enfantin » et « L’ensemble est mordant et drôle »…
Répondant aux questions des députés communistes Robert Hue et Bernard Birsinger, la garde des Sceaux reconnaît l’existence de réseaux pédocriminels. 800 mineurs se sont volatilisés en France en 2000, dans l’indifférence générale. Et rien ne permet de penser que cette année-là aurait été exceptionnelle.
Ce chiffre de 800, qui plonge les associations dans la sidération (voir ci-contre), n’a rien d’une extrapolation de journaliste. C’est la garde des Sceaux, Marylise Lebranchu, qui l’a avancé, à l’Assemblée nationale, le 20 novembre dernier. Elle répondait aux députés communistes Robert Hue et de Bernard Birsinger qui lui avaient demandé » le nombre d’enfants en France métropolitaine et outre-mer dont on n’a plus de nouvelles « . La ministre de la Justice a déclaré : » Nous avons regardé les chiffres portant, non sur tous les enfants disparus, car c’était impossible, mais sur ceux qui ont fugué. Sur 34 500 mineurs ayant fugué en 2000, 33 700 ont été retrouvés. Cela signifie que 800 ne l’ont pas été. Certains ont sans doute été recueillis (sic) par des réseaux. «
La ministre confirme ce que nous avions déjà dénoncé : il n’existe aucun chiffre des disparitions de mineurs. Étrange constat pour un pays qui dispose d’importants moyens statistiques. On sait, à l’unité près, combien de saumons (375) ont remonté des eaux de la Loire en l’an 2000, mais on est incapable de savoir à une centaine près le nombre de mineurs qui disparaissent. La seule approche chiffrée est celle des fugues, c’est-à-dire de départs volontaires. Mais rien ne permet d’affirmer que les 800 mineurs volatilisés cette année-là sont des fugueurs. En fait, toutes les disparitions de mineurs sont, a priori, comptabilisées comme des escapades. Ce dogme permet de justifier l’absence d’enquêtes poussées dans la quasi-totalité des cas. Il est conseillé aux parents concernés, morts d’inquiétude, d’attendre le retour au bercail de leur enfant. C’est d’autant plus aberrant qu’en cas d’enlèvement les premières heures sont capitales si l’on veut retrouver vivante la victime.
Les Témoins de Jéhovah affirment qu’ils ont toujours et systématiquement encouragé les familles à porter en justice les affaires de pédophilie en leur sein. D’anciens adeptes dénoncent un double langage et décrivent cette organisation comme un « paradis pour pédophiles ». Que disent les faits ?
Revenons chez nos amis les anglais, sur une affaire de réseau pédophile qui, bien qu’elle ait défrayé les chroniques à l’époque, est en train de révéler aujourd’hui quelques vérités… C’est l’histoire d’une affaire étouffée, comme d’habitude pour protéger des « puissants », l’histoire du Dutroux local.
Mais jusqu’à quand durera le jeu de bowling des autorités françaises contre les victimes, avec pour quilles à abattre Sandrine Chastan et ses jumeaux de neuf ans ?
Ma tournée dans le Sud de la France prend tournure avec force, après les inquiétudes initiales sur la faible mobilisation, et elle prend une nouvelle dimension avec la venue aux quatre conférences-débats de Chérif Delay, l’un des 12 enfants reconnus comme victimes de viols à Outreau et indemnisés comme tels par l’Etat.
Voyager au sein de l’industrie de la country music n’était guère plus facile que de vivre dans la ferme du Tennessee de Houston. Cela manquait assurément de l’aspect glamour que les gens associent généralement aux industries de divertissement. Celles-ci s’étaient vues envahies par le trafic clandestin de drogue de la CIA. Les artistes étaient utilisés pour acheter, vendre et diffuser la cocaïne introduite dans le pays par le gouvernement américain, dans le but de financer les budgets opaques du Pentagone et de la CIA. Les autorités locales de Nashville étaient de mon point de vue totalement corrompues par ces activités criminelles clandestines. Dissimulations, meurtres, drogue et autre traite des blanches l’emportaient sur tout le reste. Les artistes ne connaissaient généralement le succès qu’à partir du moment où ils participaient à des opérations de la CIA et/ou étaient eux-mêmes des esclaves.