Soupçonné de comportements licencieux avec de jeunes hommes, Cyril L. est un militant communautariste, dont le festival “ Chéries-Chéris ” est subventionné par la mairie de Paris. Enquête.
Suite aux accusations de pédophilie concernant Pascal Cardonna alias Babybel, un proche de Jérémy Gisclon alias Jeremstar, Il n’aura pas fallu aller chercher bien loin pour trouver un lien avec un des plus gros poissons français en matière de pédo-pornographie : Bernard Alapetite ; un pédocriminel multirécidiviste condamné à de la prison ferme dans l’affaire Ado 71 (1997). En effet, Pascal Cardonna accusé aujourd’hui d’abus sexuels sur des mineurs voulant approcher leur idole Jeremstar est (ou a été) en couple avec un certain Cyril Legann alias Babar, qui a été associé en 2005 avec… Bernard Alapetite, alors libre comme l’air, pour la réalisation de deux films : « Comme un Frère » et « Vincent River ». Le monde est petit…
1)J’ai une question qui me vient à l’esprit: pourquoi un officier de police des RG en est arrivé à s’intéresser à la violence des sectes satanistes et à écrire un livre: « Qui veut encore tuer le Christ? »
Plusieurs affaires de pédophilie ont marqué les annales judiciaires française au cours des quinze dernières années. Le nom de Michel Caignet apparaît, à un titre ou un autre, dans toutes celles qui mettent en jeu des bandes organisées. Ce n’est pourtant qu’en 1996 qu’il a été appréhendé dans le cadre de » l’affaire Toro Bravo » et placé en détention provisoire à Fleury Mérogis.
Le rapporteur de l’ONU Juan Miguel Petit déclare :
« Il y a eu des plaintes et des dénonciations précises de mères qui se disent poursuivies par des groupes, pouvant être assimilés à des mafias ou à des loges, organisant la pornographie infantile. »
Et la France ? Alors que le monde découvrait avec horreur l’affaire Dutroux en Belgique, quatre opérations de police ont ciblé les pédophiles dans l’Hexagone. Premier coup de filet, en avril 1996. Nom de code : opération Toro Bravo. Quinze mois d’enquête à partir de la saisie d’une cassette chez un cadre parisien, pour débusquer un réseau impliquant soixante-douze personnes. À sa tête Caignet et Vuillaume.
Thierry Meyssan analyse une certaine conception nazie de l’homosexualité. La deuxième partie de cet article révèle les complicités qui ont permis, depuis des années, aux représentants en France de l’extrême droite pédophile d’échapper aux poursuites judiciaires.