Yves Saint Laurent, c’est la mode, le luxe, le génie. Mais derrière ce nom se cache un homme tourmenté avec qui Fabrice Thomas a partagé la vie intime. Il nous fait découvrir ici l’univers du couturier et ses coulisses.Entre 1990 et 1993, Fabrice Thomas a vécu avec Yves Saint Laurent comme compagnon et amant. Séparé dans la vie quotidienne de Pierre Bergé depuis 1976, Yves Saint Laurent sort de cure de désintoxication et souhaite refaire sa vie. En 1990, il a 54 ans, Fabrice Thomas 29.
Salarié de la société YSL depuis 1982 et amant de Pierre Bergé, Fabrice Thomas reçoit pour mission de Pierre Bergé de vivre avec le couturier pour le soutenir afin qu’il puisse continuer à créer.Ce témoignage est l’histoire d’un homme joueur et en même temps jouet de forces qui le dépassent et qu’il s’imagine contrôler alors que la plupart du temps elles le contrôlent.
Le récit couvre une période de douze ans et s’intéresse plus particulièrement à la vie commune avec Yves Saint Laurent, de 1990 à 1993, mais revient aussi par flash-back sur sa vie d’employé au service de Pierre Bergé, entre 1982 et 1989.
Un mot de l’auteur
Malgré une enfance difficile et profondément perturbante, Fabrice Thomas n’a jamais eu qu’un seul objectif, survivre malgré tout et croire en sa bonne étoile. Chauffeur de Pierre Bergé durant les années 1980, il deviendra ensuite le confident attitré et l’amant d’Yves Saint Laurent pendant près de trois ans. Puis, successivement, horloger, éditeur, restaurateur, antiquaire et commissaire d’expositions. Depuis 2010, il habite au Québec où il travaille à la restauration de maisons du xixe siècle.
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L’ONU a annoncé ce mardi avoir ouvert une enquête sur de nouvelles accusations d’abus sexuels et d’exploitation sexuelle contre ses Casques bleus et des forces internationales en République centrafricaine (RCA). Les victimes présumées sont quatre fillettes soumises à des «abus sexuels et à une exploitation sexuelle» à Bangui par des soldats de trois pays, non précisés, participant à la Mission de l’ONU en RCA (Minusca).
C’est parti pour les revues de presse des mois d’août et septembre. Au programme, la suite des enquêtes sur les réseaux anglais et les tentatives d’étouffement, quelques enseignants pédophiles, un débat sur l’interdiction d’un film à moitié porno aux moins de 18 ans, beaucoup de pères et beau-pères incestueux, beaucoup d’impunité, beaucoup d’adeptes de pédopornographie à peine sanctionnés, quelques curés condamnés (ou pas), une expo pédophile à Marseille défendue par la grande presse nationale, des mineures prostituées… Bref, deux mois normaux dans le paysage anti pédos.
A chaque fois qu’un politicien pédocriminel est mis sur la sellette, il n’est rapidement plus question que de « rumeurs », finalement il ne se passe rien et les croyants (en l’existence d’un réseau) passent pour des hystériques. Pourtant, la manière dont ces affaires sont minimisées et les victimes décrédibilisées est tellement caricaturale que cela devrait mettre la puce à l’oreille des citoyens/électeurs.
Heurtées par l’accumulation d’affaires de pédophilie et de condamnations jugées clémentes, des ONG et personnalités marocaines exhortent les pouvoirs publics à renforcer la lutte contre ce fléau, sur le plan juridique mais aussi par un travail accru de sensibilisation.
Au Maroc, un tribunal de Marrakech a condamné, jeudi, à deux ans de prison, un ressortissant français accusé de pédophilie.
Le Maroc est marqué, depuis plusieurs années, par des cas de pédophilie. Cette fois-ci, il s’agit d’un cas de ressortissant français, arrêté en novembre à la suite de plaintes d’enfants, qui l’accusent d’actes sexuels à son domicile, en échange de quelques pièces. Pour ces faits, le tribunal de première instance de Marrakech a prononcé une peine de deux ans de prison ferme à son encontre.
Une nouvelle affaire de pédophilie a éclaté à Marrakech. Un résidant français aurait abusé de onze enfants pendant plus de deux ans.
« Un nouveau Daniel Galvan apparaît à Marrakech », titre le quotidien arabophone Akhbar Al Yaoum. Selon la section marrakchie de l’AMDH contactée par Telquel.ma, un sexagénaire français, résidant à Marrakech depuis deux ans, a été arrêté lundi 17 novembre. Accusé d’actes de pédophilie sur onze enfants, il a été placé en garde à vue. Il comparait devant le procureur du roi mercredi 19 novembre. Les victimes viennent du quartier Aïn Mezouar, et ont entre 11 et 13 ans, selon Omar Arbib, militant AMDH. Le présumé pédophile a été arrêté en compagnie d’un enfant qui a avoué avoir eu des relations sexuelles avec lui. L’enfant a révélé que son frère se rendait aussi à la résidence de l’accusé pour les mêmes motifs. Entendu par la police, le frère a confirmé ces propos.