Je n’aurai aucune pitié envers ceux qui s’attaquent aux plus faibles d’entre nous, nos enfants.
Peine de mort contre les pédocriminels avérés : aime si tu es pour, n’aime pas si tu es contre (sur Youtube).
Paix.
Dix-huit mois avant le meurtre sordide de l’étudiant chinois Lin Jun, un groupe d’internautes était sur la trace de Luka Rocco Magnotta qu’ils associaient à des vidéos sur le Web montrant l’agonie de chatons torturés et tués.
La pédophilie serait «comme une orientation sexuelle» donc, inchangeable aux yeux de ceux qui recherchent cette pratique sexuelle déviante.
C’est du moins l’une des hypothèses exposées par Hubert Van Gijseghem, psychologue et expert psycholégal qui œuvre dans la recherche et dans l’expertise sur les abus sexuels depuis le début des années 70.
La SQ a ouvert une enquête sur une mystérieuse secte satanique en Estrie
Source : La Presse (Canada), par Marie-Claude Lortie, 30 septembre 1995.
« Je suis née dans une secte satanique. Dans une famille où tous les membres devaient adorer Satan, lui porter un amour inconditionnel, tout faire pour lui obéir. J’ai subi des sévices dès l’âge de trois ans et demi, j’ai été torturée, martyrisée, violée. J’ai vu des sacrifices d’animaux, mais aussi des sacrifices humains… »
Humains ?
Oui. Humains », affirme Manon sur un ton solennel.
Assis dans la cuisine d’une petite maison en Estrie, Luc Grégoire, un enquêteur de l’escouade des crimes majeurs de la Sûreté du Québec, laisse échapper un grand soupir. Ce n’est pas la première fois qu’il entend cette femme de 28 ans lui parler de messes noires, viols, sévices corporels et sacrifices. Il a entendu aussi le témoignage de plusieurs autres personnes sur ces macabres sujets. L’affaire lui semble très sérieuse. « J’ai cinq personnes qui me racontent des affaires semblables », dit-il.
Publié pour la première fois dans Journal of OrthomolecularMedicine, Vol.5, no 1, 1990
Traduction Google
Introduction
L’hypothèse adrénochrome de la schizophrénie (Hoffer, Osmond et Smythies, 1954), a été stimulée par les travaux d’Osmond et Smythies (1952) qui se sont concentrés sur les dérivés méthylés de l’adrénaline en tant que possibles schizophrénogènes en dogènes. Ils ont montré que l’expérience qui a suivi l’ingestion de la mescaline était à bien des égards similaire à l’expérience induite par la schizophrénie chez des personnes normales. Cela a attiré l’attention sur les dérivés de l’adrénaline (et de toutes les amines sym-pathomimétiques et de leurs précurseurs) comme facteurs étiologiques. Cependant, en 1952, très peu de ces composés avaient été étudiés. Avec nos ressources, nous avons été contraints de limiter nos études à un seul dérivé, l’adrénochrome, un dérivé oxydé et coloré de l’adrénaline. La chimie était si peu connue qu’il n’était pas surprenant que les chimistes aient conclu, à tort, qu’elle était intrinsèquement instable et difficile à étudier. Nous avons consacré une grande partie de nos recherches chimiques à cette substance intéressante. En conséquence, sous la direction du Dr R. Heacock (1959, 1965), un énorme corpus de données a été recueilli et publié détaillant la chimie de l’adrénochrome, sa synthèse, son métabolisme, sa conversion en d’autres produits et ses réactions avec des substances comme l’acide ascorbique.