Documentaire destiné à être diffusé sur Discovery Channel le 3 Mai 1994.
Il met en évidence tout un réseau de leaders religieux et hommes politiques à Washington impliqués dans l’enlèvement d’enfants pour les faire participer à des orgies sexuelles.
Extrait de la conférence de Fritz Springmeier intitulée « The biggest Story, Undetectable Mind Control » au « Global Science Congress », Tampa, Floride, Janvier 1997
Theodore Robert « Ted » Bundy (né Theodore Robert Cowell; 24 novembre 1946 — 24 janvier 1989) était un tueur en série américain. En plus de kidnapper et violer ses victimes, il pratiquait des actes nécrophiles sur leurs dépouilles. Ted Bundy a agressé et assassiné de nombreuses jeunes femmes et filles durant les années 1970, et peut-être avant. Il est considéré comme le tueur en série le plus connu au monde
C’est en prison, après plus d’une décennie à nier les faits, que Ted Bundy se confesse. Peu de temps avant son exécution, il admet avoir commis 30 homicides dans sept États différents entre les années 1974 et 1978… le véritable nombre de victimes demeure inconnu, mais pourrait être beaucoup plus élevé.
Voici l’audio VOSTFR du célèbre « Exposé Greenbaum », jusqu’alors uniquement publié sur le web sous forme de retranscription. Il s’agit là de la conférence du Dr. Hammond, la seconde partie concernera les questions/réponses.
Ottis Toole commet son premier crime à l’age de 14 ans. Il a une enfance absolument atroce, puisque dès l’age de 5 ans il accompagne par exemple sa grand-mère qui est une sataniste convaincue, pour aller déterrer des cadavres, pour fabriquer des potions à partir des morceaux de cadavres.
Le tout premier documentaire jamais tourné par la télévision française sur les serial killers.
Filmé en 1991, il a été diffusé pour la première fois sur France 3 le 9 mai 1992 dans un Spécial Traverses.
Stéphane Bourgoin y questionne les tueurs en série Ed Kemper, Ottis Toole et Gerard Schaefer. Des psychologues & profilers du FBI, tels que John Douglas et Roger Depue, sont aussi interrogés.
Publié pour la première fois dans Journal of OrthomolecularMedicine, Vol.5, no 1, 1990
Traduction Google
Introduction
L’hypothèse adrénochrome de la schizophrénie (Hoffer, Osmond et Smythies, 1954), a été stimulée par les travaux d’Osmond et Smythies (1952) qui se sont concentrés sur les dérivés méthylés de l’adrénaline en tant que possibles schizophrénogènes en dogènes. Ils ont montré que l’expérience qui a suivi l’ingestion de la mescaline était à bien des égards similaire à l’expérience induite par la schizophrénie chez des personnes normales. Cela a attiré l’attention sur les dérivés de l’adrénaline (et de toutes les amines sym-pathomimétiques et de leurs précurseurs) comme facteurs étiologiques. Cependant, en 1952, très peu de ces composés avaient été étudiés. Avec nos ressources, nous avons été contraints de limiter nos études à un seul dérivé, l’adrénochrome, un dérivé oxydé et coloré de l’adrénaline. La chimie était si peu connue qu’il n’était pas surprenant que les chimistes aient conclu, à tort, qu’elle était intrinsèquement instable et difficile à étudier. Nous avons consacré une grande partie de nos recherches chimiques à cette substance intéressante. En conséquence, sous la direction du Dr R. Heacock (1959, 1965), un énorme corpus de données a été recueilli et publié détaillant la chimie de l’adrénochrome, sa synthèse, son métabolisme, sa conversion en d’autres produits et ses réactions avec des substances comme l’acide ascorbique.