Pedopolis v2 référence les articles archivés selon 3 types de sources:
« Les sources Mainstream », organismes médiatiques relayant généralement comme son nom l’indique en anglais le « courant de pensée dominante », mais qui pourtant nous offrent parfois des perles de Vérité. Ces organismes appartiennent en général à d’autres organismes, qui eux même appartiennent à encore d’autres propriétaires, et ainsi de suite jusqu’aux pouvoirs dominants rééls.
« Les sources alternatives », indépendantes de tout pouvoir et libres de leur expression. Ces sources interviennent généralement sur le web sous la forme de sites et de blogs.
« Qui ose parler« (et/ ou agir !), catégorie transversale issue de la première version de Pedopolis, elle référence toutes ces personnes courageuses qui osent évoquer les sujets tabous qui animent notre site, en se mettant souvent en danger professionellement, socialement, fiscalement, physiquement, etc. Ces personnages bénéficient de notre respect pour leurs prises de positions assumées, et interviennent dans les 2 types de sources précédentes.
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Le tout premier documentaire jamais tourné par la télévision française sur les serial killers.
Filmé en 1991, il a été diffusé pour la première fois sur France 3 le 9 mai 1992 dans un Spécial Traverses.
Stéphane Bourgoin y questionne les tueurs en série Ed Kemper, Ottis Toole et Gerard Schaefer. Des psychologues & profilers du FBI, tels que John Douglas et Roger Depue, sont aussi interrogés.
En 1990, Un documentaire intitulé « Child of rage » (enfant de la rage) a été diffusé par la chaîne HBO dans sa série « America Undercover ». Ce troublant documentaire révèle comment une petite fille de six ans, Beth Thomas, torturait des animaux et violentait sexuellement son petit frère Jonathan. Il s’agit d’une compilation d’enregistrements vidéos que le Dr Ken Magid, un psychologue clinicien spécialisé dans le traitement des enfants sévèrement abusés, a réalisé lors des séances de thérapie avec la petite Beth. Ces enfants ont été tellement traumatisés dans leurs premiers mois ou premières années de leur vie, qu’ils ne développent aucun lien avec les autres enfants ou adultes. Ce sont des enfants qui ne peuvent pas aimer ni accepter de recevoir de l’amour. Ils n’ont pas conscience qu’ils peuvent blesser ou même tuer sans remords.
Publié pour la première fois dans Journal of OrthomolecularMedicine, Vol.5, no 1, 1990
Traduction Google
Introduction
L’hypothèse adrénochrome de la schizophrénie (Hoffer, Osmond et Smythies, 1954), a été stimulée par les travaux d’Osmond et Smythies (1952) qui se sont concentrés sur les dérivés méthylés de l’adrénaline en tant que possibles schizophrénogènes en dogènes. Ils ont montré que l’expérience qui a suivi l’ingestion de la mescaline était à bien des égards similaire à l’expérience induite par la schizophrénie chez des personnes normales. Cela a attiré l’attention sur les dérivés de l’adrénaline (et de toutes les amines sym-pathomimétiques et de leurs précurseurs) comme facteurs étiologiques. Cependant, en 1952, très peu de ces composés avaient été étudiés. Avec nos ressources, nous avons été contraints de limiter nos études à un seul dérivé, l’adrénochrome, un dérivé oxydé et coloré de l’adrénaline. La chimie était si peu connue qu’il n’était pas surprenant que les chimistes aient conclu, à tort, qu’elle était intrinsèquement instable et difficile à étudier. Nous avons consacré une grande partie de nos recherches chimiques à cette substance intéressante. En conséquence, sous la direction du Dr R. Heacock (1959, 1965), un énorme corpus de données a été recueilli et publié détaillant la chimie de l’adrénochrome, sa synthèse, son métabolisme, sa conversion en d’autres produits et ses réactions avec des substances comme l’acide ascorbique.
Geraldo Rivera organise un débat sur Trash Tv portant sur les crimes sataniques et leur ampleur en Amérique. Le talk show est entrecoupé de témoignages de victimes de cultes sataniques.
Extrait du Geraldo Rivera Show du 22 octobre 1988 intitulé : « Adoration du diable: dévoiler les souterrains de Satan »
Kathleen Sorenson était travailleuse sociale, elle et son mari Ron formaient une famille d’accueil pour les enfants en grande difficulté. Au total, le couple a recueilli une trentaine de témoignages d’enfants qu’ils ont eu en garde de quelques mois à plusieurs années.
Ted Gunderson, ancien agent du F.B.I. à Los Angeles, explique comment une fois retraité, il a été amené en tant que détective privé, à enquêter sur une affaire de meurtre, mais s’est heurté aux pressions mises sur les témoins de l’affaire.
Il a alors découvert ce qui se cache derrière les églises sataniques aux U.S.A. mais aussi dans le monde, et n’a eu de cesse depuis de dénoncer « La conspiration ».
Ce reportage tourné en France aborde la thème de l’exorcisme. Il propose le portrait de deux exorcistes, l’un issu d’une église marginale et l’autre de l’église catholique romaine. On assiste à l’exorcisme d’une jeune fille de 18 ans pratiqué en présence des fidèles. La jeune femme apporte son témoignage. On voit une sorcière luciférienne à l’oeuvre en train de confectionner une statuette de cire représentant la victime à envoûter. Et enfin, le sujet montre l’exorcisme d’un homme d’une cinquantaine d’années en présence d’un médecin. L’exorcisé témoigne également.
Procès verbal de l’affaire du Coral publié à l’époque par le journal Crapouillot. Si ce PV est authentique, il faut se demander pourquoi les tenants du Coral ont été condamnés à des peines si légères (aucun des coupables n’ira en prison suite au procès en appel), mais aussi pourquoi ils n’ont été inculpés que pour « attentat à la pudeur sans violence sur mineurs de quinze ans et excitation de mineur à la débauche ».